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TOUT EST DANS LE PLUMET

Le 05/03/2021

Mes artiflos républicains, fiers comme des bars-tabacs
Mes artiflos républicains, fiers comme des bars-tabacs 
Après une semaine passée à faire de la randonnée sur les côtes bretonnes avec Mme la maréchale, me v'là revenu aux affaires peinturluresques.
Du coup, j'ai mis la dernière main aux artilleurs républicains fournis par la marque Emperor Toads Emporium.
Ces détonnants biffins ont été revêtus d'un uniforme de canonnier de 1792 avec un plumet tricolore que ne désavoueraient pas les danseuses des Folies Bergères (sauf, remarquera un observateur attentif, que celui-ci n'est pas placé au même endroit). 
Notez également le gilet rouge qui leur tient la panse bien au chaud.

Curieusement, le fabricant les a également dotés de guêtres qui existaient bien sûr déjà à l'époque (y compris blanches quand la culotte d'uniforme était bleu). Je les aurais préférés sans, mais bon, on fait avec, hein ?

Maintenant, en attendant de recevoir des Vendéens fourchus qu'il me faudra transformer en Bretons têtus, je vais m'attaquer à quelques nouveaux bataillons de soldats de la République une et indivisible, bien que fortement constestée à l'époque dans les campagnes obscurantistes et brigandes du grand Ouest. Allez JJ, au boulot ! 
 

 

DES ARTIFLOS FACE AUX ARISTOS

Le 24/02/2021

V'là une partie des biffins. La gravure est sympa Un "brutal". Bien réalisé, ma foi Le plumet est celui de 1792

V'là une partie des biffins. La gravure est sympa
V'là une partie des biffins. La gravure est sympa 
Les artilleurs républicains 28 mm d'Emperor Toads Emporium viennent d'atterrir tout frais dans ma boite aux lettres.
Avec cette marque, les envois prennent toujours un peu de temps (au moins deux semaines). Mais, Brexit ou pas, ils arrivent sans surprise, en particulier sans droits de douane-surprise comme j'ai cru comprendre que cela arrivait  à certains joueurs avec d'autres fabricants.
Pour le reste, rien à redire : belle gravure et poses sympas. 
Le graveur a revêtu les figs de l'uniforme des canonniers volontaires de 1792 avec un plumet à bout droit et non un plumet pointu comme c'était également le cas à l'époque.
Un élément de coiffe que j'aurai également le plaisir de peindre en bleu-blanc-rouge ainsi que l'indique le précieux bouquin sur "Les artilleries françaises de la Révolution et du Premier Empire" (ed. Heimdal) que mon pote palois Olivier m'a jadis remis entre les mains. 
Puisse un soleil radieux lui briller en permanence sur l'occiput.

 

1944 : L'HIVER BRULANT DE NARVA

Le 23/02/2021

Les chasseurs-bombardier russes Sturmoviks ouvrent le bal. Une partie des belligérants, masqués ... et sans pitié Un canon de 85 mm vise, tire, touche ... mais va le payer cher Touché de flanc, le Stug rend l'âme. Circulez ! Y a plus rien à voir !

Les chasseurs-bombardier russes Sturmoviks ouvrent le bal.
Les chasseurs-bombardier russes Sturmoviks ouvrent le bal. 
Depuis le temps qu'on l'attendait, celle-là ! 
La première baston de la campagne hivernale de Narva 1944 qui a opposé les Ruskofs aux Teutons et à leurs alliés, s'est déroulée aujourd'hui dans mon garage sous la houlette du maréchal de panzers Philip von Kasstoi-Povmoujik et selon les préceptes de la règle "Blitzkrieg". 
Un rude affrontement qui a vu les défenseurs de la vaillante Armée rouge rivaliser d'audace et de coups de boutoir devant l'imposant et le très organisé rouleau compresseur des forces de l'Axe.
Forces qui, en fin de journée, ont fini par conquérir de haute lutte un village et un bois tenus au centre du dispositif coco par toute une compagnie mixte ainsi que par des pionniers et des éclaireurs russes. 
Mais la messe rouge n'est pas dite pour autant.
Car des troupes et non des moindres restent disponibles chez les affidés du ch'ti père Staline.
Affaire à suivre donc, comme dirait un commissaire politique en emboitant le pas à un suspect dans une rue borgne de Vladivostok .

 

LES COW-BOYS ONT DU SUSHI A SE FAIRE

Le 22/02/2021

Des leurres plein la table pour débuter Horreur et stupéfaction : la rencontre avec un sous-marin ricain Le Chikuma (le navire de mon chef) tente de couler l'intrus Mes torpilles gauche vont bientôt  faire merveille

Des leurres plein la table pour débuter
Des leurres plein la table pour débuter 
Y a des occasions qu'il faut savoir saisir quand elles se présentent. 
Hier, le temps était morose et peu propice aux baguenaudages sur le sable breton.
Ma générale de corps d'armée m'a donc donné, sans même que je le demande, la permission d'aller faire le zozo autour d'une table de jeu si l'envie m'en prenait.
Les désirs de la patronne étant des ordres, je me suis illico exécuté, et hop !, direction le sud de Rennes où une baston navale opposant les Ricains aux Japs se concoctait dans un garage.
Ce rude affrontement opposait 6 joueurs sous la direction d'un arbitre. Il avait aussi un côté cocasse et pittoresque : chaque joueur étant chargé de remplir une mission secrète, bien précise mais pas forcément évidente.

Grand amateur de torpilles véloces, j'avais opté pour le camp nippon.
Du coup, je me suis retrouvé aux commandes du Yahagi, un croiseur léger de retour de Guadalcanal et quelque peu esquinté. Les seules torpilles qu'il pouvait tirer étaient placées à babord. C'est à dire à gauche, bande de terriens.

Mon objectif : permettre à mon chef, un obscur sous-amiral, lointain cousin de l'empereur, de revenir au pays couvert de gloire après avoir coulé un navire ennemi. S'il échouait, s'il mourrait ou si je mourrais, on avait perdu.
S'il réussissait par contre à tirer les marrons US du feu de ses batteries, on étaient vainqueurs. Simple et de bon goût.

La partie, disputée selon l'excellente règle "Victory at sea", comprenait des emplois de leurres, des recherches au radar ainsi que moult lancers de dés plus ou moins foireux.

Pour ce qui me concerne, Saint Limeur, le patron des jeteurs de dés pipés, devait être ce jour là de mon côté.
Au tout dernier tour de jeu, tandis que mon amiral balançait la purée sur l'amiral ricain  cerné par nos navires, plusieurs de mes torpilles ont  touché de plein fouet le bâtiment du fier à bras qui tenait la barre de "L'Atlanta". 

Bim, bam, boum... Le cow-boy s'est retrouvé illico à la baille pour servir de sushi fourré au ketchup aux requins du coin. Raaah lovely !  Mission remplie.

L'heure passant et le couvre-feu covidesque approchant à grands pas, y avait plus qu'à plier les baguettes, ranger l'éventail et se retrousser le kimono pour rentrer dare-dare chez ma daimyo perso. Fier comme un bar-tabac.
On recommence quand vous voulez, les mecs. 


 

 

BRETZEL CONTRE CALENDOS, CHAUD DEVANT !

Le 19/02/2021

Le début de partie, avec son brouillard de guerre La réserve française, Garde comprise, s'apprête à donner r De féroces combats pour les villages Gare aux pruneaux. Ca chauffe à l'aile gauche.

Le début de partie, avec son brouillard de guerre
Le début de partie, avec son brouillard de guerre 
Des corps d'armée indépendants mais solides et bien groupés, une réserve qu'il convient d'utiliser le moment venu ainsi qu'une cavalerie dont une partie est associée à l'infanterie tandis que l'autre constitue une force de frappe suffisante pour freiner les vélléités adverses. Enfin, une ligne directrice à laquelle on se tient sans tourner autour du pot.

Telles sont quelques unes des recettes - leçons tirées de précédentes batailles - que j'ai essayé d'appliquer lors de la baston de "P'tit tondu" disputée jeudi face au féroce marquis Philippe de Pacémoi-Donclesel, commandant en chef des troupes autrichiennes qui faisaient face à mes franchouillards.

Belle castagne, ma foi,  qui est longtemps resté indécise. Les Français se retrouvant dans leur rôle habituel, et pas forcément facile,  d'attaquants face à des mangeurs de bretzels qui jouaient plutôt la défensive. Cela, sans perdre pour autant la moindre occasion de contre-attaquer. Ah ! Les sacrées têtes de lard ! 

Au final, un match nul dans la mesure où les pertes étaient équivalentes des deux côtés, avec toutefois une forte pression française. Mais surtout un bon moment de jeu, riche de multiples rebondissements.

Mardi prochain, une autre ambiance nous attend dans mon bouge sud breton avec, cette fois-ci, le début de la campagne Blitzkrieg qui opposera des vaillants ruskofs contre d'odieux Teutons.
Tout cela en attendant que le marquis ilestvilain suscité nous serve chaudes des parties de "Tercios" en 15 mm sur le thème de la Guerre de Trente ans. Une période que l'on n'avait pas encore abordée jusqu'à présent. 
Comme quoi, le jeu d'histoire avec figs, c'est comme les pots de confiture. C'est toujours au fond des étagères qu'on trouve son bonheur. Miam !   

 



 

 

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