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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

VEILLEE D'ARMES

Le 15/08/2013

Des Bavarois pleins de hargne vont leur prêter main forte Les Franchouillards on eux aussi picolé. Mais au Madiran. Les infâmes Brunswickois se sont alliés aux odieux Prussiens Les Ostrogoths en ordre de bataille. Fins bourrés, comme d'hab

Des Bavarois pleins de hargne vont leur prêter main forte
Des Bavarois pleins de hargne vont leur prêter main forte 

Les figs sont dans leurs boites et chargées dans la Yaris. Demain, à l'heure où les coqs roupillent encore, les armées française et prusso-brunswickoise vont prendre la direction de Saint-Médard-en-Jalles pour aller s'étripailler sous le regard gourmand de vot' serviteur et du sulfureux JP.
Exceptionnellement, comme on n'est que deux ce coup-ci, on va jouer petit, sur une table de 3,20 mètres de long.
Ce sera largement suffisant pour se faire des coups tordus et multiplier les tactiques perverses.
Vicieux comme on est, j'en salive d'avance.

 

Y A PLUS QU'A ALLUMER LA MECHE

Le 15/08/2013

Les figs sont de Warlord, en métal Les mêmes, en train de batifoler au bord d'un torrent de montagne Finalement, en matière de figs, tout est une question d'échelle Les rois du feu d'artifice en action Ceux-là, j'ai hâte de les mettre en oeuvre sur une table

Les figs sont de Warlord, en métal
Les figs sont de Warlord, en métal 
Elles faisaient beaucoup de bruit, explosaient pour un rien, et partaient souvent en vrille comme des foldingues. Je ne parle pas de Nabilla et de ses copines éructantes des "Anges de la télé", mais des fusées Congreve.
Le premier exemplaire de cette arme aussi  aléatoire que tonitruante achetée en modèle réduit chez Warlord  vient de sortir de ma tanière béarnaise.
La photo rend les visages personnages assez pâles. Mais c'est parce que je n'ai pas encore eu le temps de les nourrir avec de bons grains de maïs, comme nos poulets et canards gras des Pyrénées . Le genre de nourriture qui, accompagnée d'un verre de jurançon,  vous requinque vite fait bien fait l'Anglais alimenté jusqu'alors à la bière tiède et à la gelée rose.
Maintenant, je vais m'attaquer à un bataillon de Pruskos de chez Calpe. Du lourd, du solide, du teigneux, et pas vraiment du poétique. 
Mais demander à l'Ostrogoth de faire dans la dentelle, c'est comme suggérer à un évêque de pousser la porte d'un claque . Quoi que, à bien y réfléchir...

 

DEUX MONSTRES AU SOLEIL

Le 14/08/2013

Je le sens. Ca va encore tourner au carnage
Je le sens. Ca va encore tourner au carnage 

Faut dire ce qui est. Rien que d'y penser, des frissons d'horreur me parcourent l'échine.
Tandis que la plupart des membres du groupe napo sont en train de faire des pâtés de sable avec leur petite pelle et leur seau sur les plages landaises, deux odieux personnages, aussi fourbes que cruels, s'apprêtent à en découdre pas plus tard que vendredi prochain dans la plaine de Saint-Médard-en-Jalles.
J'ai nommé ma pomme, JJ la racaille, la honte du Béarn, et le révérend père JP de Lafumée de Pasdemiséricorde, l'Attila des vignobles.
Je sais pas encore quelles armées vont nous être confiées. Mais j'ai ouï dire qu'il y aurait du Prussien, et peut' êt' ben un bataillon du corps franc de Lutzow.
De bien sombres gaillards aux dents pointues que je vous conseille pas de croiser à la nuit tombée dans un cimetière. Vous ne vous en remettriez pas. D'autant que, contrairement à cette fiote de Dracula, l'ail et les pieux, eux, ils adorent ça.
Avec l'effrayant JP, on va aussi essayer de battre un record : jouer avec des soldats mous. Car la baston se déroulera en extérieur, et le thermomètre annonce une température de 31 degrés. Le premier qui sort du hammam a perdu.



 

 

LE PLANCHER DES VACHES

Le 13/08/2013

Je sais. C'est le foutoir.Mais c'est aussi comme ça que j'aime le napo
Je sais. C'est le foutoir.Mais c'est aussi comme ça que j'aime le napo 
On rigole, on rigole. Mais faut toujours avoir les pieds sur terre.
J'ai donc profité d'un (long) moment de vacances pour offrir un vrai socle à une partie de mes figs qui en manquaient .
Un peu de métal souple, une pince à découper, et une dalle de sol autocollante en plastico-chaipasquoi pour tenir le tout.
Ca le fait bien. Reste maintenant à m'attaquer à l'artillerie. Ca va pas trainer, comme dirait Melle Odette en ouvrant la porte du "Perroquet bleu" à un régiment de zouaves.

 

COSAQUE TOUJOURS, TU M'INTERESSE

Le 09/08/2013

A lire en suçotant une Bacchus ou une Chimay bleue
A lire en suçotant une Bacchus ou une Chimay bleue 
Les bouquins, c'est comme les pots de confiture. Dès qu'on en a fini un, on a envie d'en ouvrir un autre.
Ma belle mère, qui est une femme de goût, vient de m'en offrir un pour ma fête : "Les années cosaques".
Cet ouvrage affriolant raconte comment les Français ont fait le coup de poing en 1813 et en 1814 contre des hordes d'envahisseurs cassse-bonbons dans ces plats pays que sont la Hollande, la Belgique et le Nord de la France.
Je sais pas pour vous, mais moi, ça me botte. Ne serait-ce que parce que l'on y parle des castagnes organisées à cette époque non loin de la splendide ville qui m'a jadis vu naitre avec un pinceau dans une main, une fig dans l'autre, et une boutanche de Gueuze Lambic en guise de biberon.
Je parle de Lille, bien sûr. Rijsel en flamand, bande d'ostropithèques ignorants.
Un dernier détail : ce n'est pas parce que le bouquin en question est paru aux éditions Historicone, qu'il a été écrit par une cantinière un peu bébète.

 

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