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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

LA, J'AVOUE, JE SECHE

Le 01/12/2019

V'là les bestiaux.
V'là les bestiaux. 
On n'arrête pas le progrès.
Trent Miniatures vient de sortir de nouveaux chouans/Vendéens .La marque ne fait pas la différence entre les deux. Kesse-tu veux, mon pote, c'est des Anglais. Ils voient ça de loin.


 
Cela étant, un doute affreux m'assaille. La forme de leurs pétoires m'étonne. D'autant plus que l'un des combattants exhibe un fusil à canons  juxtaposés.
S'cusez mon ignorance, mais ça existait déjà ce genre de flingue à l'époque ?
Si quelqu'un pouvait m'éclairer, ça me permettrait de m'endormir moins bête le soir quand je pars au pays des rêves castagneurs.

 

DES AMUSE-GUEULE POUR LES CHOUANS

Le 30/11/2019

V'là les gugusses. Tout frais recrutés.
V'là les gugusses. Tout frais recrutés. 
Les divisions de blindés des entreprises de travaux publics de l'Ouest ont lancé ce matin un raid éclair sur les dépots de carburant .
Du coup, le ban et l'arrière ban des troupeaux de  conducteurs qui habitent au joyeux pays de la galette, de la saucisse et du biniou se sont précipités en rangs serrés et comme des morfals sur la moindre station service. Résultat :  les pompes sont à sec.
Impossible dès lors d'allez folâtrer du côté du club de Bruz pour aller y disputer une baston napo.
Qu'à cela ne tienne. J'en ai profité pour peinturlurer quelques républicains de plus. En leur donnant l'allure dépenaillée qui leur convenait en 1795 , avec gilets de civil et falzar recousu dans un tissu tout ce qu'il y a de plus révolutionnaire.
Ce sont les chouans de mon collègue Charles de L'Historic qui vont pouvoir se réjouir.
Du Gaulois tout frais, en brochette au p'tit dej, c'est délicieux. Ca croque bien sous la dent. Et arrosé de cidre,  y a pas plus succulent ! 

 

AH, LA RUSSIE ! SES STEPPES, SES GNONS, SA BOITE A GIFLES

Le 29/11/2019

Au début, les unités trop éloignées de l'ennemi ne se dévoilent pas Le P'tit tondu, ça te prend pas la tête et c'est rigolo Au coeur de la baston, les Ruskofs bétonnent le centre Le choc des cavalerie va s'avérer sanglant pour les franchouillards

Au début, les unités trop éloignées de l'ennemi ne se dévoilent pas
Au début, les unités trop éloignées de l'ennemi ne se dévoilent pas 
Grosse partie de P'tit tondu, jeudi, avec le maréchal Philippe de Pacémoi-Donclesel, débarqué en Morbihan en arrivant tout droit des terres de la féroce tribu des Ilsontvilains.

Le madré tacticien alignait des franchouillards face à mes hordes de moujiks. Avec la ferme intention de conquérir les trois villages dans lesquels ces derniers avaient planqué quelques  tonneaux de Slivovitz. 

Vingt de diousse ! Y avait du monde pour la baston : tout un corps d'armée dans chaque camp. Vu que sur les hexagones du P'tit tondu, l'unité de base est la brigade et que ce qu'on aime, nous, c'est d'aligner plein de matos sur la table. Histoire d'être occupés à gauche , à droite, au centre, au-dessus, en dessous, avant le fromage, pendant le fromage, après le fromage et bastonner sur tous les fronts.
Bref, on ne goûte guère le riquiqui, le gagne-petit, le miséreux. Notre karma, c'est la grande bouffe figurineuse. Miam, slurp und raaaah lovely ! 

Faut dire ce qui est, de ce côté là, la séance de chicorée slave a tenu ses promesses. 
Cela, tout en appliquant une règle simple, facile à digérer et permettant des manoeuvres rapides.

Je rappelle le principe. Soyez attentifs, bande de mécréants peinturlureurs 

On joue à tour de rôle.
Chaque joueur lance des dés qui vont indiquer le nombre d'unités que son adversaire peut activer.
Mais il tient le résultat caché. 
Cela  oblige son adversaire à gérer au mieux ses déplacements. Dès que le résultat des dés est atteint, celui-ci doit en effet arrêter tout mouvement.

Hier, on lançait 3 dés. Ce qui donnait donc 18 points d'activation maximum étaient possibles dans chaque camp. Sachant que l'on pouvait aussi tomber sur un résultat maigrichon de 3 points. Ce qui est parfois arrivé, hi, hi,hi. 

Ensuite, le joueur qui joue (ce qui est le propre du joueur, hé banane ! ) , doit activer ses troupes division par division, sans possibilité de revenir en arrière.
A la fin de son tour, il peut également amener le général en chef à activer gratuitement toutes les unités qui se trouvent à deux haxagones de lui.
Simple, efficace et de bon goût.

Une troupe d'infanterie avance de 2 hexagones par tour (1 hex s'il grimpe une colline, entre dans un village ou un bois). La cavalerie avance de 4 hex. 

Bon, je passe sur les détails. Mais faut gamberger un chouia avant d'avancer et ça donne un résultat plutôt réaliste.
De plus, quand on se viande, on peut toujours dire que c'est la faute de ces saletés de c... de p... de m... de dés. Elle est pas belle, la vie ? 

Hier, le dernier mot est resté aux Ruskofs qui ont bétonné deux villages sur trois.
Mais je fais confiance à Philippe-le-Teigneux pour prendre rapidement sa revanche.
Ce qui pourrait peut-être arriver pas plus tard que demain où une autre baston napo est prévue dans le fort sympathique club breton des Hussards d'Isengard, à Bruz (35). 

Cette fois-ci, on jouera du Volley & bayonets.
Tant il est vrai que la fig, c'est comme avec le beau sexe. Côté galipettes, faut toujours savoir varier les agitations. 


 

 

IL EST BON, LE GARS D'HENNEBONT

Le 20/11/2019

Un exemple parmi d'autres
Un exemple parmi d'autres 
Il y a des idées à prendre la-dedans. 
Parmi les figurinistes repérés lors du salon de Lorient, j'ai rencontré un gars d'Hennebont qui utilise des Perry, Victrix et Warlord pour imaginer des saynettes plutôt bien goupillées.Avec un principe : ne jamais y intégrer deux figs qui se ressemblent. Tels ces combattants du régiment anglais de Sussex. Sympa, non ? 
Le gars en question, un ancien mataf, n'a pas de site Internet. Dommage.

 

POILADE

Le 19/11/2019

Les lieux du drame, emplis de cris d'orques et de hurlements nanesques Mes nains perso à moi. Raaah lovely ! Les archers des forces du bien. Qui s'y frotte s'y pique. Au coeur de la baston, Gondor et Urukhaïs discutent philosophie

Les lieux du drame, emplis de cris d'orques et de hurlements nanesques
Les lieux du drame, emplis de cris d'orques et de hurlements nanesques 
Le wargame, c'est comme le baba au rhum ou le banana-split.
Y a des jours où, après y avoir goûté, on affiche un sourire aussi large que celui de Mme Odette quand elle compte sa recette après avoir accueilli toute une division d'infanterie au "Perroquet bleu", établissement discret et bien tenu habitué à voir défiler en rangs serrés le gros de l'armée de terre et une partie non négligeable de l'épiscopat gaulois.

Hé ben, ce sourire-là, je l'affichais grand comme ça quand je suis revenu dimanche du salon de la maquette et de la figurine de Lorient.
La joyeuse bande des joueurs de la CROM (Compagnie des rôlistes morbihannais) y organisait une baston médiévale-fantastique pas piquée des vers. Avec des Urukhaïs baveux, des orques pustuleux, des elfes noirs teigneux et des wargs hargneux chargés de faire passer de vie à trépas tout un fatras de nains, d'humains et autres alliés de tous poils.

Belle occasion pour vérifier si les haches de mes guerriers des mines de l'Amora (ceux à qui la moutarde monte facilement au nez) étaient bien affutées. Mais surtout pour passer un excellent moment.

Croiser des joueurs qui rigolent quand ils foirent leurs jets de dés, qui ricanent quand ils ne peuvent pas bouger d'un quart de poil de derche de gobelin,  et qui se marrent même s'ils se font hacher fin, fin, fin  - bref qui sont uniquement là pour s'amuser et se moquent comme de leur première chaussette trouée  de savoir s'ils vont perdre ou gagner -  est une chose, disons... rafraichissante.

Perso, j'ai grandement apprécié. Alors, je ne vous dirai pas si mes nains ont eu le dessus ou le dessous. M'en fous. Je me suis bien marré. C'est tout ce qui compte. Respect, la CROM. 

 

 

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