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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

DU GROS QUI RENACLE PAS A LA TACHE

Le 21/12/2020

V'là le bestiau. D'autres, plus gros encore, suivront Détail cocasse, il a une mitrailleuse à l'arrière. Pour les hésitants

V'là le bestiau. D'autres, plus gros encore, suivront
V'là le bestiau. D'autres, plus gros encore, suivront 
Je continue à donner dans le lourd et le pas fin en prévision de la campagne "Blitzkrieg" 1944 qui verra mes cocos affronter les teutons dans la riante (mais très dévastée) banlieue lituanienne de Varna, à partir de janvier prochain.

Comme des chars Tigre et Panther vont être utilisés par les joueurs d'en face, autant se doter en effet de choses un peu tantinet solides : tel ce KV1 B équipé d'un canon long de 76 mm que j'ai ressorti d'une vieille boite de maquette qui trainait dans mes tiroirs depuis des lustres.

Certes,  ce type d'engin lourd ne suffira pas - loin s'en faut - à affronter les monstres hitlériens.
Je vais donc lui adjoindre ces prochains jours des JSU 154 , "lents et rustiques" indique la règle, mais surtout dotés d'une capacité anti-char raisonnable (8) ainsi que d'un blindage qui ne l'est pas moins (17 de face, 15 de flanc). 
Tout cela venant compléter l'arsenal sur chenilles dont ma glorieuse armée rouge du Morbihan dispose déjà en prévision des mémorables bastons qui l'attendent.

Du nerf, camarades ! Pendant que les hordes bourgeoises se gaveront de foie gras  et de petits fours lors du réveillon de Noël, les masses travailleuses que j'ai l'honneur de guider avec la bienveillance qui m'est coutumière, visseront et boulonneront d'arrache-pied dans les démocratiques ateliers de mon sous-sol (1) . Et la victoire sera à nous ! 

(1) De toutes façons, elles n'ont pas le choix. C'est ça ou le goulag. 

 

 

TROIS MASQUES POUR UNE BASTON

Le 19/12/2020

Les Ostrogoths face à la ligne de feu russe. Chaud devant ! La cavalerie russe face aux Teutons, avant l'erreur de la dispersion. La batterie lourde ruskof n'a, hélas, pas fait long feu Villages, collines et gadoue... Les lieux du drame

Les Ostrogoths face à la ligne de feu russe. Chaud devant !
Les Ostrogoths face à la ligne de feu russe. Chaud devant ! 
Du Russe qui discute le bout de gras avec de l’Autrichien. En napo, ça n’arrive pas tous les jours. Mais quand ça survient, faut pas s’attendre à de la poésie.

L’affrontement - masqué et hydroalcoolisé comme il se doit -   s’est produit pas plus tard que ce samedi sur les terres ensanglantées de la féroce tribu des wargameurs ilsontvilains.

D’un côté, l’ataman JJ Tantpis-Tyraspasauski, autrement dit ma pomme, ricanait à la tête des corps d’armée moujiks.
De l’autre, le feldmarchal Frank von Schnaps und Rigolate, tout droit débarqué du sud rennais, défilait devant ses hordes ostrogothes .
Tout cela sous le regard  impitoyable du maréchal-arbitre Philippe de Pacémoi-Donclesel, organisateur de la rencontre et docteur honoris causa de la très ludique et agréable règle sur hexagones « Le p’tit tondu ».
Bienvenue chez les teigneux ! Approche de Noël ou pas, personne n’était là pour se faire des cadeaux.

L’affrontement, émaillé de défense de villages, de traversée de champs boueux et de galipettes collinesques a pour sa part permis de rappeler quelques vérités élémentaires, dont celles-ci.
- Une ligne d’infanterie bien déployée, hé ben ça peut faire très mal, mon pote ! Surtout quand l’adversaire avance en gros tas compacts mais quelques peu désordonnés. Les Teutons l’ont  vite appris à leurs dépens.
- Une cavalerie qui se la joue « groupir » a toujours plus de chance de l’emporter sur un ennemi qui, va-t-en savoir pourquoi, divise ses forces au mauvais moment. Les Ruskofs en ont encore mal aux fesses.

Cela dit, au final et à la nuit tombante, l’avantage est resté – de peu certes, mais resté tout de même aux Teutons.
Bien que malmenés sur leur aile droite et littéralement fusillés au centre, les Ostrogoths ont en effet su tirer avantage d’une artillerie judicieusement disposée au cœur de la baston ainsi que de l’ardeur déployée à gauche par leurs cuirassiers. Ah, les sales bêtes !

Résultat : 3 brigades perdues côté slave, une seule chez les mangeurs de choucroute. Aaaaargh, y  a des jours où la vodka s'avale de travers. Cela dit, on ne demande qu’une seule chose : remettre ça, vingtdediousse !

 

 

LES AFFAIRES REPRENNENT, HILDEPUTE !

Le 17/12/2020

Le quartier de JJjanski, prêt à accueillir les embuscades
Le quartier de JJjanski, prêt à accueillir les embuscades 
Chassez la fig, elle revient toujours au galop.
Avec le déconfinement, même encadré, les bastons reprennent, même contrôlées , scrupuleusement masquées et hydroalcoliquement solutionnées.
La prochaine aura lieu cette semaine près de Rennes. Elle mettra notamment aux prises des Ruskofs face aux franchouillards dans le cadre de la campagne de 1812. Tout cela se déroulant sur hexagones avec la très ludique règle "Le p'tit tondu".

Dans le même temps, tout ce tintouin ferrailleur ne m'empêche pas de continuer à peaufiner l'armée rouge que j'alignerai en janvier pour la campagne Blitkrieg disputée aux alentours de Varna, en 1944. 
Il en va de même pour les décors de cette homérique baston, parmi lesquels ces quelques immeubles en carton stalinien fabriqués avec de vieux calendriers : deux sont à deux étages, le troisième possède un étage. Un bonheur pour les mitrailleuses.
D'autres suivront sans doute. Au pays des soviets, les pas les ruines qui manquaient à l'époque.

 

ET DE DEUX !

Le 28/11/2020

V'là ce qui termine (pour le moment) mon Armée rouge.
V'là ce qui termine (pour le moment) mon Armée rouge. 
Ma deuxième compagnie mixte ruskof est prête à tailler dans le gras des SS lors de la bataille de Narva qui aura lieu... disons, un de ces quatre.
Voici les biffins avec une de leurs section armée de Ppsh, soutenue par un mortier de 50 mm, une mitrailleuse lourde, un tireur d'élite et accompagnée par les servants d'un canon anti-aérien de 85 mm.
Canon dont les ruskofs se servaient également comme anti-char. Hé oui ! Au pays des soviets, pourquoi dépenser deux roubles quand on n'a déjà pas le début du commencement du premier ?

 

 

SPECIAL TIR AU PIGEON

Le 24/11/2020

V'là l'engin, en attendant que j'y rajoute les artiflos.
V'là l'engin, en attendant que j'y rajoute les artiflos. 
Bon, ben, après les annonces de Macron 1er, je crois que j'ai encore largement le temps de préparer la campagne Blitkrieg de 1944 qui opposera les Ruskofs et les Teutons en Estonie.

Ca ne m'empêche pas de continuer à fourbir mon matos, comme dirait Mme Odette en rajoutant quelques lames de rasoir au fouet qu'elle utilise pour les séances sado-maso proposées aux prélats de son diocèse chaque jeudi soir de 19h30 à 21h (faut pas que ce soit trop long, sinon après, ça devient du vice).

Un équipement bien utile vient ainsi de rejoindre mon arsenal soviétique : un canon anti-aérien de 85 mm concocté au 1/72 par la marque Zvezda.

Détail cocasse : nul besoin de colle pour le monter. Les élements qui le constituent s'emboitent directement.
Ceci étant et soit dit en passant, mieux vaut assurer le coup en mettant un ch'ti point de colle ici et là. Car on a beau être certain de la qualité de la production de masses ouvrieuses, en Ursse comme ailleurs, on n'est jamais trop prudent.




 

 

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