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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

DES VAGUES ET DU ZEF

Le 19/03/2020

Un chouia d'écume. Pas de doute, on est en Bretagne. Du bleu, du vert, du gris... et beaucoup d'essais.  Ca le fait, non ?

Un chouia d'écume. Pas de doute, on est en Bretagne.
Un chouia d'écume. Pas de doute, on est en Bretagne. 
J'avoue que j'en suis pas mécontent. La première partie de mer du décor de Quiberon est réalisée après pas mal d'essais, de couches de peinturlurage et d'heures de patience (le temps que tout ce tintouin condescende à sécher).
Tout cela, réalisé avec du papier essuie-tout, de la colle à bois délayée et de la peinture... à l'eau évidemment. 
Un bord de mer par coup de vent. C'est mes chouans qui vont être contents. 

 

LES DEUX PIEDS DANS LA M...ER

Le 15/03/2020

Manquent encore les crêtes des vagues et les cris des goëlands
Manquent encore les crêtes des vagues et les cris des goëlands 
Pendant que le corona vire et que les votants votent autour des urnes aseptisées, je m'attaque à la mer quiberonienne.
Faut dire ce qui est. Ce n'est pas facile de trouver la bonne teinte de glaz, le vert pâle mâtiné de bleu.
Mais ça vient doucettement.
Après 6 ou 7 couches différentes (trop bleue, trop verte, trop sombre, trop jchaiplusquoiencore, je commence à m'approcher de ce que je recherche.
La technique consiste à délayer fortement à l'eau les couches de peinture, quitte à absorber les excès en les aspirant avec un tampon de papier essuie-tout.
Ensuite, il faut avoir la patience de laisser sécher et, quand le support est encore un peu humide,  rectifier, rectifier encore.
Voilà où j'en suis pour le moment. C'est tout frais, et même encore carrément mouillé. Je verrai demain matin ce que la teinte donne après séchage (car il y a toujours une évolution).
Sachant aussi que les crêtes et l'écume des vagues n'ont pas encore été peintes.

 

LE BAS PEUPLE EST DE SORTIE

Le 04/03/2020

V'là la populace.
V'là la populace. 
C'est tout frais. C'est à peine sec.
Quelques personnages de plus pour mes prochains scénarios de chouannerie.
Une précision à l'intention des puristes, des casse-bonbons (j'ai les noms) et des amateurs de weinteinisation effrénée de mouches : pour habiller l'une des femmes, je me suis inspiré du costume et de la coiffe portés par les personnages de l'affiche d'une expo qui aura prochainement lieu à Saint-Pol-de-Léon.
J'ai aussi peint un bourgeois et un commissaire de la République accompagné de sa femme qui (parce que je n'avais pas le temps de faire la même chose) s'est achetée une coiffe plus "moderne" dans un nouveau magasin ouvert à Vannes en 1795 : "Au chic du sans-culotte parisien" .
J'ai enfin eu l'idée de bidouiller un colporteur (au premier plan) portant son armoire à tiroirs sur le dos.
J'ignore la marque des figurines. J'avais ça depuis longtemps dans mes fonds de tiroirs.

 

LE P'TIT TONDU VIRE SA CUTIE

Le 28/02/2020

Le champ de bataille, une vision insoutenable Les chars ruskofs, eux, ont donné... dans le barbecue Les chars teutons ont donné du canon. Sales bêtes, va ! Mon chasseur-bombardier Sturmowik. C'est un Altayaski

Le champ de bataille, une vision insoutenable
Le champ de bataille, une vision insoutenable 
Les chevaux étaient mécaniques et les bombes tombaient dru. Mais le test a été réussi.
Avec le maréchal Pilippe de Pacé-Moilesel, on a essayé de voir comment la règle du "P'tit tondu" jouée sur hexagones et habituellement consacrée au napoléonien, peut être adaptée aux combats de la seconde guerre mondiale. 
Hé ben, ca le fait mes gaillards ! Même si les spécificités propres à chaque unité (chars, artillerie, infanterie, mitrailleuses etc.)  sont un peu plus variées.
Le principe est toujours le même : chaque joueur dispose d'un certain nombre de points d'activation décidé sur un jet de dé lancé par le joueur adverse et dont le résultat est tenu secret tant que le quota attribué n'a pas été dépassé. De même, chaque unité dispose d'un certain nombre de points de vie qui déterminent également sa force. 
Les tirs et les combats, eux, sont résolus par des jets de dés auxquels viennent s'ajouter des bonus ou des malus assez simples.
Certes, quelques détails sont encore à peaufiner. Mais la première partie, qui opposait des Teutons frappés par le coronavirus à des moujiks atteints de la peste bovine s'est avérée concluante. Sachant qu'elle intégrait également des tirs d'artillerie hors table et des passages d'avions. 
On recommencera donc, sans doute cette fois-ci non plus avec du 15 mm mais avec les figs au 1/72 que j'utilise pour Blitzkrieg.
Si une démo intéresse les biffins que vous êtes, il suffit d'agiter le képi et de m'envoyer un message. Car le Seigneur a dit : "Agite les bras et je te verrai de loin". 

 

QUIBERON, C'EST TOUT BON

Le 26/02/2020

Vu du nord-est. L'accès au fort. La mer est encore à peindre. Mais patience, ça va venir.

Vu du nord-est. L'accès au fort.
Vu du nord-est. L'accès au fort. 
Le projet Quiberon 1795 continue à avancer. Lentement, mais il avance.
En me basant toujours sur des plans du XVIIIe siècle, j'ai installé les plateformes sur lesquelles se trouvaient les canons, derrière les parapets de terre.
J'ai aussi réalisé un chemin d'accès et prévu l'emplacement de la poterne située sur la pointe sud du fort, terminé la plage, commencé à peindre des petites falaises situées à l'Est, prévu les fondations de la redoute Est,  rectifié la pente menant aux parapets du fort et dessiné l'emplacement des parapets légers aménagés du côté des grandes falaises ouest.
C'est du boulot et du pas à pas. Mais c'est bonnard.
Peut-être qu'à la Noël 2237, j'aurai tout terminé. 

 

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