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RATATOUILLE CORSE

Le 13/06/2020

V'là les olibrius Un autre Corse, aussi frais qu'un vieux brocciu

V'là les olibrius
V'là les olibrius 

Histoire de continuer à pimenter les commentaires sympathiques qui accompagnent toujours les bastons, je nourris un projet sournois

Après avoir réalisé les Français des Chasseurs Britanniques qui ont servi sous le drapeau anglais, je vais me faire une joie de peindre le régiment des Corsican Rangers.

Cette unité d’infanterie légère composée de corses sécessionnistes et d’émigrés a combattu les Français à Aboukir en 1801.

Elle a également contribué à la défaite des Français lors de la bataille de Maida. Celle-ci a été livrée en juillet 1806 à la suite d’un débarquement opéré par les Anglais en Calabre.

Détail pittoresque : en 1800, le commandant des Corsican Rangers n’était autre que le capitaine Hudson Lowe, un pisse-froid comme on en fait peu, voué par la suite à devenir le geôlier de Napoléon à Sainte-Hélène.

Hi, hi, hi… Va y avoir de l’ambiance autour de la table.

Toujours à propos de Maïda et dans un tout autre registre, le féroce général morbihannais Charles de Monchocolat-Auxnoisettes, grand amateur d’Helvétie contre lequel je ferraille de temps à autre sur une table de jeu, sera ravi d’apprendre que les troupes françaises alignées en Calabre comprenaient le 4e bataillon du 1er régiment suisse.

Les Anglais n’étaient en reste puisque, lors de la même bataille de Maida, ils comptaient dans leurs rangs le fameux régiment suisse de Watteville.

Je ne sais pas si les deux unités se sont rencontrées sur le champ de bataill et se sont saluées comme ce sera le cas deux ans plus tard au sud de l’Espagne, à Bailen.

Une chose est certaine : le bataillon suisse de Maida, tout en étant contraint de reculer face aux godons, a conservé son ardeur, sa combativité et sa discipline lors de la chicore calabraise.

Des pros, ces Helvètes. Quel que soit le ratelier sur lequel on leur servait le rata.

 

 

TOUT VIENT A POINT A QUI SAIT ATTENDRE

Le 10/06/2020

V'là les emblèmes. Ca manquait, n'est-il pas ?
V'là les emblèmes. Ca manquait, n'est-il pas ? 
Alleluia et toutes ces sortes de choses ! 
On était quelques uns à se demander de quoi ils auraient l'air. Voilà la réponse. Les drapeaux des Chasseurs Britanniques - cette unité française servant chez les buveurs de thé - viennent de m'être envoyés par l'excellente marque GMB Designs.
Ils portent l'inscription "REGT OF CHASSEURS BRITANNIQUE".
Sans que l'on puisse savoir si l'omission du  "s" est là pour indiquer que c'est le régiment qui est  britannique, ou bien s'ils s'agit  d'une sorte de coup de pied de l'âne orthographique asséné en loucedé par nos voisins grands bretons qui, comme chacun le sait, ne font jamais rien comme les autres (c'est d'ailleurs même à ça qu'on les reconnait).
 
 

 

VIVE L'EMPEREUR ... DU JAPON !

Le 07/06/2020

Embusqués, les monstres d'acier ricains ne feront pas de quartier. Acte premier : les aviations nipponne et US se chicorent Les lieux du drame : une vision insoutenable La flotte japonaise : gare aux torpilles. Elles sont redoutables.

Embusqués, les monstres d'acier ricains ne feront pas de quartier.
Embusqués, les monstres d'acier ricains ne feront pas de quartier. 
Les requins se sont régalés samedi, dans la bonne ville de Bruz.
Une baston de style guerre du Pacifique y était organisée par les Hussards d'Isengard . Une bande de furieux qui , pour la circonstance, s'étaient tous équipés de leurs bouée gonflable en forme de canard. Mieux valait être prudent.

La flotte japonaise, dont le misérable ver de terre qui vous narre cette empoignade avait l'audace de faire partie, avait été placée sous le commandement du neveu de l'empereur, Damien-le-Bourrin, et de son fidèle (et quelque peu failloteur)  adjoint, Hirophilippe San, l'ogre d'Ille-et-Vilaine. 
Son objectif : partir à l'assaut d'un convoi de ravitaillement US qui avait eu l'outrecuidance de débarquer son matos sur une île bourrée de GI's.

Rude affaire. Car le convoi en question était protégé par des monstres en métal, dont l'effroyable cuirassier "Missouri". Une montagne de tôles et de canons qui s'est fait un malin plaisir de découper fin, fin, fin une bonne partie de mes destroyers lance-torpilles. Entre autres amuse-gueules...
Certes, nos canons et quelques torpilles bien placées  nous ont fait à un moment miroiter la victoire.
Mais ces maudits Ricains étaient teigneux, entêtés et surtout fort bien équipés.
La cérémonie du seppuku a donc conclu cette rude journée disputée selon la fort intéressante et tactique règle "Victory at sea". A refaire, la bave aux lèvres, acré milliard ed'vingt de diousse !. 

D'ici là, une autre baston attend certains d'entre nous pas plus tard que vendredi prochain. Cette fois-ci, les Français discuteront le bout de gras  avec les Ostrogoths dans l' Italie de 1796.  Au programme : du 28 mm et la règle "Vive l'Empereur " jouée quelque part du côté de Gènes.
Car c'est bien connu, quand y a pas Gènes, y a pas de plaisir.


 

 

JE VOUS ASSURE, MON CHER COUSIN, VOUS AVEZ DIT BIZARRE

Le 06/06/2020

V'là l'olibrius. Je penche pour l'hypothèse 4 .
V'là l'olibrius. Je penche pour l'hypothèse 4 . 
Ce  chouan là m'intrigue. Trent Miniatures l'a en effet imaginé avec un foulard qui lui entoure le chapeau. 
Je sais bien que les coups de vent ne sont pas rares sur le côtes du Morbihan, mais je me pose quand même des questions. Car plusieurs hypothèses sont également envisageables *:
1) Après avoir entendu le tocsin sonner au clocher du village, le bonhomme, un peu ému, s'est habillé précipitamment et a emporté, sans s'en rendre compte, le chapeau de sa belle-doche.
2)  Ce garçon délicat sortait juste de chez le coiffeur le plus réputé d'Auray et il tenait absolument à préserver les frisettes qu'il s'était fait faire par Monsieur René, le roi de la permanente.
3) Après avoir boulotté un gigot de grenadier républicain fraîchement dessoudé dans un chemin creux, ce morfal s'était cassé une molaire sur un os (car le républicain, c'est coriace) et avait attrapé une rage de dent.
4) Le sculpteur de Trent Miniatures était bourré comme une huitre après avoir vidé toute une boutanche de Glenglassaugh Port Finish, un whisky écossais dont vous me direz des nouvelles.
* Rayez les mention inutiles.

 

 

HOME, SWEET HOME

Le 05/06/2020

Quand le bâtiment re-va, tout re-va.
Quand le bâtiment re-va, tout re-va. 
J'ai encore un tas de choses à faire dessus : poser une cheminée, peindre les pierres, passer un lavis sur les joints, travailler les fenêtres, coller des volets, mettre un peu d'herbes folles au pied des murs... 
Cela dit, l'essentiel est fait. Ma seconde chaumine bretonne, à utiliser pour les scénarios de chouannerie, avance bon train.
Les murs sont en carton sur lequel j'ai collé un à un un tas de morceaux de plaque de liège. Un enduit de finition a ensuite été passé entre les pierres pour simuler le mortier.
Je ferai pas ça demain vu que, demain... c'est la rentrée des classes hé, hé, hé.
Une baston navale 2e guerre mondiale, la première baston d'après confinement, se disputera en effet au sud de Rennes dans le garage d'un belliqueux amiral ilestvilain.
Selon toute vraisemblance, cette castagne en eau salée opposera des Amerloques à des Japs. 
Hildepute und palsembleu ! Ca va encore y aller de la torpille. 

 

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