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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

IL EN RESTE, MILLIARD DE DIOUS !

Le 20/04/2014

Mais d'où qui sortent, ceux là ?
Mais d'où qui sortent, ceux là ? 
Incroyab' ! Plus j'en peints, et plus il en sort, vingt de d'chiu.
Pendant que le Béarn retrouve enfin un temps normal (il pleut), j'ai mené une enième expédition exploratoire dans mes fonds de tiroirs. Et j'ai mis la main sur deux bataillons français, ainsi que sur quelques figs d'officiers du même acabit.
Ceux là, ce sont de vieux Wargame Foundry (vendus aujourd'hui au prix du platine) , ainsi que des Perry, qui baillaient comme de gros fainéants dans un coin de mon atelier.
Je vais en profiter pour rassembler leurs compagnies d'élite afin de me bidouiller un bataillon de jeune garde qui me manque (parmi d'autres) pour le projet Waterloo.
Un projet dont à propos duquel de quoi qu'on commence à causer au sein du groupe napo, en tournant un regard intéressé vers les Landes .
Mais, j'y reviendrai. Un premier contact doit être noué à ce propos a, ces jours-ci, avec le fourbe général Olivier de Quelboisjemechauffe.
Affaire à suivre, comme dirait un satyre en emboitant le pas à une donzelle.

 

EMBROUILLE ECOSSAISE

Le 19/04/2014

Le drapeau a été enlevé, en attendant de dégotter le bon
Le drapeau a été enlevé, en attendant de dégotter le bon 
Rien ne ressemble plus à un Ecossais malodorant qu'un autre Ecossais malodorant.
Sauf peut-être un Béarnais malodorant et à la coucourde aussi embrouillée qu'un pâté d'âne bâté au piment d'Espelette...
Hé oui, je l'avoue. J'ai honte. Et je fais amende honorable. en psalmodiant des actes de contrition , en larmes, à genoux, devant la statue de sainte Rita, avocate des causes désespérées.
 Sans la vigilance (et les inépuisables connaissances waterloosiennes ) d'un fidèle lecteur de ce blog - j'ai nommé l'illustre professeur émérite Lechevalier - je me serais affreusement fourvoyé en confondant le Highlander Argyllshire, du 91e régiment britannique, avec le Gordon Higlander, du 92e.
Porca miseria, god damned it , und hildepute ! C'est quasiment comme si je comparais un zèbre avec un grille pain.
Mais , cela étant admis, même le plus vil des pécheurs a droit à la miséricorde divine.
Après m'être couvert la tête de cendres, avoir revêtu une robe de bure , et fait trois fois le tour de ma maison sur les mains (ce qui a malheureusement fait tomber les cendres), j'ai donc rectifié le tir .
C'est à dire que j'ai légèrement repreintouillé l'uniforme du bataillon et du chef de corps fautifs (fond bleu sombre, bandes vertes surlignées de jaune) pour essayer d'obtenir un 92e à peu près honorable.
J'ai aussi et enlevé le drapeau du 91st. En attendant de peindre cet autre bataillon,qui était bel et bien présent, lui, à la bataille de Toulouse, où il a pris d'assaut la redoute du Mas des Augustins lors d'un week-en de Pâques de 1814. Alors que les  guillerettes fusées Congreve sifflotaient joyeusement dans le ciel hautégaronné.
Quant au drapeau du 92e , hé ben je vais le reproduire en utilisant l'excellent site Napflags.
C''est gratos et donc, comme le dirait ce bon M. de la Palice, ça coûte pas cher.

 

ANGUS LE SANGLANT

Le 18/04/2014

V'là le bestiau. Un fourbe Ecossais, aussi retors que son canasson
V'là le bestiau. Un fourbe Ecossais, aussi retors que son canasson 
Il n'est pas en kilt parce que ça risquerait de faire jaser quand il monte à cheval. Mais c'est un Ecossais, un vrai de vrai, nom d'une panse de brebis farçie !
Le colonel Angus Mac Amomilleisready, duc d'Argyllshire et grand pourfendeur de Français, vient de sortir de mon atelier de peinturlurage.
Sortira-t-il sa claymore lors de la prochaine baston napo qui se profile pour le samedi 26 avril sur les terres lotégaronaiseuh du baron Joan de Jaidubonpruneaudansmaprunautière ?
Va savoir, Charles !
Les listes d'armées sont pas encore prêtes. Mais la partie s'annonce d'ores et déjà chaude avec, pour le moment, un ignoble Toulousain, deux perfides Landais (pardon pour le pléonasme), un résidu de Béarnais (ma pomme), et le maitre des lieux, qu' est pas bien clair non plus.
Pauvre France !


 

 

POURQUOI VOIR GRAND QUAND ON PEUT VOIR ENOOORME ?

Le 14/04/2014

4,70 m de long, tout en vrai  diorama. Le rêve du wargamer Faut retravailler pas mal de détails. Mais ca va le faire La route garvillonnée amovible, c'est possible. La preuve J'ai placé un bataillon pour donner une idée de la taille du décor

4,70 m de long, tout en vrai  diorama. Le rêve du wargamer
4,70 m de long, tout en vrai diorama. Le rêve du wargamer 
Quand y en a plus, y en a encore.
A peine le diorama de Toulouse était-il refroidi, que j'ai entrepris de faire quelque chose dont à propos de quoi que je  vous causais voici quelque temps : l'agrandir , et le réunir au décor déjà réalisé voici quelques mois sur l'attaque du pont de Vera de Bidassoa. Histoire d'avoir un méga décor de jeu : 4,70 m de long sur 1,90 m de profondeur, en même temps qu'un décor d'expo mahousse que l'on pourrait présenter au cours de nos prochaines équipées napoléono-wargamesques.
Ca ne parait pas bien sorcier : juste quelques plaques de polistirene à ajouter et quelques bordures à enlever.
Le plus long sera  de réaliser de nouveaux champs, et de retravailler quelques raccords. Mais ça devrait le faire.
Pour avoir une idée de ce que ça donnera, j'ai commencé à travailler ça dans mon atelier. Le décor est tellement grand que j'ai du prendre une des photos en passant par l'extérieur, et en prenant un cliché à travers une fenêtre de l'atelier.
Pour les habitations, j'imaginerai des socles cartonnés, et peints bien sur, que je placerai à l'angle des champs.
L'intérêt de ce genre de décor, c'est aussi que je peux y poser des routes amovibles (ma route en tissu et gravier fera merveille là dessus comme le montre l'une des photos).
Faut aussi que j'imagine des scénarios pour la traversée de la rivière, en plus du pont : des  radeaux par exemple (j'avais déjà joué ça à une époque préhistorique, à Bordeaux, avec les Centurions du Sud-Ouest), et des parties guéables.
La pente des rives étant considérée franchie automatiquement dès qu'on atteint la limite haute d'une berge.
Une traversée en léger décalage peut aussi être imaginée pour tenir compte du courant.
Et pourquoi pas un 6 au dé pour faire couler le radeau (que je confectionnerai avec des tiges de brochettes) au canon.
Bon, ben , y a plus qu'à, hein ? Allez, JJ, au turf !

 

LA VILLE ROSE REVOIT ROUGE

Le 13/04/2014

Y a pas à dire, le 28 mm, ça fait toujours son petit effet Au coeur de la baston. Manquait que l'odeur de poudre L'armée espagnole avait pris position sur une autre table Les gamins, comme d'hab, écarquillent les yeux Avec les compliments des Grognards des Pyrénées (y manque Patrice)

Y a pas à dire, le 28 mm, ça fait toujours son petit effet
Y a pas à dire, le 28 mm, ça fait toujours son petit effet 
Veni, vidi, exposi... comme dirait mon pote Jules.
Samedi , le retors général Vivian de Labelloasis et votre serviteur, JJ le vampire du Béarn, renforcés par des troupes indigènes fermement encadrées par le maréchal Patrice de Laéronauticus,  nous nous sommes abattus comme un vol de corbeaux affamés sur la bibliothèque d'étude et du patrimojne qui se trouve en plein centre de Toulouse. Un lieu splendide, soit dit en passant. Après mon atelier, c'est le deuxième endroit le plus beau que je connaisse dans le sud-ouest de la France. Hi,hi,hi.
Pendant tout un après-midi, on y a exposé le diorama en relief consacré à l'attaque lancée le 10 avril 1814 par les Anglais et les Portos, contre la partie sud du Calvinet.
Une bataille pour rien en fait. Car le ch'ti père napo avait déposé les armes et abdiqué quatre jours plus tôt. Si ce gros bourrin d'empereur avait pas laissé son portable éteint, les Toulousains auraient peut-être pu le savoir à temps, boudious, mordious und hildepute !
Le diorama était accompagné d'un gros écran de TV.   Celui-ci  nous a notamment servi à présenter des powerpoints destinés à expliquer les principaux mouvements de troupes pendant la bataille.
Ajoutez à cela, de la musique napo, ça va de soit, interprétée avec brio par le 43e régiment d'infanterie de Lille (la ville qui m'a vu ouvrir des yeux ébahis sur ce vaste monde en délire)
Mais aussi une table sur laquelle avaient été alignées comme à la parade toute l'armée espagnole ainsi que les cavaleries française et anglaise.
Au total, pas loin de 1 500 figurines qui ont laissé les visiteurs toulousains comme deux ronds de flanc. Car, faut dire ce qui est (et au diable la modestie, vingt de diousse !)  on a eu le sentiment de leur taper dans l'oeil à ces gaillards.
Des jeunes, des vieux, des hommes , des femmes, des retraités, des actifs, des étudiants... Il y avait de tout. Tout cela saupoudré de sourires et de pas mal de compliments.
Comme quoi, on dira ce qu'on veut, mais le 28 mm, côté expo, y a pas mieux.L'idée étant aussi de reproduire l'impression de masse que procurait une baston napoléonienne.
Une chose à retenir au passage : quand on présente un diorama de ce genre, il y a toujours un tas de gens qui essaient de repérer l'emplacement actuel de leur maison sur le site d'une bataille. On avait déjà connu ça à Bera, au Pays basque espagnol. Et chaque fois, on nous demande : "et où se trouve tel lieu ? et où est tel boulevard, telle rue ?"
Deux exposés sur la bataille ont également été présentés par ma pomme. Le premier a été rock'n roll.
Vivian a-t-il éternué ? Patrice a-t-il un peu trop fortement soupiré d'aise en posant le regard sur cette grosse partouze figurinesque ? Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais l'ignoble coupable ne perd rien pour attendre. Car, peu de temps après mon introduction, toutes mes feuilles de notes (il y en avait 10 ! ) qui étaient posées sur un pupitre un peu trop vertical se sont éparpillées par terre.
Porca miseria ! Ach, la guerre, gross malheur ! Je les avais pas numérotées, Pyrénéen hébété et imprévoyant que je suis.
" Pas de panique, JJ" me suis-je dit illico ainsi que subrepticement sous les yeux indulgents de l'assistance  hautegaronaise qui, de toute façon, n'avait pas d'autre choix que d'attendre.
 J'ai ramassé, trié, et recommencé tout en adressant au micro mille zexcuses à l'auditoire.
Ca doit être ça, la glorieuse incertitude des batailles. M'en souviendrait, rontudju !
Pour le reste, on n'a pas d..., pardon, arrêté. Près de cinq heures à parler figs, baston, histoire, bouquins, peinture et wargame avec les visiteurs. De quoi vous mettre la glotte en feu.
Tiens ! Même maintenant, elle est encore sèche. Allez, une ch'tite mousse ! Il est où, mon décapsuleur ?


 

 

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