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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

VOUS REPRENDREZ BIEN UN PEU DE MORUE ET DE SAUCE A LA MENTHE ?

Le 10/06/2018

Les protagonistes de cette sombre affaire, bien décidés à en découdre Pour les Français, le drame s'est noué à l'aile gauche Les cuirassiers hésitent devant la rivière Les hussards KGL chargent et percutent. Chaud devant ! Jeux de mains, jeux de vilains. L'affreuse mêlée anglo-française

Les protagonistes de cette sombre affaire, bien décidés à en découdre
Les protagonistes de cette sombre affaire, bien décidés à en découdre 
Je ne sais pas si j'ai gagné. Mais en tout cas, j'ai pas perdu. Comme d'hab, je peux donc me fendre d'un compte-rendu, en toute objectivité. Hi,hi,hi...
Le choc entre Français et Anglo-Portugais via la règle "L'Age des aigles" a tenu ses promesses, samedi à Nantes.
Premier constat : le 28 mm, ça en jette sur une table. Même si celle-ci doit être plus grande que pour le 15 mm (3m sur 1,50m) et que les distances de mouvement et de tir nécessitent d'être ajustées en conséquence.
Deuxième remarque : les Anglais et leur copains amateurs de morue, que je commandais avec le major general Jean-Luc of Goddamnedit Whereismywhisky, ont eu fort à faire sur un terrain où il leur fallait faire face à des franchouillards moins costauds au moral mais plus nombreux.
Terrain compliqué par la présence de quelques bois et d'un ruisseau susceptible de mettre en désordre toute troupe ayant l'idée de le traverser pour charger.
En face, les maréchaux Jehan de Tailledanslelard et Jean-Paul de Cestcommetuveuxmonpote étaient , en prime, remplis des plus mauvaises intentions. Ce qui n'augurait rien de bon pour notre couenne britannique.
Je rentre pas dans les détails d'une règle dont les subtilités me demanderont encore quelques efforts d'adaptation.
Mais disons que, grâce à une solide ligne de défense et à quelques jets de dés bien limés en fin de partie, les pertes occasionnées aux amateurs de camembert furent un peu plus conséquentes que celles subies par nos troupes. 
L'aile droite française fort malmenée par Jean-Luc et mes hussards KGL,  est partie carrément en retraite. Tandis que l' aile gauche, qui exerçait pourtant une forte pression sur nos troupes, n'a pas le temps d'exploiter son indéniable avantage.
A noter au passage la très bonne tenue de ma brigade portugaise commandée par le général Alonso Da Silva dos Santos y Ricanas.
Ce dernier se chargeant de démontrer aux franchouillards qu'un mur, fût-il de fantassins, construit par les ch'ti gars de Lisbonne, c'est du béton de chez béton. Non mais ! 
Au final, une bonne partie bien sympa, qui sera sans doute suivie d'autres. Car l'arbitre du jour, le maréchal Jean-Baptiste de Circulezyarienàvoir s'est fait une spécialité de rencontres napo estivales.
Affaire à suivre donc, comme dirait Mme Odette en emboitant le pas à un moinillon qui vient de lui proposer de visiter la chambre rose. La nouvelle, celle où une  armoire normande surplombe un trampoline et un tapis de judo. Rhumatisants s'abstenir.





 

 

ALLEZ ! C'EST PARTI MON KIKI !

Le 08/06/2018

La scène du drame. Mais pourquoi, pourquoi tant de haine ?
La scène du drame. Mais pourquoi, pourquoi tant de haine ? 
Le décor pour la partie Age des Aigles qui se déroulera demain à Nantes est fin prêt. 
Au total, six brigades d'infanterie et deux brigades de cavalerie supportées par deux batteries d'artillerie s'affronteront dans chaque camp. D'un côté des anglo-portugais, de l'autre des franchouillards.
Cinq joueurs se sont déjà portés volontaires pour cet étripage en 28 mm.
Autant dire que ça va dépoter. 

 

 

CA CHAUFFE CHEZ LULU LA NANTAISE

Le 04/06/2018

Une partie des Godons sur leurs bases... et sur le pied de guerre.
Une partie des Godons sur leurs bases... et sur le pied de guerre. 
Quand y en a plus , y en a encore.
En attendant de discuter le bout de gras avec les polaks du maréchal Philippe de Rentrededans, une baston napo se profile pour samedi prochain à Nantes.
Une ville connue pour ses machines, les bains publics organisés pendant la Révolution par un célèbre maitre nageur répondant au nom de Carrier mais qui a surtout donné le jour à la célébrissime Lulu, une vieille collègue de Mme Odette.
Elle tenait bar ouvert sous les tropiques et dont la recette d'eau de vie a toujours tiré des larmes d'émotion aux Tontons Flingueurs.
Y avait un peu de tout dedans : du vitriol, de l'essence, de l'acide sulfurique, de la mort aux rats, de l'huile de ricin... et même de la pomme.
La baston, elle, se déroulera dans les locaux des Lanciers de l'Ouest. Elle aura lieu en 28 mm, siouplait et adoptera la règle "L'âge des aigles".
Les Français affronteront à cette occasion des Anglais et des Portugais. Redoutable collision du calendos coulant avec la viande bouillie, la sauce à la menthe, la bière tiède et la morue aux patates. Gare aux indigestions tactiques.
Voilà une photo d'une partie des Godons.
Le drapeau breton accroché sur un mur de mon atelier morbihanesque est un vieux cadeau de ma fille. Elle m'avait offert ça un jour, j'chais plus trop pourquoi, alors que j'habitais... en Dordogne. Va comprendre, Charles. 
Mais y a pas à dire. C'est beau quand même, la prémonition. 

 

 

SALE TEMPS CHEZ LES WALLONS

Le 31/05/2018

V'là le tableau. Deux objectifs pour deux furieux Le village va rester aux mains des Français Hamburger Hill et ses charges à répétition Dans la plaine, les Anglais vont reculer Une vue du cimetière français. Horreur et consternation !

V'là le tableau. Deux objectifs pour deux furieux
V'là le tableau. Deux objectifs pour deux furieux 
Un village paumé dans la plaine et un carrefour planté au beau milieu d'une colline... Y a pas plus tentant pour les furieux du napo que nous sommes.
Le maréchal Philippe de Rentrededans et ma pomme,   le bourrin du Golfe (du Morbihan) ,  avons donc fait ni une ni deux avec nos armées quand nous avons découvert cet affriolant paysage sur une table de jeu.
Equipés chacun d'un budget d'environ 3000 points (soit deux brigades d'infanterie, une de calaerie et deux batteries d'artillerie) nous nous sommes précipités comme des morts de soif vers le bistrot situé au centre du village ainsi que vers un tonnelet de cidre qu'un oublieux avait laissé à deux pas du carrefour.
Moi avec les Français, lui avec un conglomérat anglo-belgo-brunswickois fleurant bon la campagne wallonne de 1815, avec des petits airs de Quatre Bras.
Faut dire ce qui est. Le choc fut rude.
Je passe les détails, les fariboles, les billevesées et autres coquecigrues.
Au final, les franchouillards, plus rapides à investir le patelin et la colline, sont restés maîtres de la majorité du terrain en dépit de quelques belles actions menées par Philippe-le-tenace. Un combattant malin comme un singe lorsqu'il s'agit notamment de mener des manoeuvres de contournement avec la cavalerie. 
La palme de l'audace étant également revenue ce jour-là à un modeste bataillon belge qui, après une charge de flanc, a fait partir en retraite une unité d'infanterie française. Histoire de lui faire passer le goût de la Chouffe qu'on vend dans le coin.
Même scénario avec un bataillon écossais de Black Watch venu à bout d'une batterie ennemie.
Las ! Ces efforts n'ont cependant pas suffi. 
Soutenus par leur artillerie et une cavalerie qui donnait du sabot un peu partout, les franchouillards ont tenu bon. En parvenant même à faire reculer des Anglais malgré la puissance de feu et le bonus dont ces derniers bénéficiaient en défense.
Bref, une revanche est à prendre pour Philippe de Jyretournevingtdediousse. Ce qui devrait se faire vers la mi-juin.
Le bougre va en effet changer de camp. Il compte aligner sur la table  plusieurs bataillons de Polonais tout juste sortis de son atelier de peintouillage.
Le genre de troupes avec lesquelles on ne rigole pas. Plus c'est bourré, plus c'est motivé. Na zdrowie ! 

 

DANS TOUT EMPEREUR, IL Y A UN COCHON QUI SOMMEILLE

Le 26/05/2018

Avec le Napoléon, on se met vite à table
Avec le Napoléon, on se met vite à table 
Il a l'air sévère et il sait se montrer dur quand on l'aborde. Pas étonnant que certains soient devenus  à couteaux tirés avec lui. 
Je parle pas de sa majesté corse, mais d'un saucisson que l'épicier de mon village a eu la curieuse idée de baptiser "Le Napoléon". Authentique.
Pourquoi ça ?, lui ai-je demandé naïvement.
"Parce que l'autre, qui pendouillle à côté, s'appelle le Joséphine" m'a rétorqué l'impérial commerçant sur un ton qui ne supportait pas la contradiction.
Difficile de résister . 
Pour me donner des forces avant la baston devant m'opposer au maréchal Philippe de Rentrededans, j'ai donc fait ni une ni deux  et j'ai acheté le sauciflard en question. 
Après tout, comme dirait Hannibal Lector, c'est pas tous les jours qu'on boulotte du souverain.
Tiens, promis ! La semaine prochaine, j'irai aussi croquer  la Joséphine.
La bougresse m'a en effet l'air tout aussi coriace  et juste comme je les aime : grassouillette là où il le faut.
Sans parler de l'odeur. Ah l'odeur ! Rance à souhait, légèrement acre, un brin pimentée, fleurant bon la couenne molle et le jarret torride... Une vraie tranche de bonheur.


 

 

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