Les Danois dans leurs oeuvres. Serrés comme des harengs

Quelques clichés au coeur de la baston de l'autre jour. Juste pour le plaisir. Ca fait jamais de mal. Ca fait même plaisir .

Une partie des belligérants en train de concocter leurs plans retors

Ca s'est sérieusement frité, samedi, dans le bourg landais ébahi et traumatisé de Cazères sur l'Adour dont les habitants se sont réfugiés en tremblant au fond de leurs maisons, rien qu'en entendant le bruit de nos canons.
J'aurai l'occasion de revenir plus en détail sur cette baston mémorable.
Disons simplement que les combats ont été rudes
Les Prussiens du général Patrice de Laéronauticus ont eu fort à faire face aux Français que commandait le pieux JP de Lafumée de Pasdemiséricorde.
Et ils se sont couverts en gloire en osant charger,  avec trois régiments de cavalerie, siouplait , une ligne d'infanterie de vieille garde qui les a arrêtés net rien qu'en clignant des paupières.
On n'avait encore jamais vu un tel spectacle et on n'est pas prêt de l'oublier.
Au centre, le général Olivier de Quelboisjemechauffe a eu maille à partir avec les Autrichiens du vicelard de chez vicelard qu'est son  homologue, Vivian de Labelleosais. Un sadique dont on ne se lasse pas de répéter la célèbre devise : "Ca fait mal ?"
Quant à ma pomme, j'ai eu toutes les peines du monde à réveiller face l'aile droite française ce gaillard de Didier van Blue Swede Shoes dont les Autrichiens, massés en carrés, en tas, et en grosses  bouses, étaient plongés dans un profond sommeil.
Exception faite d'un régiment de cavalerie légère qui avait décidé de venir astiquoter les Danois que l'on m'avait confiés.
Certes, on a  un peu discuté le bout de gras autour d'une maison. Mais c'est aussi là qu'a pu se vérifier la fourberie légendaire du Landais .
Car 90 Autrichiens mobilisés pour attaquer une maison dans laquelle 12 pauvres tirailleurs danois étaient tranquillement en train de jouer aux billes, c'est moralement très laid, ça, mon mon cher van B. Très, très laid.
J'en ai d'ailleurs honte pour toi, et j'espère bien que le rouge de la confusion envahit ton front. Puisse un gros nuage noir te pleuvoir tout l'été sur le crane pour te rappeler ton ignominie. Hi,hi,hi.

Pour une fois qu'un journal sert à quelque chose

Mon nouveau décor avance doucettement.
Les niveaux en polistirène ont été tapissés de papier journal fixé avec des clous. Celui-ci a été recouvert d'un intissé utilisé pour refaire des plafonds (il m'en restait un plein rouleau), et peint avec un chouia de blanc pour rigidifier l'ensemble.
C'est que le début, évidemment, et je vais continuer le combat. Pas à pas, tranquillos, sans blème.
Suffit d'être patient, comme le féroce escargot de Bourgogne prêt à bondir tel un fauve sur sa proie tremblante.
Eeeeuh, c'est le soir. Je commence à fatiguer. Faudrait p'têt' que je choisisse une autre image .