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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

UN ABOMINABLE SECRET ENFIN REVELE

Le 29/11/2011

De toute évidence, c'est de la bonne
De toute évidence, c'est de la bonne 

Les troupes suédoises de Didier van Blue Swede Shoes m'ont donné bien du fil à retordre le week-end dernier.

C'est certes du à l'oeil d'aigle de ce vaillant général qui a la patience du renard de Saint Sever, la suavité  (suavitude comme dirait Ségolène) du foie gras de Montfort-en-Chalosse, et la fougue du sanglier de Saint Vincent de Tyrosse. 

Mais ce n'est pas la seule explication.

Il suffit de regarder ses cavaliers  pour découvrir le dessous des cartes, et l'effroyable réalité.

En effet, quand on les observe bien dans le blanc des yeux (en grossissant par exemple la photo ci-dessus),, on s'aperçoit vite que le ch'ti père Van B. les dope   à la "beu" des Landes. Une herbe des environs de Mont-de-Marsan qui, une fois séchée et mélangée à de la résine de pin, produit des effets ultra-dopants sur le moral des troupes

Je l'ai souvent dit. Y a pas plus retors qu'un Landais.

 

IL EST FOU, PAUZALOU !

Le 29/11/2011

Les décors Blitzkrieg de Loïc, qui se met  à hanter les cimetières D'autres allumés réunis pour un scénario futuriste. Venu tout droit de Dordogne : un village de tueurs Une création d'Arnaud : mes sanguinolents ancètres flamands. Les malades du napo. Vous approchez pas, ils mordent !

Les décors Blitzkrieg de Loïc, qui se met  à hanter les cimetières
Les décors Blitzkrieg de Loïc, qui se met à hanter les cimetières 

Une fois par an, les hopitaux pyschiatriques de la région aquitaine font relâche et autorisent certains de leurs malades les plus atteints à suspendre leur traitement pendant deux jours, afin de prendre un peu l'air.

Une fois débarassés de leur camisole de force, les intéressés en profitent pour se retrouver à l'espace Lucie Aubrac, à Floirac, une sorte d'annexe d'unité intensive de traitement pour chtarbés délirants.

Il y a là de tout : des assassins, des psychopathes, des sadiques, des vicieux, des pervers, des cogneurs ... bref, on les aura reconnus, rien que des amateurs de wargame.

La lie du jeu de stratégie se retrouve ainsi réunie le temps d'un week-end afin d'assouvir ses passions les plus basses.

Ce décapsulage général des neurones a été inventé par un médecin fou :  l'infame Dr Pauzalou, alias Yapudo, dont les thérapies tordues effraient l'ensemble de la communauté scientifique.

Voilà les premières images de cette orgie wargamique. Une horreur. Ames sensibles s'abtenir.

 

AH, LES CANTINIERES SUEDOISES !

Le 21/11/2011

Les Suédois : du très costaux. En plus, ils sont beaux, ces cochons.
Les Suédois : du très costaux. En plus, ils sont beaux, ces cochons. 

Grande nouvelle. L'infâme, retors et redoutable général Didier van Blue Swede Shoes ira trainer ses guêtres le week-end prochain dans les faubourgs de Bordeaux, à Floirac, pour tirer quelques coups de canon à Stratéjeux.

L'odieux Landais amènera son armée préférée : les Suédois, agrémentés de quelques Hongrois. Le mariage de l'Aquavit et du Tokay, ça devrait être détonnant.

J'espère qu'il en a profité pour peindre quelques cantinières suédoises. Ca dopera mes Français, qui se feront un plaisir de partir à l'assaut.

 

RETOUR A LA BASE

Le 18/11/2011

Une partie des bataillons français et leurs socles moins encombrants
Une partie des bataillons français et leurs socles moins encombrants 

Y a des moments où faut revoir ses fondamentaux.

Ca faisait belle lurette que je voulais refaire les socles de mes Français. Histoire de les rendre moins disparates.

Voilà qui est fait. Je dois encore les repeindre et travailler leurs flancs. Mais ça prend bonne tournure.

Mes armées devraient être prêtes pour le salon Stratéjeux, qui se déroulera les 26 et 27 novembre à Floirac, près de Bordeaux,  sur une table certes plus modeste que d'habitude (3 m sur 1,20 m). Mais je vais essayer de concocter un scénario en conséquence.

Affaire à suivre.

 

 

GASP ! ALZHEIMER ME GUETTE

Le 15/11/2011

Les Prussiens avancent en masse. Ca va servir à rien Bref, sur ce coup là, j'ai pas été tonitruant Quant aux Anglais, n'en parlons pas Même les Hanovriens en pleureront de honte Les Français seront les plus malins à défaut d'être les plus forts

Les Prussiens avancent en masse. Ca va servir à rien
Les Prussiens avancent en masse. Ca va servir à rien 

Faut aussi savoir faire ricaner l'adversaire. Ca met du liant dans les relations.

Rappelez vous ce que je racontais. L'autre dimanche, pour nous forcer à attaquer et pour ne pas rester figés sur nos positions, on a décidé avec Vivian le sanglant et Olivier le boucher, d'adopter une règle simple : celui des deux camps qui aurait , en fin de journée, le plus de troupes de l'autre côté d'une ligne imaginaire traversant l'exact milieu de la table (dans le sens de la longueur, bien sur, hé banane !) serait déclaré vainqueur.

Cette proposition est sortie toute chaude d'un cerveau torturé : le mien. Et on l'a appliquée illico. Avec d'un côté des anglais mâtinés d'un sordide ramassis de Teutons (Prussiens, Hanovriens et Brunswickois) que j'avais la charge de commander, et de l'autre les Français drivés par les deux bougres cités plus haut;

Fut -ce la conséquence de l'excellent vin de Bourgogne dégusté la veille à la maison avec les poteaux ? Fut-ce un mauvais coup de fatigue provoqué par deux journées quasi non-stop de jeu. Bref, par une overdose de wargame aggravée par un début d'intoxication au plomb dont sont aussi faites nos figurines ?

Toujours est-il que, passé le premier tour de jeu, j'avais déjà oublié ce point de règle essentiel,  et que je n'y ai même plus pensé du tout, en me remettant, comme d'hab, à jouer tactique.

Vivian-le-ruffian, qu'a oublié d'être bête (ca se saurait),  n'a pas tardé à s'apercevoir avec surprise et délectation de l'oubli aussi subit qu'irrémédiable  de mes bonnes résolutions.

Ce pervers polymorphe s'est donc contenté de sourire devant ma bévue avec son air narquois de vieux satyre. Tout en gardant le silence et en avançant, peu à peu,  d'une main discrète ses bataillons et régiments vers le centre de la table.

Pour le reste, je vous la fais courte. "Tu passeras pas" lui ai-je ai assuré en fin de partie, d'un air péremptoire, après avoir stoppé mon centre et bétonné mon aile gauche tandis que mon aile droite écorniflait les franchouillards.

"M'en fous, on a déjà gagné" a répliqué ce sadique, avant de me mettre sous les yeux la consternante réalité : un gros paquet de ses troupes avait dépassé l'équateur stratégique que l'on s'était fixé.

Je l'avoue. Sur le moment, j'en ai eu l'air . De quoi ? Je vous laisse deviner .

 

 

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