Du napo dans l'air [blogs.fr Le blog multimédia 100% facile et gratuit]

Galerie de photos

Serie No 1 Série No 2 Série No 3

La bleusaille républicaine, agrémentée d'une coquette guillotine
Les chouans armés jusqu'aux dents (du moins, celles qui restent)
Les troupes émigrées, juste avant la débandade
La batterie côtière, complétée par un faisceau de fusils
V'là les tueurs. Ceux-là, vaut mieux pas les provoquer.
Jojo l'artiflo et son bonnet révolutionnaire
V'là les modèles.
Les Byzantins s'en vont au turbin
La cavalerie lourde vandale donne la réplique. Ca va pas finasser.
Y avait un bout de temps que j'avais pas touché au 15 mm
Sur une autre table, des Macédoniens face à des Romains
V'là l'ensemble. Le canon est monté sur un affut à aiguille
Retenus au bistrot, les artilleurs ne vont pas tarder
La même batterie, vue par une mouette rieuse
Un gril à rougir les boulets est encore à fabriquer
Doucettement, ça commence à venir
L'herbe va bientôt pousser
La batterie, telle qu'elle existe aujourd'hui
En 1793, ça donnait ça.
Les premiers éléments en balsa, avec un vieux canon
V'là le bas peuple qui se met en branle. Gare à vos miches.
Les recrues d'Emperor Toads Emporium avant bidouillage
M. Albert et sa caisse claire. Martial, n'est-il pas ?
A l'époque, les artiflos pullulaient sur nos côtes.
Fins prêts pour l'embuscade
Les chouans en n cours de peinture. Ceux-là, faut trop les chatouiller
En pleine baston. Ca rigole pas dans l'hexagone.
Les positions de départ, avec le brouillard de guerre
Les Brunswickois progressent à l'aile gauche alliée
Mais le dernier mot reviendra aux gros talons franchouillards
J'en ai froid pour eux.
Les lieux du drame dans toute leur effroyable vision
Une des passerelles qu'emprunteront les trainards
V'là les galonnés. Ca manquait chez les patauds.
Un contre cinq. Je sais, c'est lâche. Mais ça court vite, le chouan.
Pas de doute, même surgelés, les grognards y croyaient encore
Dans une grosse semaine, on remet ça, vingtdediousse !
V'là le tueur. Lui, il fait des gros trous dans le blindage.
Le décor en préparation.Manque le ruisseau gelé... et les cosaques
Le plan des tables avant l'attaque.Va falloir bétonner... et finasser.
V'là le bestiau. D'autres, plus gros encore, suivront
Détail cocasse, il a une mitrailleuse à l'arrière. Pour les hésitants
Les Ostrogoths face à la ligne de feu russe. Chaud devant !
Villages, collines et gadoue... Les lieux du drame
La batterie lourde ruskof n'a, hélas, pas fait long feu
La cavalerie russe face aux Teutons, avant l'erreur de la dispersion.
Le quartier de JJjanski, prêt à accueillir les embuscades
V'là ce qui termine (pour le moment) mon Armée rouge.
V'là l'engin, en attendant que j'y rajoute les artiflos.
Médaillé comme un sapin de Noël. J'ai de l'allure, non ?
Les moujiks tout juste sortis de mon isba morbihannaise
V'là le bouquin. Y a pas à dire. Je recommande.
V'là les Teutons ... et la bonne photo ;-)
Un GMC chez les moujiks. La maquette est de Heller
V'là la bâtisse. Y a plus qu'à envoyer les biffins
Mon premier HLM slave en ruine.
Les étages s'enlèvent facilement
La structure de base. Simplissime
Gris béron, noir fumée d'incendie... y a un peu de boulot en peinture
Ca s'arme dans les deux camps. Ici, les Teutons nazillons.
V'là mon chasseur à cheval, à la sauce1799. D'autres vont suivre
Le bras armée vient en fait d'un...officier d'infanterie.
Mes chasseurs en casques Tarleton. D'autres suivront
V'la mes "brigands". Les bleus vont serrer les fesses
V'là les biffins : 1ere et 2e divisions presque au complet
Polystyrene, patience et longueur de temps...
Mes trainards vont enfin entrer dans la danse wargameuse
Les pandores vont avoir le dernier mot
Des émigrés (régiment d'Hervilly) étaient aussi de la fête
Irréguliers contre ligne : un combat inégal
Un guetteur chouan face aux fainéants de la Garde Nationale
Les lieux du drame. Comme d'hab, l'Est est à droite, l'Ouest à gauche
Des haies, des maisons... Autant de pièges pour les Teutons
Côté SS, les chars Panther ouvraient le chemin. Y sont pas allés loin.
Pour faire bonne mesure, les Panzer sont aussi entrés dans la danse
Les ricains ont plié mais n'ont pas rompu.
V'là les pékins qui serviront au test. Ca suffira largement
Les assaillants vont pas être à la fête
Masquée des regards zennemis, une division de gros talons progresse
... et quand ca se révèle, ça fait mal
A l'aile droite française, ça bétonne aussi
V'là les zigotos. A Quiberon, ils n'étaient pas...légion
Une partie des armées, avec les Français au premier plan
Le canon n'est pas installé sur roues mais sur des rails en bois
L'arrière du rafiot, avant quelques rectifications
Le modèle dont je me suis inspiré
Une pièce de 3 livres. Ca suffira pour escagasser les "bleus"
Le même en 1795, vu de l'hélico des gardes-côtes
Un trio flamboyant. Avec lui, les bleus n'ont qu'à bien se tenir.
Manque plus que la pièce de 3 livres
Chez les godons, même les rames sont rouges
Encore quelques détails a rectifier et ça se sera bon
By jove ! Ca va le faire sur mes décors !
Y a largement la place pour mettre le canon et ses rails en bois
C'est long. Mais c'est tout bon
Faut pas se précipiter, mais calculer et cogiter avant de tailler
V'là le matos. Du coup, je me suis aussi rééquipé en pinceaux.
V'là la troupe. Y avait du bon, du mauvais et du pas net.
Louis-Charles d'Hervilly. Caractériel et très ancien régime.
Des Vendéens qu'on peut tout à fait transformer en chouans
La ligne de feu.On peut même ajouter un canon
Le moulin. Raaaah, lovely !
A table ! Le rôti est prêt !
L'astuce, c'est de bien savoir ficeler le gigot avant de le cuire
Les Allemands arrivent par la gauche. Les Ricains sont embusqués
A gauche, les Teutons. A droite, les cow-boys.
Aow, five o'clock. Stop fire, boys !
V'là le rafiot. Y a du boulot en peinture.
Les falschirmjagers vont tenter de percer le barrage ricain
Une partie du matos qui sera aligné sur la table. Chaud devant !
Y a encore un tas de figs qui attendent sur ma table de peinture
Ce jour-là, les belligérants avançaient masqués
Les Ostrogoths prennent l'objectif. Ca va pas durer.
Les Suiiiissses atteeeennndent sur leur cooolline. Peeeeiiinards
Z'avez vu la masse franchouillarde à droite ?
Les lieux du drame. Ca va décaniller grave;
La cavalerie sudiste (en bas à d.) va mettre le souk chez l'adversaire
Les franchouillards s'en vont au turbin
Gare au feu. Il peut être redoutable.
Généraux et aides de camp : la chaine de commandement est importante
Des tests à poursuivre, pour s'habituer et y voir plus clair
Le 1er corps français avance masqué. Ca va pas durer
Sitôt le pont abordé, les Ruskofs se massent en face
Les premières explications de gravure
Sur hexagones, c'est simple et sans prise de tête
Les dragons sans leurs montures. Pauv'bêtes ! (je parle des chevaux)
Ruskofs et franchouillards sur le pied de guerre
M. Alexandre à Quiberon, trois ans avant de rejoindre Bonaparte.
Le gars de Rohan-Montbazon, tout frais, tout guillerets
C'est loin d'être fini mais ça avance, donnerwetter !
Avant, après
L'uniforme du régiment de Rohan-Montbrazon. Jolie plume, ma foi
V'là les dernières recrues. Du beau linge.
La bande de Loïc Tapedansletas est accrochée par les bleus
Les biffins du Loyal Emigrant arrivent à la rescousse
$Le prêtre réfractaire Louis Bénisoistu succombe sous les baïonnettes$
Le prêtre réfractaire Louis Bénisoistu succombe sous les baïonnettes
Les gendarmes vont venir, eux aussi, à bout des "brigands".
Les p'tits hommes verts combattaient chez les bleus.
Ma dixième unité de bleus. Ca commence à le faire, scrogneugneu !
Les blancs, qui voient rouge
Les lieux du drame : 1,80 m sur 1,30 m
Jacky le roublard dans ses oeuvres
La mise en peinture ne fait que commencer. Y a pas le feu au navire
Les p'tits gars des Bucks, prêts à choper du Français... ou du Ricain
Le même bataillon, finalement rectifié et bidouillé avec 2 drapeaux
Les positions de départ. Trois ponts sont à conquérir
Premiere mission : chasser ces casse-bonbons de hussards autrichiens
Puis mettre en place les batteries
Cerise sur le gâteau : pris de dos, un bataillon ostrogoth déroute
V'là les olibrius
Un autre Corse, aussi frais qu'un vieux brocciu
V'là les emblèmes. Ca manquait, n'est-il pas ?
Les lieux du drame : une vision insoutenable
Acte premier : les aviations nipponne et US se chicorent
La flotte japonaise : gare aux torpilles. Elles sont redoutables.
Embusqués, les monstres d'acier ricains ne feront pas de quartier.
V'là l'olibrius. Je penche pour l'hypothèse 4 .
Quand le bâtiment re-va, tout re-va.
Les "brigands" des Landes de Lanvaux
Le chevalier passe au gris souris. Perso, je préfère.
Talmont remaquillé en Tinteniac. Ca passera mieux dans le Morbihan.
Les bleus n'ont qu'à bien se tenir
Un paquet de Vendéens qu'il va falloir bretonniser
De l'Egypte à l'Espagne et de Toulouse à Waterloo : des durs à cuire;
V'là les revenants
Les Chasseurs Britannniques : une belle bande de coupe-jarrets
La série des galonnés godons se poursuit.
Les p'tits nouveaux, remis à neuf
Les artiflos, sur leur support provisoire
A vrai dire, y a des jours où je me fais peur ;-)
Les panzergrenadiers et leurs soutiens. Rudes bestiaux, ma foi.
Pas de doute, y a du lourd.
Ceux-là, pas besoin de leur en promettre pour qu'ils aillent au turbin
Ceux-là, c'est pas le coronamachinchose qui va les arrêter
V'là l'engin et ses servants. D'autres suivront.
Faut parfois savoir prendre un peu de hauteur
Le bocage infernal
Le hameau maudit
La rivière de l'angoisse
V'là la bleusaille, c'est le cas de le dire
V'là ls zigotos, en cours de peinture
V'là l'olibrius. Je sens venir le pépin.
Des parapets, un début de palissade... et des interrogations à gogo.
La côte ouest et sa ligne de récifs. Ca y est ? Tu piges le truc ?
V'là mes tiges de brochettes en train de se découper.
Le fort vu du nord-ouest.
Le même vu du sud-ouest
La redoute Est sur laquelle quelques détails sont encore à travailler
Un chouia d'écume. Pas de doute, on est en Bretagne.
Du bleu, du vert, du gris... et beaucoup d'essais. Ca le fait, non ?
Manquent encore les crêtes des vagues et les cris des goëlands
V'là la populace.
Le champ de bataille, une vision insoutenable
Les chars teutons ont donné du canon. Sales bêtes, va !
Les chars ruskofs, eux, ont donné... dans le barbecue
Mon chasseur-bombardier Sturmowik. C'est un Altayaski
Vu du nord-est. L'accès au fort.
La mer est encore à peindre. Mais patience, ça va venir.
Des haies, des chemins creux, des fermes planquées... Un terrain idéal
Y a même le curé qui te bénit avant de t'occire
Je le sens. Les bleus vont encore prendre des gnons.
Maitre Philippe et Charles of Buckingham
Chaque plaquette de figs représentait une brigade
Une table de 2 m par 3 m. Pourqouoi jouer riquiqui ?
La cavalerie anglaise face à la vieille garde. Chaud devant !
Le meilleur moment de la baston. Les Russes canardent la vieille garde
7500 points dans chaque camp. Là, on peut le dire : on s'est goinfrés
Les figs de la baston de samedi, déjà chaud bouillantes
La chaloupe de Perry à laquelle j'ajouterai un canon
Ma barcasse maison bidouillée. Ca le fera aussi dans un scénario
Une chaloupe canonnière
Le Chokaï et le Takao entament le bal
Trop dispersés, les ricains vont se faire bananer
Des maquettes sympas au 4800e
L'Enterprise va se faire serrer aux miches par ses assaillants. Miam !
Les sabreurs, fin prêts pour la nouba napoléonienne
Les hussards vont avancer, hésiter puis décamper.
Au coeur de la baston, les Ruskofs vont charger bille en tête
V'là les biffins, en colonnes sur leurs socles tout frais peintouillés
Au coeur de la baston. Ca cogne sec
Les deux tiers du décor. T'inquiète JJ, ça va le faire
Ruskofs contre franchouillards. Les armées sont prêtes.
Premiers tests de peinture de falaise. Y a encore du taf
Quiberon, en vrai
Des rochers clairs de Penthièvre. D'autres sont plus sombres.
Un sol en colle de carrelage travaillée au pinceau
Stuka contre Sturmovik. Ca va faire mal.
L'attaque d'un village sur le mode "Les 7 samouraïs"
Rumba nippone devant des visiteurs esbaudis
Les moines soldats (à gauche) vont pas faire long feu
Y avait même des chrétiens. Tout est dans les détails.
Le château du répugnant clan Haru
Comme d'hab, des ninjas entreront dans la danse
Le citadelle assiégée sera-t-elle prise ? Mystère et boules de riz.
Les samouraïs du glorieux clan Hojo
La falaise a été rognée et les pentes annexes travaillées.
La morne plaine, bourrée de figs. On jouait brigade par brigade.
Charles de l'Historic, le vampire de la fac de Lorient, à la manoeuvre
La manoeuvre de contournement française. Fallait oser.
L'avance des pruskos vers Plancenoit. Ah ! Les sales bêtes !
Ma 1ere table 2020. Ch'suis ému comme un agent du fisc devant Balkany.
Mme Odette et ses pensionnaires vous présentent leurs bons voeux
Les lieux du drame. Manquent les reliefs, les villages et les bois.
Mes Ecossais entreront dans la danse, ça va de soi.
V'là l'affiche . Passionnant, non ?
Les franchouillards préparent leur tactique sournoise
Donnerwetter ! Les Pruskos ne vont pas tarder à mettre les voiles.
Le test d'escalade a été réussi pa ces fiers-à-bras de républicains.
Quelques éboulis, ca fait toujours plus joli (alexandrin breton)
Vu du sud
Vu du ch'nord
D'abord, le gros de la structure. On travaillera les détails après.
V'là toute l'affaire : le jour J
Les lieux du drame, avant le massacre
Charles-le-sanglant restera maitre du carrefour central.
L'artillerie à cheval française bouge et tire. Comme au radada.
Ah misère, vl'à les Anglais qui remettent ça !
Ca commence à prendre tournure, acré bon sang de bonsoir !
V'là les bestiaux.
V'là les gugusses. Tout frais recrutés.
Au début, les unités trop éloignées de l'ennemi ne se dévoilent pas
Le choc des cavalerie va s'avérer sanglant pour les franchouillards
Au coeur de la baston, les Ruskofs bétonnent le centre
Le P'tit tondu, ça te prend pas la tête et c'est rigolo
Un exemple parmi d'autres
Les lieux du drame, emplis de cris d'orques et de hurlements nanesques
Mes nains perso à moi. Raaah lovely !
Les archers des forces du bien. Qui s'y frotte s'y pique.
Au coeur de la baston, Gondor et Urukhaïs discutent philosophie
Les belligérants à pied d'oeuvre. Ils ne feront pas de quartier.
La cavalerie française charge l'Anglais qui va l'arrêter au feu
Au centre, les Espingouins prennent le village et le carrefour
Sur la droite, les Portos fonr replier les franchouillards
Le face à face des cavalerie à l'aile gauche alliée
Dés, cartes et tactique : "Mémoire 44", c'est du vite fait bien fait
L'infâme Yapudo (au centre) en déplorable compagnie
Les Espingouins sur le pied de guerre
L'armée alliée prête à entrer dans la rumba napoléonienne
V'là le gugusse. Gare à vos os et à vos orques !
Il a tout ce qu'il faut dans son sac à dos : le choco BN, la XBox...
J'aime bien le bouclier. Du genre costaud et ouvragé.
V'là l'olibrius et Frankenbec, son corbeau préféré
La scène du crime. Hexagones, schingle et paillasson.Une vision atroce
Les grenadiers de Pavlov seront de la partie. Sales bêtes, va !
La rue principale de Sratchbuilt Town. Gare aux coups de feu
Dans le pays, ça défouraille comme qui rigole
Qui dit diligence, dit attaque. Ca va de soi.
Un cimetière prospère et un croque-mort heureux
V'là les bestiaux, tout frais sortis des pontons anglais.
Les mêmes, transformés en armée de gueux
Les Prussiens de Ziethen face aux lanciers rouges à Vauchamps
Et les Pruskos toujours, face aux cuirassiers de Grouchy
Le tout début d'une petite partie de la maquette. Y a du taf
Une chaloupe canonnière, sans ses voiles
Tout y est ! Raaah lovely !
Les hexagones sentaient la poudre et le gorgonzola
V'là les zindividus, tout frais sortis de leur boîte.
Quelques angles à calculer, des canons pour vérifier. C'est parti !
Le défilé, fiers comme des bars-tabacs en 1814 sur les Champs Elysées
J'ai fait la sangle en cuir marron pour les trouffions de base
V'là les bestiaux, en cours de peinture
Tiens, y a même Catelineau. Qu'esse qu'y fout en Bretagne, ce pékin ?
En les bleus et les émigrés, ça défouraille à tout va
Une image déplorable témoignant de l'ambiance lamentable de la partie
Les troupes de ce fier à bras de d'Hervilly sont de la partie
V'là l'olibrius. C'est du Victrix en plastique.
Polistirene, paillasson et coups de pinceau. Mes haies se multiplient
Les lieux du drame dans toute leur horreur
Les lieux du drame. Ca va encore saigner.
V'là les gugusses. Peu accomodants, n'est-il pas ?
Dans le tas, quelques donzelles un brin musclées
"Les bleus sont là, le canon tonne. Dites les gars, avez-vous peur ?"
"Les bleus sont là, le canon tonne. Dites les gars, avez-vous peur ?"
V'là l'olibrius. Teigneux comme on n'en fait plus.
Si ma mémoire est bonne, c'est du Reaper miniatures (métal,28 mm)
Des joueurs pas convaincus. "Trop de dé, trop de contraintes".
Mes sudistes vont au turbin
Un pont à prendre à gauche. Chauffe, JJ !
...et un autre pont à droite. Gare aux tirs de salve.
1795 : bleus contre blancs. Une histoire pas si simple.
V'là la foule esbaudie
Avec cette règle, mieux vaut être très, très, très méthodique.
Un marqueur de division activée.
Lors d'un test récent au sein de la féroce tribu des Ilsontvilains.
La cavalerie ostrogothe prend le mors aux dents.
Un patient travail d'apprentissage.
Les lieux du drame. Le convoi doit traverser toute la table.
Les moujiks tapent dans le tas. Les franchouillards jouent la mêlée.
Du côté de la cavalerie, ça rigole pas non plus.
Hussards contre cosaques : pas touche, sales bêtes !
A gauche, Eusèbe-le-Pointu, à droite Onésime-la-Brochette
Une (très petite) partie de la carte sur laquelle on joue.
V'là les gugusses. Ils aiment la bière, la choucroute...et les huitres
De g. à d. : M. de Mesdeux, M. de Meszigues, M. de Metsçalà-Monpote.
Mes ruskofs et mes franchouillards sur le banc d'essai
Les modèles de drapeaux adoptés par l'Assemblée Nationale en 1791
Quelques emblèmes de bataillons de volontaires
V'là le matos. Maintenant, on teste.
Les sous-socles en cours de réalisation. Carton, métal, pince, colle.
Premiers tests à la rentrée
Vl'à le premier trouffion. D'autres vont suivre.
Une veste rouge. Même les Anglais n'auraient pas osé le proposer.
Le coutelas, c'est pour découper la bestiole dans le filet.
"Petits, petits, petits..." Frida cherche des orques dans un bois.
Encore 20 figs, dont un sorcier et un roi, et ce sera bon.
V'là le bestiau. Mieux vaut lui causer avec douceur.
Dans son dos, le crâne d'un inconscient qui lui cherchait des noises.
Un marteau spécial dédicace pour gobelins.
La hache dans une main et la chope toujours dans l'autre
V'là le biffin.
La fig est une Victrix en plastique
...et le sable du socle vient de Quiberon, bien sûr.
Cette fois-ci, les chouans ont eu le dessus
V'là le bazar. Pourquoi voir petit quand on peut se goinfrer ?
Quelques plaquettes de figs. Va y en avoir un gros paquet.
La poudre a parlé du côté de Carnac. Et c'était pas beau à voir !
Les chouans sortent du bois. Gare aux faux !
Bocage, bois, champs et murets. Tout ce qu'il faut pour chouanner.
La table fait 2,50 mètres sur 1,60 m
La règle d'escarmouche choisie sera celle de Vae Victis
Ma maison bretonne attend ses petites soeurs
Une minuscule portion de la carte. Faut pas tout dévoiler.
V'là le gonze. Même pour un péché véniel, tu prends une mandale.
Russes contre Allemands. Ca chauffe !
Ici, les Français vont conquérir le village au tout dernier moment
Les franchouillards font chauffer les boulets
Les Ostrogoths, eux, affutent leurs baïonnettes
Le toit de chaume sera réalisé avec dela serviette de bain peinte
La bleusaille sous le regard attentif de l'arbitre ilestvilain.
Christophe et Pascal , Français... et vainqueurs face aux Ostrogoths
V'là les tueuses et leurs acolytes
V'là le manicrac, comme on dit dans mon ch'Nord natal
Des Bretons qui s'étripent et une gamine qui a fait la malle
Une veillée autour d'un mort. Ca empêche pas de boire un coup, gast !
Les blaisistes campent au pied du château montfortiste
Patrice, sire de Corrogant (à g.) et ma pomme, JJ de Kermerien
La scène du drame. Je vais sans doute un peu l'allonger.
Des figs sur plaquettes. Simple et sans mystère
Les Autrichiens repartent à l'assaut. Sont têtus, ces bourrins.
Côté français, on trouvera du solide
V'là le gaillard. Mieux vaut lui causer avec politesse.
Une peau de bête pour tout uniforme. Fait pas chaud dans la mine.
Malgré les vagues d'assaut teutonnes, la gare restera française
Les combats ont pourtant été rudes
Les braves chasseurs aux avant-postes
Un combat sur un remblai de voie ferrée vu par Alphonse de Neuville
La règle d'Hervé Caille. Une de plus ! Mais elle a déjà ses fans.
Ca cogite grave avant l'assaut.
L'aile gauche prussienne, bétonnée façon blockhaus
A l'aile gauche ruskof. Tout l'art de la marche arrière.
Atchoum, Grincheux, Simplet et leurs potes
La bataille de Soor (1745) . Vorwärtz, bande de flemmards !
1806 : les Pruskos font la nique aux Français, gniark, gniark, gniark.
L'habile tactique anglaise : emmêlés, abordés, drossés au récif.Gasp !
Bretagne, Vendée, Paris : la rencontre était internationale
Une très bonne surprise à Bourgbarré.
A Batz. J'aime bien la devise du coin aussi.
La table des Grognards de l'Ouest. Là, y a du taf.
La même qui attend la foule en délire. Enfin, façon de parler.
La cavalerie anglaise et KGL
Les Espagnols, bourrés à la sangria, ça va de soi.
La maréchaussée révolutionnaire prête à sortir le carnet à souche.
De l'autre côté du pont, le terrible piège anglo-portugais. Aaaargh !
Mais la prise de flanc va fonctionner pour les franchouillards
Les locaux, effarés par tant de haine, sortent le smartphone
Oh mon radeau ho, ho, ho... Tu es le plus beau des radeaux.
Charles-le-Téméraire en train de convertir Raphaël, un futur voltigeur
La disposition générale, à travailler dans les détails, bien sûr
Un morceau de l'extension prévue pour Batz, côté français
Le coin des charges de cavalerie. Ca rigole pas.
Le coin avec l'état-major et l'infirmerie
Le mystère brunswickois restera-t-il entier ?
La salle d'essayage, en plein turbin.
Ce jour-là, les moujiks étaient remontés comme des pendules grecques
Le départ des troupes. Toutes ne sont pas encore visibles.
Les grenadiers allemands s'accrochent au village.
A l'aile gauche, les charges se succèdent.
L'aile droite sert à la fois de réserve et de ligne de défense.
Du nord au sud, ou du sud au nord pour les chipoteurs
L'inverse et vice-versa.
V'là l'affiche du manicrac, comme on dit dans mon Ch'Nord natal.
Les Hussards d'Isengard en plein turbin
Les premiers assauts ruskofs.
Ca cogne, ca cogne. Mais le convoi et le pognon avancent
La cavalerie française fait barrage. Le chariot d'Odette va passer
V'là les tueurs. Bourrés 24 heures sur 24, et même 25.
Ca en jette, non ?
L'attaque du pont de Vera de Bidassoa, c'est pour bientôt
La scène du drame. Au premier plan, c'est un cotre.
Drossé sur un récif et pris à l'abordage, le Français va se rendre.
Ca canonnait sec au large des côtes bretonnes.
Le commodore Franck, le vampire de la Manche.
V'là la flotte. Aussi teigneuse à babord qu'à tribord.
Mon extension de terrains. Ca va le faire
L'amorce de la colline. Elle sera amovible.
Une des cartes qu'on utilise. Ca chauffe dans les lieux saints.
V'là le matos.
La guillotine est prête à fonctionner. Les bleus montent la garde.
Damas et Loyal Emigrant s'approchent. Ca va chauffer
Chez les chouans, on trouve aussi...des chouannes.
Coupecourt et l'officier bleu taillent dans le lard breton
C'est simple. C'est rigolo et ça cogne dur.
Saint Guillotin et Saint Frusquin s'en vont en guerre
Dans ce labyrinthe, les républicains ne seront pas à la fête.
V'là les lieux du crime. Sortez les fourches !
Au départ, la mer était pourtant calme.
Deux vaisseaux français emmêlés, un autre échoué. AAAAARGGH !
Le cimetière marin de la Ligue des Vannetais Ludiques
V'là le bestiau. Y sont chauds , mes boulets, y sont chauds !
C'est du Langton au 1/12000. Le socle fait 3 cm x 9,5 cm
La scène du drame. Une vision difficile à supporter.
La redoute Bismarck, fortement défendue. Sale bête, va !
Les Français avancent sous le feu bavarois. Gare aux pruneaux.
Très fragile face à l'artillerie, la cavalerie attend son heure
L'assaut final. Le "colline rouge" va être conquise
Le Wagram, en pièces détachées. Y a du taf.
Je vais choisir la peinture du milieu
Le déploiement initial. Les Français serrent les rangs et le reste.
Un feu de salve va repousser la cavalerie autrichienne
Au centre, les Ruskofs vont manger chaud
Lanciers rouges et cuirassiers se boulottent la cavalerie russe
A l'aile droite, les combats pour le village
V'là les biffins. A peine rasés et déjà ivres.
Les vestiges du talus édifié sur ordre de Hoche
Le même ouvrage défensif vu vers l'Est
Le talus est au fond. Emigrés et chouans ont du avancer sur la lande
V'là les bestiaux, prêts à bouffer du "brigand".
Une partie des Ruskofs, prêts à défourailler
Ca le fait, non ?
Pour le PVC au sol, on verra plus tard
Le précédent proprio avait fait des armoires. Brave homme, va !
Le passage des cols. La sentinelle va pas faire long feu.
Les premières attaques de la citadelle
Les ninjas ennemis fuient... en maudissant leurs jets de dé
Notre cavalerie fait le tour du (futur) propriétaire
Ca sent l'empalage.
L'aile droite prusko-ruskof : le débordement a fonctionné
Là, le ciel peut VRAIMENT te tomber sur la tête
Une partie de mes biffins, à l'aile gauche. Ca a chauffé
Le déploiement défensif de l'armée Hojo
Des convertis au catholicisme disent la messe dans leur maku
L'ennemi Haru a beau s'agiter, il va trépasser... ou retraiter
Ou ça passe... ou ça empale
L'alerte est déjà donnée aux frontières. Ca va chauffer
On va s'ouvrir le ventre comme qui rigole
V'là le teigneux. Mieux vaut pas trop le chercher. C'est un Vannetais.
Xavier, Yann et Christophe, mes partenaires de la LVL. On remettra ça.
Les dés de sauvegarde du ricain. Circulez, y a rien à voir !
Et c'est reparti pour 1870 !
Les Ricains partent à l'assaut de la colline. Ca va pas durer
Un panzerschrek dans les dents. Le Sherman va pas aimer
Les Sherman, prêts à défourailler
L'infanterie mécanisée ricaine
Stug et Panzers attendent leur heure
Les pionniers, du lourd de chez lourd
Des haies, des bois, un troquet. Idéal pour une embuscade.
Les lieux du drame avant l'explication de gravure
Une partie de l'artillerie prussienne. Gare ! Ca tire loin et fort.
L'assaut du village par les Pruskos. On n'a pas fait dans la dentelle.
L'aïeule de la célèbre Mme Odette. Ca t'enfourche comme qui rigole.
"La pêche à la Turlutte" dont à propos de quoi que je vous cause
Mes royalistes vous la souhaitent bonne et détendue (l'année,bien sûr)
V'là les bestiaux, bidouillés non sans mal
Le combats de chouannerie livrés en Bretagne en 1815.
V'là les trouffions. Je dois encore doubler leur effectifs
Le Père Noël et ses aides en 1793. Une scène difficilement supportable
Le Loyal Emigrant et son drapeau. Il s'est fait étriller à Quiberon.
Le convoi républicain va passer un sale quart d'heure
Derrière les haies, les chouans décanillent à tire-larigo
Et vas-y que j'te massacre. Ca chauffe dans la cambrousse.
La barricade défendue par un curé (de dos à droite) va tomber
L'assaut final contre une unité royaliste : le régiment de Léon
Les lieux du drame, dans toute leur horreur
Les premiers chouans attendent les bleus de pied ferme
Le convoi républicains folatrant innocemment dans la campagne bretonne
Des émigrés royalistes réunis autour du troquet du coin
Les Ricains sur le pied de guerre
V'là les bestiaux.
Warhammer Age of Sigmar. Ca cogite, acré milliard ed'vingtdediousse !
La table de base
Les franchouillards, prêts à défourailler
Mes hexagones de village. Tiens ! J'ai vu une antenne télé, hi, hi, hi
V'là le chantier. Ca avance bien.
J'ai mis des figs, pour donner une idée de la taille du décor.
Comme d'hab, une partie des unités est cahée au départ
L'aile gauche russe sent le roussi
Mes cosaques de la garde vont découper des fantassins fin, fin, fin
Mes moujiks en 15 mm sur le pied de guerre. Houuuurrrraaaaa !
V'là les biffins. Y a plus qu'à peindre. Au boulot, JJ !
Mes plaques ont leur peinture de base. Je vais dessiner les hexagones.
Les lieux du drame, avant l'empoignade
Les alliés passent la Nive et menacent le flanc gauche français
L'embouteillage à l'aide droite française. Sans gilets jaunes
L'aile gauche alliée plie mais ne rompt pas
Débordé sur sa gauche, le Français va céder le terrain
Une terre de rizières et de trahison où tous les coups sont permis
La ville dont je suis le gouverneur. Ca va saigner sous les kimonos
Les Ruskofs se resoclent. En avant la moujik, comme disait San Antonio
Y a même le curé qui a sorti le flingot.
Sur le pont, les Rifles vont en prendre plein les dents.
Les Français commencent à débouler
Sur l'autre rive, les guerilleros espagnols préparent les banderilles
Les radeaux du D.Day. C'est pas Omaha Beach mais ça va chauffer
Les Anglais et les Ecossais, baïonnettes et cornemuses
V'là les radeaux et le triangle qui indique les directions
Le décor, sans ses arbres et avec une partie des troupes seulement
V'là l'affichette. Je biche.
Les bataillons d'infanterie légère repassent à la toise
Vernis "mat" Prince August à gauche, Amsterdam à droite
Le crâne de Saint Frusquin, découvert sur un pieu.Horreur et damnation
Rencontre païenne en pays picte. C'est pas le boulot qui manque.
La cérémonie rituelle de copulation entre druide et guérisseuse.
Chez les Angles, ça discute et ça picole à mort
Une cérémonie religieuse dans un village breton. Les affaires tournent
V'là un des décors. Ca en jette, non ?
La cérémonie du seppuku. Les tripes à la mode de Kyoto.
Une partie des joueurs "An argader", retors, cruels et redoutables.
Aux portes de l'auberge. "Z'avez de la Gueuze lambic ?"
Ca va pas tarder à défourailler
Ca a chargé de tous les côtés, gottverdammt !
Comme d'hab, les unités trop éloignées commencent à avancer masquées
Ca se joue en 15 mm, sur des plaques à composer librement
Ben, y a plus qu'à, maintenant
Ca va partir à l'abordage de tous les côtés
Les vaisseaux de 74 canons s'en sont donnés à coeur joie
Mes premiers soclages "P'tit tondu"
Les unités sont réparties en socles de 4 figs
V'là le rafiot, pour le moment désossé
C'est du métal. C'est du Langton. Et c'est long à monter.
Le Wagram. Trois ponts, 118 canons et construit à Toulon.
Le combat de 1813, au large de Toulon.
V'là l'engin. Gare aux piles du pont si ça dérive.
Il m'a fallu en boulotter des brochettes pour en arriver là !
Les franchouillards se refont une santé
Chico, Harpo et Groucho. Les frangins du napo.
En début de jeu, des unités avancent cachées.
Une règle : maintenir la cohésion des troupes. Sinon, panpan culcul.
Malgré les fiches, des efforts sont à faire sur les marqueurs.
Un exemple de mêlée sanglante. Ben... y a plus qu'à.
V'là le chantier.
Trois Ch'tis pur porc.
L'un des tunnels creusés par les "kiwis".
Des restes de pioches et des vidéos. Une visite surprenante.
La sortie vers les tranchées
L'attaque du pont de Vera de Bidasoa en 1813
Les légers franchouillards font écran face aux rifles
Le pont existe toujours au pays basque espagnol
Le régiment, pour le moment à 400 hommes. Ca va augmenter.
$Mes chouans, gaulois et réfractaires.$
Mes chouans, gaulois et réfractaires.
Fourche, faux, fusil... Tout est bon pour discuter gentiment.
Un bout de papier à peindre, et le chapeau s'élargit.
Au coeur de la baston. Ca tapait dur.
Belges et Hollandais s'en vont au turbin
Wellington et son état-major, dispersés façon puzzle par un boulet
Les lieux du drame, avant que le plomb coule.
Les Français et leurs renforts
Les anglo-belgo-hanovrio -nassavo-brunswicko alliés. Drôles de cocos.
Un document ultra secret : la carte des mouvements.
Des gars du régiment d'Hector, bidouillés et en cours de peintouillage

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