blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

Du napo dans l'air

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

Du napo dans l'air

WATERLOO : LA REVANCHE EST UN PLAT QUI SE MANGE FROID

Le 10/01/2021

En pleine baston. Ca rigole pas dans l'hexagone. Mais le dernier mot reviendra aux gros talons franchouillards Les Brunswickois progressent à l'aile gauche alliée Les positions de départ, avec le brouillard de guerre

En pleine baston. Ca rigole pas dans l'hexagone.
En pleine baston. Ca rigole pas dans l'hexagone. 
Un concentré de bataille de Waterloo jouée sur hexagones. Rien de tel pour réchauffer ses vieux os de frappadingue du jeu d'histoire quand le temps est aux frimas. 

C'est ce que l'on vient de faire à quatre gugusses masqués réunis dans le garage-frigidaire (14 degrés...mais on était bien couverts)  du féroce maréchal Philippe de Pacémoidonclesel-Monbrave.
Les manoeuvres concoctées à la sauce du "P'tit tondu" étant effectuées par des franchouillards, des Anglais, des Brunswickois et des Hollando-Belges. Rien que du beau monde, quoi.

Rude partie que celle-là qui, après avoir vu les buveurs de thé et de bière tiède hésiter, tournoyer et flageoler face à la détermination napoléonienne a amené le camp allié à rattraper son handicap de début de partie, puis à prendre l'avantage . Tout cela pour s'incliner finalement d'un point face aux charges furieuses de la cavalerie lourde française. 

La partie démontrant une fois de plus qu'il est toujours bon de se garder une réserve de troupes pour mener l'assaut final. Mais aussi qu'il ne sert pas à grand chose, sinon à rien, de ménager des unités costauds (Garde anglaise, bataillon écossais) qui seraient bien mieux utilisées en pleine castagne. Fainéants, va ! 

Au final, en dépit du froid et des précautions anti-covidiennes dont je me suis régulièrement oint les mains alcoolo-aseptisées, un moment de jeu sympa.
Parce que, rester planté tout le temps comme un glandu solitaire devant l'écran de son ordinateur, ça va bien cinq minutes, hein ? 

 

 

VINGT DE DIOUSSE ! CA CAILLE !

Le 06/01/2021

J'en ai froid pour eux.
J'en ai froid pour eux. 
Je viens de placer mes trainards de la retraite de Russie dans un congélateur pour les entraîner au scénario d'escarmouche qui les attend d'ici quelque temps chez les Hussards d'Isengard.
Entre les flacons de vaccin contre le coronavirus achetés au marché noir à une sompbre officine de Shangaï (non, je déconne)  et mes gigantesques réserves de glace rhum-raisin (miam, slurp, raaaah lovely  !), ces apprentis pingouins avaient juste la place de se mouvoir. 
Quand la partie commencera, j'espère simplement qu'il leur restera au moins deux ou trois doigts à chaque main pour être encore capables de lancer les dés. 



 

 

PLUS ON SE LES GELE, MIEUX C'EST

Le 05/01/2021

Une des passerelles qu'emprunteront les trainards Les lieux du drame dans toute leur effroyable vision

Une des passerelles qu'emprunteront les trainards
Une des passerelles qu'emprunteront les trainards 
La rivière gelée de mon décor de retraite de Russie commence à prendre forme. Bordée de haies de roseaux, elle sera franchie par trois passerelles en bois, histoire de pimenter un chouia le scénario d'escarmouche qui mettra aux prises mes trainards français aux cosaques et à leurs potes.
La rivière sera bien entendu traversable en dehors des passerelles, mais avec quelques risques. Idem pour les cavaliers qui pourront la franchir d'un bond. Du moins si le bourrin qu'ils montent et les dés y condescendent. Sinon, ce con, hé ben il descendra. 
Chariot, canon brisés, fourgon ambulance... il faudra aussi que j'égaie le décor avec d'autres obstacles.
Pour le reste, j'hésite encore sur la possibilité - sur un double 6 au dé - d'éborgner un cosaque en lui balançant une boule de neige dans l'oeil, façon LBD ("lanceur de boule de défense").
Une technique de combat rustique mais efficace quand, la veille au soir, on a brûlé la crosse de son mousquet pour réchauffer les derniers arpions qu'il vous reste dans les groles 

 

DU RENFORT CHEZ LES BLEUS

Le 04/01/2021

V'là les galonnés. Ca manquait chez les patauds.
V'là les galonnés. Ca manquait chez les patauds. 
Y a pas que l'épidémie de covid qui menace les côtes morbihannaises.
Du côté de Quiberon, même 225 ans plus tard, on se méfie toujours chaque année de l'éventuelle arrivée sur nos plages de masses compactes de touristes d'émigrés royalistes. 
C'est ce qui a amené récemment le cruel général Philippe de Pacémoi-Leselmonbrave à envoyer sur la côte sud bretonne toute une compagnie d'officiers ilsontvilains. Cela, afin de rejoindre l'armée républicaine chargée de surveiller les côtes.
Un renfort bienvenu quand on mesure l'indiscipline notoire, et même carrément le foutoir, qui règne dans les troupes de "bleus" que j'ai réunies dans mes fonds de tiroir.

Grâces en soient rendues à ce fervent patriote.
Tiens ! Pour le remercier, il sera le premier à tirer la ficelle qui fera choir la lame guillotineuse du rasoir national que mon haut état -major a installé à l'intention des prisonniers touristes chouans sur la grand'place d'Auray. Si, si , j'y tiens. 

 

 

SANS LE BOURRIN

Le 03/01/2021

Un contre cinq. Je sais, c'est lâche. Mais ça court vite, le chouan.
Un contre cinq. Je sais, c'est lâche. Mais ça court vite, le chouan. 
Quelques dragons à pied qui trainaillaient depuis au moins 1795 au fond d'un de mes cartons  s'apprêtent à discuter âprement le bout de gras avec mes bandes de chouans.
Je ne sais plus de quelle marque ils sont, peut-être du Minifigs compte-tenu de leur taille. Mais ils feront largement l'affaire pour les scénarios d'escarmouche qui se concoctent dans ma tanière morbihannaise. 
Quant à leurs chevaux... hé ben, comme l'approvisionnement des armées républicaines trainait un peu en longueur, y a longtemps qu'ils ont été boulottés. Le plus dur à digérer, ça a été les sabots.

 

Minibluff the card game

Hotels