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Du napo dans l'air

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INTERMEDE

Le 25/09/2011

Des Anglais et leur alliés qu'ont la rage, hé ben ça donne ça Mon antre. Maintenant, faut payer le banquier, gasp und hildepute !

Des Anglais et leur alliés qu'ont la rage, hé ben ça donne ça
Des Anglais et leur alliés qu'ont la rage, hé ben ça donne ça 

Héééé oui, hééééélas... j'ai rien écrit.

Je sais. C'est pas bien. Mais c'est pas la flemme . C'est mon déménagement.

Parce que , waaaaaouuuuuuuuh ! Je l'ai, ma maison !

Alors, encore un peu de patience les zigues.

D'autant plus que j'ai encore à vous raconter une stupéfiante histoire d'aguicheuse et une autre, non moins dramatique, où l'on découvre la véritable identité de l'inventeur du gruyère. Car contrairement à ce que l'on croit, c'était pas un Suisse , c'était un... Mais n'allons pas trop vite en besogne .

Avant que se préparent les 8 et 9 octobre, les deux journées de méga baston du célébrissime et super-planétaire  salon du jeu du Tarn et Garonne. C'est bien simple, à côté de ça, la foire du tone, c'est de la roupie de sansonnet.

 

COURS TOUJOURS, TU M'INTERESSE

Le 19/09/2011

Mes cavaliers se hâtent pressemment à l'assaut. Après plusieurs heures de marche, l'infanterie "déboule" aussi Des hussards chargent une batterie. Mais les Prussiens rigolent L'aile gauche alliée,encore loin,observe, narquoise, tout ce tin-touin

Mes cavaliers se hâtent pressemment à l'assaut.
Mes cavaliers se hâtent pressemment à l'assaut. 

LE VRAI RECIT DE LA BATAILLE

(Désolé pour le délai. J'avais du taf)

Samedi, 10 heures du mat. A l'heure où les vignerons du Haut Médoc cuvent encore leur jaja avec un air béat, le terrible général brunswickois Helmut von Komhierschweinhund , alias Tumeveumevla en bon français,  amorce un baillement à décrocher sa lourde machoire de teuton.

A l'horizon, deux brigades de cavalerie française et une autre d'infanterie, qui constituent la droite de l'armée napoléonienne, soulèvent un nuage de poussière sur  la route. 

Confortablement installé au coeur d'un riant petit village qui figure aux avants-postes de l'aile gauche anglo-brunswickoise-nimportequoise, et bien calé sur ses oreillers remplis d'un agréable rembourrage en poils de derche  de Doberman, Helmut soupire d'aise et décide de se rendormir. "Ach , zes gochons zont engore loin. Y bas le veu" baille-t-il

14h30. Les Français, que je commande, continuent à avancer à marches forcée, comme des gros bourrins qu'ils sont. Pendant ce temps,  ce gueux d'Helmut continue à roupiller. "M'énerve, vingt de d'chiu!" ralougnè-je.

16h30 . Les Français sont aux portes du village. Un escadron de cavalerie chargeouille vaguement un train d'artillerie teuton. Toujours planqué dans sa piaule douillette, Helmut lève un sourcil embrumé, se marre à nouveau, puis se rendort.

17 heures. A l'aile gauche française, ça craque de partout. Au centre, ça vacille. La bataille est finie. Une belle tôle !  Et, à l'aile droite, devant les Français dépités qui ont contourné son village sans même pouvoir attaquer l'aile ennemie, Helmut ricane en décapsulant une canette de Kro , qu'on lui sert toujours en guise de p'tit dej.

"Dro tard , mes gaillards" se marre-t-il.

Et voilà comment, ce jour là,  je me suis fais rouler dans la farine par un Teuton qui a joué à la perfection le rôle d'attrape-couillon.

AAAAAAARRRRGGGGHHH , VENGEAAAAANNNNCE !

 

 

 

 

DE LA BOUSE PLEIN LES MIRETTES

Le 18/09/2011

L'une des scènes du drame. T'as vu, JP ? (message perso)
L'une des scènes du drame. T'as vu, JP ? (message perso) 

L'emblème du Béarn  représente deux vaches sur fond jaune. Cela ne signifie pas que les habitants de cette région aussi aqueuse que pyrénéenne vont par couple et balancent des méchancetés sur tous ceux qu'ils croisent dans un champ de boutons d'or. L'explication est beaucoup plus simple.

A force de se précipiter comme des morts de faim sur tous les cèpes et girolles qui pullulent dans notre région déshéritée (hi,hi,hi) , les bovins du coin finissent régulièrement par attraper une colique de tous les diables.

A intervales réguliers, nos rues sont donc décorées de gros paquets d'une subtance aussi jaunâtre qu'indéfinissable. Couleur vieux pastaga subtilement enrobé de fragances de camenbert et de roquefort pas frais ... Faut s'y faire. C'est un coup à prendre.

Ce rappel historico-culturel paraitrait totalement inutile si je ne devais pas préciser que, l'autre samedi,  sortant en titubant de chez moi après avoir passé la nuit à étudier les mérites comparés de la Guiness et de la Queue de charrue, je n'avais pas plongé la chaussure droite dans cette espèce de fiente qui a fait la réputation de nos estives odorifères.

Ce jour là, le résidu de digestion mycologico-bovine était particulièrement liquide. Signe , soit dit en passant, qu'il avait plu la veille sur nos champs et nos sous-bois. Ce qui est excellent pour le maïs avec lesquels nous élevons nos rugbymen,  et pour le champignon qui fait le bonheur de nos Blondes d'Aquitaine.

Arriva alors ce qui ne devait surtout pas arriver : d'énormes éclaboussures de merde agricolo-sylvestre sont venues recouvrir mes verres de lunette en super polyphurétane de carbonate de sodium sulfurisé et expansé. Une merveille de technologie qui m'a coûté la peau des miches.

Résultat : j'y voyais que dalle. Et plus je frottais, plus j'étalais. Et plus j'étalais, plus je dégageais un abominable parfum de bouse séchée.

Les conséquences en ont été désastreuses.

Une fois arrivé tant bien que mal dans la salle de Carbon Blanc où devait se dérouler une méga baston napo, les acolytes que le sort m'avait désignés (ne pas confondre acolyte et alcoolyte, bien que dans notre groupe de joueurs, c'est parfois du pareil au même), n'ont écouté que d'une oreille distraite les recommandations que je leur prodiguais.

Indisposés par les effluves que dégagaient mes bésicles, ils se tenaient en effet à une distance si respectable qu'elle les empêchait de comprendre tout ce que je m'efforçais de faire entrer dans leur étroit cerveau de gens du nord (de l'Adour : ils sont girondin et landais).  

Bref, les consignes reçues ont été tellement vaseuses qu'une rouste monumentale nous a été infligée par nos adversaires qui, me connaissant depuis belle lurette et sachant qu'ils allaient m'affronter, avaient eu l'idée judicieuse de se boucher le tarin à l'aide d'une banale pince à linge.

Je reviendrai plus avant sur les détails de cette honteuse déculottée . Chaque chose en son temps. D'abord, j'ai une ch'tite conversation à avoir avec une Lindemans. Il est où, mon décapsuleur ?

 

 

 

ON S'EST FAIT BANANER

Le 18/09/2011

Une aile qui va battre de l'aile. Le centre et l'autre aile suivront Les  vainqueurs (g à d) : Lafumée, Blue Swede Shoes, Tumeveumevla Les vaincus (g à d) : Jaiduruskof, ma pomme, Viensiciquejtenique

Une aile qui va battre de l'aile. Le centre et l'autre aile suivront
Une aile qui va battre de l'aile. Le centre et l'autre aile suivront 

Percés à gauche, étouffés au centre, retardés à droite. Y a des jours ou faut regarder la réalité en face, avec horreur et consternation.

Les Français que nous étions trois à commander : ma pomme, Jaiduruskof et Viensiciquejetenique ont bel et bien été bananés , samedi, par l'astucieuse et fort bien coordonnée stratégie déployée par ces assassins de la pire espèce que sont Lafumée, Blue Swede Shoes et Tumeveumevla.

Dans les jours qui viennent, le récit en photo de cette mise à mort vous sera conté avec désespoir, et mon objectivité coutumière. Hi, hi, hi.

Y avait longtemps qu'en matière de déploiement, j 'avais pas eu autant de merde dans les yeux. Maintenant, c'est fait. Et c'est plus à refaire.

 

MILLIARD DE D'CHIU, CE SERA WATERLOO !

Le 16/09/2011

L'état major français repère déjà les lieux
L'état major français repère déjà les lieux 

Il y a longtemps qu'on n'avait pas joué ce thème là.

Après la guerre d'Espagne, la campagne de Russie , la campagne de France en 1814 ou la guerre de 1812 qui a opposé les Amerloques aux buveurs de bière tiède, la grosse baston napo qu'on  livrera demain, samedi, à Carbon Blanc mettra aux prises des armées waterloosiennes, dont mes hollando-belges et mes Hanovriens tout frais. Des ch'ti gars qu'ont la rage et les dents pointues.

Cette horreur sanguinolente se déroulera dans l'antre malfamée du célébrissime club des Lanciers de la Garonne, sous-section des "Chaudes lances de la baronne"

L'adresse est : salle de la rue du Moulin. C'est à partir de 9 h.

Le budget, concocté par ce saint homme qu'est Lafumée, tournera gaillardement autour des 8 000 points dans chaque camp. J'ai qu'un mot à dire : miam ! On offre l'apéro à tous ceux qui veulent venir y jeter un oeil glaugue.

Le général Tumeveumevla est en forme. Il y a longtemps qu'il n'a pas mis une tannée aux inconscients qui se présentent devant lui. Le dernier, c'était moi. Mais ce coup là, pour la tannée, il avait  été marron. Hi, hi,hi .

Quant aux dernières nouvelles du front, elles sont particulièrement sordides. Une dépêche de l'AFP nous apprend que le serial-killer des pins, l'étrangleur de canards gras, le monstre des palombières, j'ai nommé l'abominable général Didier van Blue Swede Shoes, sera aussi des notres. On en frémit d'horreur.

 

 

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