Vl'a l'animal que je me propose de reproduire

Hola hombre ! Plusieurs animations se profilent à l'horizon, dont une en Espagne si tout se passe bien.C'est pas encore vraiment calé. Donc je garde un mystère épais sur ce sombre projet. Seuls quelquels initiés, membres de la très secrète société des Grognards paillards du Sud-Ouest en seront bientôt informés.

Ca me donnera en tout cas l'occasion de sortir mon armée de farouches ibériques, et de la compléter.

Il me manque justement des hussards espagnols. Or, à mon grand dam (à mes grandes dames, comme dirait DSK),aucune marque ne semble en fabriquer.

Aaaaarrrggh ! Je vais donc devoir bidouiller.En utilisant pour cela des hussards français en plastique de chez Perry, la maison qui n'ébarbe aucune de ses figs, mais qui sait à peu près les graver.

Première chose : les couvertures de selle des chevaux. J'utilise du milliput pour les transformer de l'odieuse et puante peau  de mouton en ondoyant tissu. Tout en laissant une place pour que le cavalier puisse passer ses guiboles malingres.

Le reste va suivre, comme dirait Madame Odette en dégrafant son soustingue en peau de loutre à poil fauve.

Tout frais, tout neufs et pas encore écaillés

Voilà le bataillon d'Orange Nassau, prêt à foncer dans le premier tas qui se présentera.

Il prendra part à un projet que j'ai sur Orthez, en 2013, pour commémorer la basto que les Anglais et les Portugais s'y sont livrée.  Je vais discuter pas plus tard que dans un quart d'heure avec le haut état major de cette cité béarnaise.

Si ça marche, ça devrait être d'enfer.

La féroce tribu des Nassaviens à poil dur

Y a encore plein de choses à faire dessus. Mais ça progresse, comme dirait ma femme lorsqu'elle m'enseigne (péniblement) à ramasser les miettes, le matin, sur la table du p'tit dej.

Le bataillon d'Orange-Nassau a reçu ses lavis. Maintenant, je vais revenir sur les détails.

Brossage et repassage (des couches de peinture) sont les deux mamelles du wargamer.

PS : les excellents socles aimantés sont toujours fournis gracieusement par l'inamovible Tumeveumevla .

L'habitacle est de Polystirene and c°, le reste de Wargame Foundry

Voilà l'ambulance volante, du type de celles imaginées par Larrey.

Je l'ai affectée au 61 régiment de ligne, du corps de Reille.

Elle attend les blessés... ennemis. Hi,hi, hi.

Peut être y ajouterai je un jour la saynette d'un chirurgien taillant james et bras. Il en existe une chez Wargame Foundry. Mais elle me parait chérotte .

Une ambulance "volante", pour des soins très terre à terre.

Un autre projet : en prévision d'une journée de reconstitutions à laquelle nous avons été invités à participer cet été dans un village du Gers, je suis en train de préparer l'une des "ambulances volantes" imaginées par Larrey. Un brave garçon qui était originaire d'un village pyrénéen.

Si je ne peux pas y caser de blessés, j'y mettrai quelques futs miniatures de bière brune. Même en pleine baston, faut jamais perdre de vue les vraies valeurs .