Du napo dans l'air
LE CARTON QUI CARTONNE
Le 12/11/2020
V'là la bâtisse. Y a plus qu'à envoyer les biffins |
Je vais essayer de trouver une vieille repro d'affiche ruskof de la 2e guerre mondiale pour en coller quelques lambeaux sur un de ses murs.
C'EST AU PIED DU MUR QU'ON VOIT LA BASTON
Le 12/11/2020
Gris béron, noir fumée d'incendie... y a un peu de boulot en peinture |
La préparation des décors de la bataille de Narva qui a vu Ruskofs et Teutons se friter grave en 1944 nécessite la création de pas mal de décors de bâtiments.
Comme mon budget n'est pas extensible et que le dieu Loto refuse mordicus de me sourire (du moins pour le moment), j'ai donc eu l'idée saugrenue de bâtir des immeubles avec des calendriers.
Rien d'illogique à ça. Car le carton c'est sans doute à peu près aussi solide que les murs qu'on élevait à l'époque à la va vite pour le bas peuple. Qui plus est, la réalisation n'est pas si complexe que ça et avec la peinture, ca devrait passer sur une table de jeu.
V'là un premier résultat. D'autres ruines vont suivre. Allez JJ ! On y croit.
- Commentaires textes : Écrire
DAVAI !
Le 11/11/2020
Ca s'arme dans les deux camps. Ici, les Teutons nazillons. |
Camarades, l’heure est grave !
Tandis que les chouans continuent à se peintouiller à l'ouest, le ciel vire à l'orage à l'Est.
Notre glorieuse armée rouge s’apprête en effet à refouler l’ennemi fasciste hors des Pays baltes lors d’une campagne Blitzkrieg au long cours organisée par le vaillant club des Hussards d’Isengard.
Certes, après s’être alliés en 39 avec le même ennemi fasciste, on en profitera pour remettre la pogne sur les suscités pays baltes. Mais foin de ces détails scabreux et autres billevesées politiciennes.
Le ch’ti père Adolf et ses hordes de tueurs ayant eu la malencontreuse idée de nous envahir, le temps de la vengeance est venu et les usines de matos tournent à plein dans chaque camp.
Tanks, camions, avions, équipements de troupes… Tout est bon pour préparer les bastons qui se profilent à partir du début de l’année 2021.
Sauf évidemment si le scorbut, la gale, la peste, la malaria, le SRAS, la lèpre, la grippe espagnole, l’ébola et le coronavirus ou la chtouille scrofuleuse ne viennent pas nous conter fleurette d'ici là et retarder la date de notre grande offensive patriotique.
Comme le dit souvent mon voisin commissaire politique en armant son flingue derrière la nuque d’un opposant au régime : on a beau se planquer et prendre ses précautions, on n’est jamais à l’abri d’un petit ennui de santé.
UN BOURRIN DE PLUS POUR LES BLEUS
Le 08/11/2020
Le bras armée vient en fait d'un...officier d'infanterie. |
Avant de m'attaquer à la peinture de mes recrues chouannes qui viennent d'être "bretonnisées", je passe une partie de mon temps à recycler ainsi vieux restes de cavaliers pour renforcer les rangs de mes chasseurs à cheval.
En voici un portant un uniforme de 1799, à l'époque où ca ferraillait encore dur dans les campagnes morbihannaise .
Ca doit être du Warlord ou du Victrix, j'chai plus. Je m'en servirai dans les scénarios de la règle Argad et dans ceux de Song of drums & shakos. C'est pas les idées qui me manquent pour l'utiliser.
Tout ça n'empêche pas évidemment les projets de bastons de se poursuivre.
Déjà, pour les mois de décembre et de janvier, une grosse et dynamique partie napo de P'tit tondu se profile à l'horizon, ainsi que le lancement d'un campagne Blitzkrieg disputée sur le front russe pendant la 2e guerre mondiale (c'est pas le matos qui manque, hildeputovski ! ). Idem pour une attaque de trainards franchouillards dans les steppes enneigées de 1812, sur le mode escarmouche.
Tout cela est saupoudré d'autres rencontres terrestres ou navales concoctées au sein du club des Hussards d'Isengard.
Raaah lovely ! Les microbes et autres saletés postillonneuses ont beau s'agiter, c'est pas eux qui auront le dernier mot.
- Commentaires textes : Écrire
CHASSEURS...ET PILLEURS
Le 04/11/2020
Mes chasseurs en casques Tarleton. D'autres suivront |
Qui plus est, sauf erreur et d'après ce que j'ai lu jusqu'à présent, elle n'a pas énormément donné. Les estafettes chargées de lui transmettre ses ordres étant plus occupées à piller le pays qu'à faire leur boulot. Braves garçons, va !
J'en ai quand même profité pour me mettre à peindre quelques chasseurs à cheval en m'inspirant de diverses tenues de l'époque. Idem pour le guidon d'un régiment que j'ai dégotté dans un livre consacré aux drapeaux et étendards de la Révolution.
Voilà une partie de la troupe. Trois autres cavaliers, portant d'autres uniformes, sont encore à venir.
Une petite odeur de crottin sur la lande sableuse et iodée, ça peut pas faire de mal.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Bravo!!! super résultat!! J'ai opté pour du polystyrène mais çà rend moins bien et c'est plus fragile.