V'là les bestiaux, prêts à bouffer du "brigand".

Mes premiers soldats républicains du projet « Quiberon 1795 » commencent à s’assembler et seront bientôt prêts à en découdre avec les chouans.

C’est toujours du 28 mm et c’est du Victrix un peu bidouillé, aux jambes notamment pour mettre des guêtres à certains d’entre eux.

La boite en contient 60. Donc, y a de quoi faire.

J'aime bien l'officier avec le manteau posé sur l'épaule. Fier comme un bar-tabac...

Ca le fait, non ?

Depuis le temps que les Anglais, ces fieffés buveurs de bière tiède, me faisaient rêver avec leurs locaux de wargame aux p’tits oignons, hé ben je me suis lancé.

Comme j’ai la chance d’avoir un grand sous-sol, j’ai aménagé une partie de ce dernier en salle de jeu et de fabrication de décors. Pas de quoi faire une table de 5 m, mais 3 m ça passe. Que demande le peuple ? 

Des panneaux de placo posés sur les murs en parpaings et des restes de pots de peinture ont permis au dinosaure pousseur de plomb quasi grabataire que je suis de réaliser quelque chose d’à peu près correct.

Quelques finitions sont encore à faire ( plafond en parpaings à peindre en blanc lui aussi, pose d’un radiateur, branchement d’un néon), mais je tiens le bon bout acré milliard ed’vingt de diousse !

L’idéal serait bien sûr d’installer aussi un mini-bar et de poser sur l’un des murs un écran  idéo en ligne directe avec la salle d’effeuillage aménagée à quelques kilomètres de là, au « Perroquet bleu ». Maison discrète et bien tenue où quelques prélats et huiles bretonnes de ma connaissance ont leurs habitudes.

Mais comme le disait Harvey-le-Goulu avant de passer devant son pote le juge, faut jamais abuser des gâteries.