Le dénivelé commence à prendre forme. Y a du taf

Pour le moment, ça n'a l'air de rien. Mais faut toujours se méfier du polistirène qui dort.
Les premiers éléments de mon second décor, celui que je présenterai en 2014 sous les cieux cléments du grand sud-ouest, commencent à être posés.
Ca représentera l'attaque de deux redoutes par les Anglais et les caçadores portugais.
Fort de mon expérience, comme dirait le premier ministre après un an de gouvernance et en tentant d'enlever les 11324354657554 balles, flèches, banderilles et coutelas qu'on lui a plantés dans son beau costard à rayures, je vais tenter d'améliorer cette seconde réalisation .
On y trouvera notamment des haies et des chemins creux.
Un peu d'artillerie aussi. Parce que chez les militaires, faut dire ce qui est, y a eu toujours des boulets.

Des rifles et des Ecossais. Faut dire ce qui est: y a pas plus méchant

C'est bien beau le Pays Basque, mais y a pas que là ou ça s'est cartonné voici deux cents ans. D'autres fritages, étripaillages et  castagnages à gogo ont eu lieu dans notre  région (pluvieuse) du sud-ouest. Pendant que le ch'ti père Napo, qui avait le dos tourné,  était bêtement en train de discuter le bout de gras avec les Prussiens, les Autrichiens et les Russes, quelque part vers l'Est .

Bref, comme le virus m'a pris, je vais derechef et pas plus tard qu'illico m'attaquer à une autre maquette. Elle mettra en scène de manière glorieuse et ostentatoire ces teigneux de chez teigneux qu'étaient les higlanders de la division Clinton.
Ils seront accompagnés de quelques autres spécialistes de l'ouverture de la boite à gifles . Un merveilleux instrument que nos équipes locales de rugby ont d'ailleurs décidé de conserver depuis. En hommage à ces drôles de touristes, qui portaient une jupette mais cognaient comme des sourdingues.

Ce coup-ci, y aura pas de colline, mais une légère pente et une forte odeur de cassoulet. Vous voyez ce dont à propos de quoi que je cause ?

Y font pas la sieste. Y z'en ont pris une

Y a ceux qui perdent tout le temps au loto, ceux qui ont une belle doche aimable comme un balai à chiottes, ceux qui font que des 1 aux dés... et ceux qui prennent une bastos sur les champs de bataille .
C'est à cette dernière catégorie de malchanceux que j'ai voulu rendre hommage.
Même si cela n'empêche pas les pauv'gars qui ont vraiment la guigne, et qui marchent constamment du pied droit dans la merde de clébard  (y en a, j'ai les noms),  de faire AUSSI partie des trois premières catégories.
Les figs Wargame Foundry  ci-dessus sont des résidus de fonds de mes tiroirs , qui commencent soit dit en passant, sérieusement à se vider.
Comme quoi, tout a une fin, comme dirait M. Albert, 87 ans, en se penchant tristement sur ce qui fit jadis sa réputation, et le bonheur de ces dames.

Pour un mot de trop. C'est ballot, quand même

Aujourd'hui, le soleil s'est mis à briller momentanément sur le Béarn. Je suis donc allé faire un tour en montagne , du côté de la frontière espagnole. Histoire de vérifier si je n'y trouverai pas quelques brebis à déniaiser.
Faut dire ce qui est : y avait pas grand monde.
Mais le hasard fait parfois curieusement  les choses. Car le premier type que j'ai croisé en altitude était - je vous le donne en  mille - un amateur de wargame !
Du coup, on s'est mis à discuter des mérites comparés de nos règles. Jusqu'à ce que cet inconscient ait  un mot de travers pour "Vive l'empereur".
Ca m'a énervé. J'ai pas fait de détail. Voici ce qu'il en reste.