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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

UN SACRE BON MOMENT

Le 29/01/2012

A taaaaaaabbble ! Dominique et ma pomme, dans leurs oeuvres L'artilleriie française au turbin Les dragons lourds KGL. Ils vont manger chaud. L'un des temps forts de la baston : la grande charge de cavalerie

A taaaaaaabbble !
A taaaaaaabbble ! 

Une très  belle ambiance, une super table, des combats féroces , et des figs comme s'il en pleuvait. La baston napo livrée hier avec le vaillant général Dominique de Quelbois Jemechauffe, un combattant avec lequel il est fort agréable de jouer,  est à marquer d'une pierre blanche.

Les troupes s'affrontèrent du matin jusqu'à la nuit tombée. Quant au repas il fut servi chaud aux belligérants par Christine, ma compagne, qui est également mon ministre des finances et des affaires étrangères (Pour l'éducation, avec moi, elle a renoncé. Hi, hi, hi)

Voici les premières photos du drame, livrées dans toute leur cruelle intensité.

 

PUTAIN DE COLLINE !

Le 28/01/2012

Lafumée et  Blue Swede Shoes s'interrogent. Ca sent pas bon Une brillante attaque des cavalers bavarois n'y changera rien Et les Français resteront là, à attendre l'ennemi Pendant que la cavalerie napoléonienne hésitera à droite Au final, ça va faire mal

Lafumée et  Blue Swede Shoes s'interrogent. Ca sent pas bon
Lafumée et Blue Swede Shoes s'interrogent. Ca sent pas bon 

Suite et fin de la baston de l'autre samedi. Avec une évidence :  quand on a une colline devant soi, hé ben on la prend tout de go , mon gaillard. Sinon, bonjour les emmerdes .

 Le vaillant et talentueux  général JP de Lafumée en a fait l'expérience face aux hordes de moujiks avinés commandées par Xavier de Jaiduruskof de Chezfrontrank.

Disposant d'une batterie d'artillerie à cheval, ainsi que de plusieurs bataillons franchouillards, notre ami a , semblet-il,  quelque peu hésité à investir carrément la protubérance qui lui faisait face. En s'inquiétant plutôt d'une menace de cavalerie survenue sur son flanc droit et qu'il aurait, à mon sens,( c'est en tout cas mon avis, et donc,  je le partage), mieux fait de balayer avec les cuirs et les carabiniers dont il disposait.

Résultat : ça me fait peine à dire, mais cet atermoiement ne lui a pas porté chance. Car les ruskofs en question, qui comprenaient un bataillon de la Garde, lui ont enseigné l'art de conjuguer au présent et au futur l'expression :" bon sang und hildepute,  j'en prend quelque peu plein la tronche"

Occupé que j'étais à l'aile gauche avec les féroces Labelleoasis et Tumeveumevla qui étaient en train de me renter dans le lard avec leur malveillance coutumière, je n'ai pa seu le temps de tout voir dans le détail. Mais c'est en tout cas ce que j'ai retenu.

Me trompèje ? La parole est à vous mon cher et éminent Lafumée.

 

 

ET UN GRAND SILENCE SE FIT

Le 25/01/2012

Quelques secondes avant la rouste. Miam !
Quelques secondes avant la rouste. Miam ! 

C'est vrai. Je l'admets ,et je me couvre la tête de cendres. Comme me l'a fait remarquer un de mes lecteurs à qui rien n'échappe, un ciel très lourd  régnait l'autre samedi sur notre table napo, pas vraiment éclaireée comme une plage de sable fin au soleil de l'Océan indien. Du coup, les photos ont morflé.

Mais le lieu était agréable, et fort pratique. Qui plus est, faut jamais hésiter à  jouer avec un bandeau sur les yeux. Ca affine les réflexes.

Justement, ceux de ma vieille garde, en embuscade dans la rue centrale du village que l'audacieux Seb de Tumeveumevla se proposait d'occuper, ont été excellents.

Soutenus par deux escadrons de lanciers rouges, les grognards se sont déguisés dans un premier temps en soubrettes béarnaises. Ce qui n'a pas été simple, soit dit en passant. Parce qu'une soubrette qui s'appelle Marcel et qui porte des moustaches, on n'en trouve quand même pas à tous les coins de rue.

La ruse, même grossière, n'en a pas moins marché.

Trompé par le clair-obscur ambiant, et surtout omnubilé par la pensée d'occuper les maisons voisines, mon adversaire n'a pas prêté attention à la cohorte guillerette (et ricanante) qui s'avançait vers lui à pas de loup.

Mal lui en a pris. Car, arrivés à bonne distance, les grenadiers français ont échangé leurs jupes contre des pantalons bleus, leur rimel contre une bordée d'injures , et leurs ombrelles contre des baïonnettes aiguisées fin, fin, fin.

Puis, en rigolant comme des malades qui fracturent une armoire pleine de psychotropes, ils ont chargé le premier bataillon ruskof qui leur passait sous la main,  dans la rue principale du bled.

En  face, Seb Oeil-de-Lynx, en  est resté  bouche bée. Exactement comme le fait Mme Odette lorsqu'elle jette, par pur réflexe professionnel,   un oeil expert sur les mensurations du tirailleur de la coloniale qui lui rend régulièrement visite. Un gaillard que ses copains ont , de manière très poétique, surnommé "la poutre de Bamako". Heureux homme.

Un grand silence se fit alors. Avant que retentisse  le bruit mou et succulent des godillots franchouillards écrasant les chairs blèmes des moujiks effarés.

Certes, cet assaut tonitruant ne changea pas grand'chose à l'issue de la baston.

Mais, hildepute ! On dira ce qu'on voudra, une ch'tite fricassée, façon bortch, ç'est toujours bon à prendre..

 

FAUT PAS PRENDRE LES AUSTROPITHEQUES POUR DES CANARDS SAUVAGES

Le 24/01/2012

La masse ostrogothe serre les fesses et fonce dans le tas L'aile en question : les Autrichiens sont à gauche (ça les change) Les batteries françaises (a gauche et à droite) sont invisibles A droite, l'infanterie autrichienne se prépare Le choc des cavaleries. Pourquoi finasser ?

La masse ostrogothe serre les fesses et fonce dans le tas
La masse ostrogothe serre les fesses et fonce dans le tas 

Quand ça bat de l'aile, ou plutôt quand ça se bat à l'aile, ça fait pas semblant.

Mon infanterie polak, appuyée par la cavalerie française, a eu fort à faire samedi face aux Austropithèques commandés par le tenace général Vivian de Labelleoasis.

Ce dernier a en effet décidé d'aller astiquoter l'aile gauche française avec ses hordes teutonnes. Une idée aussi facheuse que saugrenue qui a eu le don d'escagasser les quelques bataillons, artilleurs et escadrons placés sous mon commandement aléatoire.

Le choc a été rude. Tandis qu'une pièce d'artillerie de 8 livres française  se faisait un plaisir d'envoyer ses bons voeux aux importuns autrichiens, et qu'une autre se mettait en place pour leur servir les mêmes plats, bien chauds, mais de flanc, les cavaleries de chaque camp se sont sabrées gaillardement. Et transpercées allégrement.

Tandis que mes lanciers vétérans observaient avec un plaisir indiscible trois régiments de cavalerie légère et moyenne ostrogothe tourner les talons dans un "sauve qui peut" tonitruant, mes dragons, moins bien soutenus, se faisaient transformer en bretzels par d'autres ulhans, et surtout par les cuirassiers viennois. Sales bêtes, va.

Dans le même temps, et pour faire bonne mesure, une pièce d'artillerie autrichienne de... 3 livres (c'est pas beaucoup mais ça tire quand même à 60 centimètresn, et ça peut faire mal), commençait à conter fleurette aux cuirassiers français occupés à passer de ligne en colonne. Les artilleurs teutons ayant eu la bonne idée d'occuper une colline située au centre de la table et que j'avais eu la mauvaise idée de ne pas occuper.

La situation était tendue. Mais les carottes n'étaient pas cuites pour autant pour les Français.  Car la déroute provoquée au centre de la cavalerie autrichienne leur ouvrait un boulevard. Tandis que l'artillerie ,napoléonienne s'apprêtait à recevoir de face et de flanc la masse de l'infanterie autrichienne qui s'avançait vers les buveurs de vodka varsovienne, En attendant que des lanciers rouges se disposent , eux aussi, pour astiquoter, toujours de flanc, les mêmes Ostrogoths.

Ah, j'oubliais ! Au passage et pour bien faire comprendre à mon illustre adversaire qui c'est qui le maitre des dés limés, le roi de la roulade et le champion des coups de pute en douce,  je faisais passer de vie à trépas le général de corps d'armée austro-russe sur un splendide "6" qui arrachait des sanglots  de désespoir à mon ennemi dépité.

Un repas de midi fort copieux, et quelques parties de rigolade, ne nous ont pas permis de "conclure" vraiment comme le dirait Monsieur Dusse.

Mais ce n'est que chose remise, nom de d'là. Faut jamais laisser refroidir l'Autrichien quand il est chaud, ni le Polonais quand il est bourré.

Demain : Les tribulations de Tumeveumevla, dans un épisode croquignolesque intitulé "Et un grand silence se fit". Hi, hi, hi.

 

 

 

UN GRAND MOMENT D'EMOTION

Le 23/01/2012

JP sanglote, j'en ai les bras qui tombent, et Didier a le cafard
JP sanglote, j'en ai les bras qui tombent, et Didier a le cafard 

J'ai rien inventé ! Tout est sur la photo.

Quand le féroce général Sébastien de Tumeveumevla nous explique un point de règle, ça donne ça....

Même Didier van Blue Swede Shoes, l'arbitre landais, a la sève qui s'en liquéfie. Hi, hi, hi .

 

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