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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

HE BEN M... ALORS

Le 07/09/2012

Les Hanovriens (et leurs havresacs jaunes) au boulot
Les Hanovriens (et leurs havresacs jaunes) au boulot 

La légende, c'est une chose. La réalité, c'en est une autre.

On apprend un tas de choses fort intéressantes dans le bouquin "Les lettres anglaises" (ed.Jourdan) qui rassemble les récits d'officiers ,anglais pour la plupart, ayant combattu à Waterloo.

Tiens ! Un truc parmi bien d'autres : le général Cambronne rendu célèbre par le "merde" tonitruant qu'il aurait lancé aux Anglais qui lui demandaient de se rendre (chose qu'il a d'ailleurs démentie par la suite, ai-je lu quelque part).

Eh ben, le bouquin en question donne  un récit cocasse de ce qui a suivi  : le général Halkett, qui commandait une brigade hanovrienne raconte en effet comment Cambronne fut capturé.

Voilà l'histoire :

"Durant notre progression, nous étions constamment en contact avec les Gardes français et je leur ai souvent crié de se rendre. Depuis quelque temps j'avais les yeux sur celui que je supposais être l'officier général commandant les Gardes (il était en uniforme complet). Je me doutais que c'était lui car il était occupé à encourager ses hommes à résister."

"Après avoir reçu un feu violent de notre part, la colonne laissa son général ainsi que deux officiers derrière elle. J'ordonnai aux tireurs d'élite de se jeter sur eux et je galopais jusqu'au général. Alors que j'allais le sabrer, il dit qu'il voulait se rendre et me précéda vers l'arrière."

"Je n'avais fait que quelques pas que mon cheval eut le corps traversé par un coup de feu et tomba sur le sol. Après quelques secondes, je le remis sur ses jambes et cherchait mon ami. Cambronne avait pris la fuite dans la direction d'où il venait. Je le rattrapais instantanément et le retins par les aiguillettes. Je le ramenai en sécurité et le confiai à un sergent des Osnabruckers pour le livrer au duc."

Retenu par les aiguillettes... Hi, hi, hi. C'est moins glorieux que ce que mon prof d'Histoire m'avait raconté au lycée.

 

CA VA CHAUFFER

Le 04/09/2012

Ca s'agite déjà dans les armoires à figs
Ca s'agite déjà dans les armoires à figs 

Comme disait l'autre Anglais, va y avoir du sang,, de la sueur et des larmes.

Une baston napo se prépare pour le 15 septembre sur les terres de la féroce tribu des Girondins-têtes-de-chien.

Quatre  guerriers fourbissent déjà leurs armes.

J'en profite pour la,cer un message personnel : Jaiduruskof ! Sors de ton cercueil et dis nous donc si tu viendras te faire planter un pieu dans la couenne , ce jour là.

Le scénario est encore incertain. Mais mes dés à faire des 6, eux, sont déjà limés . C'est l'essentiel, non ?

 

UN AIR DE CAMPAGNE

Le 02/09/2012

J'ai même planté des salades (à gauche)
J'ai même planté des salades (à gauche) 

Je profite du dernier jour de vacances pour continuer à labourer mes champs. Avec un premier test : voilà ce que donne un croisement de routes , ainsi qu' une rivière entourés de cultures et de friches.

Ca va être long pour recouvrir plusieurs mètres carrés. Mais on y arrivvera.

 

RECREATION

Le 01/09/2012

Je sais. C'est une honte. Mais quel pied !
Je sais. C'est une honte. Mais quel pied ! 

Oups ! Oh pardon ! Cette photo là, c'est une abominable erreur.

Je devrais être en train de potasser la vie du maréchal Ney, étudier la bataille de la Moskowa, peindre 50 figs en même temps d'une seule  main, réviser la règle "Vive l'empereur" en suant sang et eau afin de faire entrer ses subtilités dans mon crâne obtus , chercher dans le petit Larousse quelle était la taille exacte du soustingue de l'impératrice Joséphine... Bref, faire mon taf d'amateur de wargame et de farfouilleur de l'épopée napoléonienne.

Au lieu de tout ça, comme un glandu, je m'en vais baguenauder avec ma dulcinée, et faire le gugusse sur les sommets des Pyrénées, ici en vallée d'Aspe.

C'est comme je vous le dis, y a plus de morale.

 

DU POGNON ET DES PAUV' BOUGRES

Le 31/08/2012

V'là les blessés. Comme dirait le maréchal Vivian : "ça fait mal ?"
V'là les blessés. Comme dirait le maréchal Vivian : "ça fait mal ?" 

Merci pour les conseils sur les "tarifs"

En fait, pour en terminer avec cette sombre histoire de pognon, j'oscillais entre 5 et 6 € la fig, voire 7 € s'il y a un porte-drapeau. C'est juste histoire de réduire un peu les frais d'essence quand il y a un déplacement, et de racheter d'autres figs. Y a pas de petit profit.

Je vais  également revoir la taille du socle. Et je jugerai sur le tas. Le premier test devrait avoir lieu au salon du hobby à Tarbes. On verrat bien, comme on dit au Consortium du jambon de Bayonne.

En attendant, je vais "agrémenter" mes tables avec quelques blessés (les pauv'bougres attendent depuis des années dans mes tiroirs que je m'occupe d'eux). Là aussi, pour ajouter détail après détail sur une table.

Avec un porte drapeau, je vais enfin faire un truc cocasse : un porte-fanion utilisé pour servir de repère de cible.

En terminant le bouquin "Les lettres anglaises" qui réunit des récits d'officiers britanniques sur les combats de 1815 , j'ai en effet appris que les champs de seigle étaient tellement hauts aux Quatre Bras que les belligérants n'y voyaient que bernique et peau de balle pour faire le coup de feu.

Ce problème a obligé les Français à envoyer des gus désignés par le mauvais sort pour aller planter des fanions à faible distance des troupes anglaises, et permettre ainsi aux mêmes Français d'ajuster leur tir une fois à bonne portée.

Je ne sais pas combien de membres de cette unité de foupoudav s'en sont sortis. Mais j'espère pour eux qu'ils avaient de bonnes jambes,  ou une veine de cocu. L'un n'empêchant pas l'autre d'ailleurs, comme me le disait encore ce matin ma boulangère.

 

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