Du napo dans l'air
LES NAPO ETAIENT A LA MASSE
Le 04/07/2012
Les cuirassiers français sont en première ligne |
On s'en lasse pas. D'autres clichés des masses d'infanterie et de cavalerie déployées dans le Gers lors des deux journées sanglantes de la célèbre bataille de Miélan. Même la bière qu'on servait au troquet du coin était rouge.
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T'EN VEUX D'LA BASTON ? EN V'LA
Le 03/07/2012
Et tout ça, plaques et tréteaux compris, tient dans une Yaris |
La table exposée le week-end dernier à Miélan faisait 4,80 mètres sur 2 mètres. Un gros paquet de figurines (j'ai pas compté) y ont été présentées. L'idée étant de donner partout à voir aux visiteurs .
Vu les compliments adressés par les personnes de tous âges qui ont défilé devant notre table, le public a apprécié (exception faite de quelques pingouins, galonnés d'opérette, qui se prenaient très au sérieux, et dont j'aurai l'occasion de dire deux mots. Tant il est vrai que les coups de pied au cul, ça se sert chaud).
Ce qui faisait surtout plaisir, c'était de voir l'intérêt manifesté par les gens qui découvraient l'histoire des combats livrés dans leur région. A une époque où leurs ancètres parlaient bigourdan, mangeaient de la soupe au choux, et buvait une piquette propre à décorner les boeufs (ainsi que les cocus, cela va de soi).
Voici quelques clichés de la table avant que la salle ouvre ses portes.
Elle accueillait également une expo sur des costumes anciens présentés par l'association béarnaise "Passion d'Histoire" dont le responsable vient de publier de fort intéressants livrets sur les bastons qui se sont déroulées dans le sud-ouest en 1813-1814 (Nive, Bayonne, Orthez, Aire sur Adour, Maubourguet, Toulouse etc.)
Intarissable, le gaillard.
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LA BATAILLE DE MIELAN
Le 02/07/2012
Le maréchal Vivian de Labelleoasis en plein cours de stratégie |
Dans les jours qui viennent, une orgie de photos sera publiée sur la célèbre bataille de Miélan disputée le week-end dernier dans le Gers.
Faut dire ce qui est : y avait pas foule. Mais la qualité était là et les anecdotes nombreuses :
- Une méga table qui nous a valu 37 demandes en mariage de la part de cantinières locales
- Un gendarme d'élite belge qui tombe en pamoison devant nos figs.A tel point qu'on a du appeler les pompiers pour le réanimer. Véridique.( Sauf pour les causes du malaise.)
- Des Portugais tout droit venus d'Almeida qui font le coup de feu avec une pièce d'artillerie de 3 livres pour interdire l'accès au bistrot du coin
- Pas loin de 1200 ou 1500 figurines sur la table (j'ai pas tout compté) qui nous ont permis des contacts prometteurs : avec un club de Muret (région de Toulouse), mais aussi avec une association historiquequi est intéressée par la reproduction en figurines de la bataille d'Aire sur Adour (1814). Hé oui, Olivier, t'as bien lu.
... et un tas de trucs encore. Bref, c'est une affaire qui tourne.
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JE ME JETTE A L'EAU
Le 28/06/2012
Pour une fois, il y aura une rivière. |
Bien que le taf ne me lâche guère en cette fin juin, je mets la dernière main aux décors de la table qui sera présentée ce week-end à Miélan,avec l'ami Vivian, lors des deux journées destinées à évoquer la mémoire du général Pierre Léglise.
Un dur de dur , ancien de l'armée des Pyrénées, de la campagne d'Italies, des batailles d'Essling, Eylau, Austerlitz, de la retraite de Russie , et connu pour avoir haché fin, fin, fin les artilleurs d'u,ne batterie russe à Montmirail.
Il était alors colonel dans la Garde. C'est Louis XVIII qui le fera général.
Que voulez-vous ? Personne n'est parfait.
RETOUR SUR UN BOUQUIN
Le 25/06/2012
V'là l'engin. Fort instructif, au demeurant |
Après en avoir lâché la lecture, je me suis replongé depuis quelques jours dans un livre que j'ai déjà évoqué et qui rassemble les récits des officiers anglais ayant combattu à Waterloo.
Et pour celui qui connait un peu le terrain, on y apprend pleine de choses.
L'une d'elles, c'est que la "crête" derrière laquelle s'étaient abritées les troupes anglaises ne les protégeait pas vraiment des boulets français. Car ceux ci retombaient. Et quand ils retombaient, ils tuaient.
Une autre, c'est l'attitude stoïque que les officiers observaient sous le feu adverse, alors qu'il y avait de fortes chances q<u'ils prennent une balle ou un des boulets suscités dans la tronche,ou les jambes. Impressionnant , quand même.
Une autre encore, c'est la fureur des combats, notamment ceux qui évoquent les charges répétées de la cavalerie française.
Un bémol toutefois, et un agacement ; celui que l'on ressent devant la condescendance que les Anglais semblent manifester devant leurs alliés belges et hollandais. Quelques récits traitant avec mépris la frayeur ressentie par ces soldats que Wellington avait placé... en première ligne, directement face au feu de l'artillerie française.
Sans doute par inadvertance. Enfoiré, va !
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pourrais tu nous presenter cette illustre personnage en figurine?