Du napo dans l'air
HISSE ET HAUT !
Le 19/08/2021
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| Français contre Anglais, classique |
Comme d'hab, si j'ose dire, les Français ont mangé chaud face aux Anglais. L'un de leurs navires, la coque détruite , se retrouvant même contraint de baisser pavillon puis de voir son équipage se rendre avant d'aller passer le reste de l'été sur les pontons de Plymouth.
La règle utilisée était "De l'île de la Tortue à Trafalgar" (je n'ai pas encore trouvé de joueur pour tester Close Action).
Le tapis de jeu, lui, est produit pour une quarantaine d'euros par la société russe https://warzonestudio.com/, quasiment deux fois moins cher que ce que l'on peut trouver en France. Sauf qu'il ne faut pas être pressé pour recevoir sa commande.
MARINADE
Le 09/08/2021
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| V'là les matafs |
Contrairement aux apparences, ce qu'ils portent autour de la poitrine, n'est pas une couverture... mais une bouée gonflable. Même sur le plancher des vaches, on n'est jamais assez prudent.
ET UN DE PLUS !
Le 30/07/2021
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| Les figs sont des Perry plastiques que je gardais depuis des lustres |
Il s'agit du régiment de Lituanie (Litovski) qui a été créé en 1811 à partir du deuxième bataillon du régiment de la garde Préobrajenski.
Ces bougres là ont fait le coup de feu à Borodino, puis pendant les campagnes d'Allemagne et de France jusqu'à la prise de Paris, ville où ils ont fini par bivouaquer pendant plusieurs mois.
A l'époque, le Moulin Rouge n'existait pas encore, mais celui de la Galette oui.
Les canons français qu'il surplombait furent notamment défendus becs et ongles au sommet de la butte Montmartre par les meuniers de la famille Debray.
L'un de ces meuniers étant littéralement mis en pièces par les Russes qui clouèrent ses membres aux ailes du moulin afin de venger la mort d'un de leurs officiers.
Hildepute ! Ca rigolait pas chez les titis.
Mc DO POUR LES OSTROGOTHS
Le 13/07/2021
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| Les lieux du drame. Une vision insoutenable |
Celui-ci avait organisé sur le mode "P'tit tondu" une reconstitution de la bataille de la Trébie qui a opposé en 1799 les Français de Mac Donald aux Austro-Russes de Souvarov.
L'affaire n'était pas simple. Ni dans un camp ni dans l'autre.
Côté français, les ch'ti gars de Mc Do devaient franchir les ponts qui enjambeaient une rivière avant d'aller conquérir plusieurs villages situés sur l'autre rive.
Côté amateurs de bortch et de bretzels, l'objectif était de s'emparer des villages en question puis de repousser les franchouillards. A cela près que de nombreux champs labourés sur lesquels on ne pouvait avancer qu'à demi-vitesse gènaient fortement la progression des troupes.
Troupes qui étaient, en prime, assez inégalement réparties puisque les Ostrogoths supportaient le gros de l'attaque ennemie tandis que les Ruskofs, massés à droite, voyaient deux divisions se suivre tant bien que mal à la queue leu leu, et découvrir les charmes des embouteillages.
Qu'à cela ne tienne ! Tandis que les affidés de Mac Donald prenaient pied assez tranquillement sur la rive adverse, Autrichiens et Ruskofs se sont dépêchés d'investir quatre des six villages srépartis dans la plaine où allait se dérouler la baston.
Plusieurs tours de jeu ont alors été nécessaires pour leur permetre de se déployer et d'occuper à peu près correctement le terrain. Les moujiks, empêtrés dans leurs bouchons et leurs manoeuvres savantes, se retrouvant dans l'incapacité de venir soutenir leurs alliés ostrogoths.
Face à des vagues d'assaut franchouillardes très agressives, les Teutons n'en ont pas moins tenu bon tandis que les Ruskofs s'employaient à à fatiguer l'ennemi sur l'autre aile.
Un travail de sape qui, en dépit d'audacieuses incursions de cavalerie ennemie et de la remarquable combativité d''une brigade polonaise (saleté de jets de dés !) a fini par porter ses fruits.
Résultat : après une bonne quinzaine de tours de jeu (si ce n'est pas plus, car on met pas de plombes à jouer, nous), la nuit tombée sur le champ de bataille a donné la victoire aux alliés par 18 points contre 14,5 en tenant compte des pertes, des unités fatiguées et des villages conquis.
Il était temps ! Car les Français disposaient encore d'une division aussi tonique qu'une donzelle délurée faisant ses premières galipettes dans l'arrière-cuisine du "Perroquet bleu".
Un renfort qui, à la longue, leur aurait sans doute permis de conquérir au moins un village de plus et de renverser le score.
Mais qu'est-ce tu veux, mon pote ? L'heure, c'est l'heure. Une autre fois peut-être, hi,hi,hi.
Commentaires textes : Écrire
FINLIANDSKI, C'EST FINI
Le 11/07/2021
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| pour eux, la chasse (aux Français) est ouverte |
Ce bataillon faisant partie du régiment Finliandski, qui a été créé à la demande de la famille impériale russe, est classé élite dans la liste d'armée présentée par la règle "Vive l'empereur". Tandis que les chasseurs de la garde à proprement parler sont classés garde.
" Les soldats du rang exerçaient la profession d’agriculteurs ou résidaient dans les villages appartenant à la famille impériale. Un grand nombre d’entre eux étaient d’origine finlandaise " précise à ce propos le bien documenté maréchal Wikipédiaskoff.
Bref, pour te labourer les rangs ennemis, y avait pas mieux.
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Tu devrais proposer une initiation au club JJ.