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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

LES PRUSKOS RETROUVENT LEUR PIQUANT

Le 26/04/2021

Helmut, Franz und Dietrich ont retrouvé leurs lances
Helmut, Franz und Dietrich ont retrouvé leurs lances 
Se préparer à la rentrée des classes bastonneuses n'empêche pas de rafistoler ses armées ici et là.
En l'occurence, j'ai repéré trois ulhans prussiens qui avaient paumé leurs lances lors de précédentes bastons.
Ce qui, on en conviendra volontiers, est une déplorable faute de goût et leur vaudra soit en passant quelques jours de gnouf ainsi qu'une privation de bière pendant quinze jours (je sais, je suis dur, mais faut ce qu'il faut).
Voilà toutefois là chose réparée . Nos gugusses vont donc pouvoir à nouveau piquer au bout de leur hampe guerrière quelques cuissots bien saignants de grenadiers franchouillards. Y a ^pas de petits plaisirs. 

 

PAS DE DOUTE, CA SENT LE GNON ET LA MORNIFLE

Le 24/04/2021

Teutons et ruskofs n'ont pas fini d'en découdre. Entre autres...
Teutons et ruskofs n'ont pas fini d'en découdre. Entre autres... 
Je ne sais pas si vous avez humé l'air, mais - sauf mauvaise surprise - ça commence légèrement à sentir le déconfinement et le retour des bastons, les gnons, les marrons, les horions et les beignes par figs interposées.
Pour ce qui me concerne (et je ne suis pas le seul), avec le club des Hussards d'Isengard, c'est pas les projets qui manquent .
A commencer par la retraite de Russie de 1812 en escarmouche ou encore les discutailleries entre chouans et républicaneries mijotées à la sauce  "Bataille Empire". 
Sans oublier la poursuite de la campagne Blitzkrieg lancée par le maréchal Philipp von Tapedurstein, quelques séances de P'tit tondu ni les rififis navals entre ricains et japs concoctés par l'amiral Frank Bimbamboum, de l'ADG (art de la guerre) et un tas d'autres trucs.
Raaaah ! Les bons moments que voilà ! 


 

 

CA COMMENCE A LE FAIRE

Le 22/04/2021

Mes divisions chouannes, pas encore au complet
Mes divisions chouannes, pas encore au complet 
Voilà ce dont je dispose en chouans pour le moment.
Très largement suffisant pour des jeux d'escarmouche, mais encore un peu maigre pour des expos si je veux reproduire les proportions des troupes ayant combattu en 1795 entre Carnac, Locoal-Mendon et Quiberon.

​Certes, avec les figs déjà peintes par l'amiral Charles du Rafiot, le compte y est .
Mais ce fier marin est pour le moment en train d'entamer une carrière (que je lui souhaite brillante) sous les drapeaux à bien des lieues des côtes du Morbihan.

40 à 50 figs de plus devraient donc rejoindre mes troupes paysannes d'ici quelque temps. Sachant aussi que, du côté des émigrés, il me faudra aussi peindre des Hussards de Rohan à partir de hussards anglais de chez Perry.


Allez JJ ! Au boulot ! On y croit ! 

 

DOUE HAC ER ROUE

Le 21/04/2021

Tout frais, tout juste peints : les chouans tranchants
Tout frais, tout juste peints : les chouans tranchants 
Les chouans étaient 12 000 à Quiberon. Sans compter les belles-mères et les mioches.
Je n'irai pas jusque là mais je n'ai pas fini d'en peindre.

Voici les p'tits derniers, gravés par Emperor Toads Emporium et bidouillés pour certains par ma pomme pour leur faire enfiler la traditionnelle culotte bouffante bretonne;

Les bougres sont armés d'ustensiles aussi incertains que tranchants et deux d'entre eux portent des pistolets chargés avec de la farine de blé noir (d'où leur imprécision).
Il y a même un forgeron venu là avec sa masse. Histoire de bien faire entrer les préceptes de la vraie foi dans le crâne obtus des patauds.
Quant au porteur de drapeau, il exhibe un emblème brandi à l'époque dans la région d'Auray et sur lequel sont inscrits les mots "Doue hac er roue" . Dieu et le roi, je présume. En tout cas, certainement pas "Vive la Convention ! ".

D'autres chouans du même acabit doivent encore suivre en attendant que je revienne à un solide bataillon de bleus et à quelques cavaliers royalistes.
Bref, on l'aura compris, les troupes de Quiberon, c'est comme les galettes-saucisses dans un fest noz :  quand y en a plus, y en a encore.

 

"BATAILLE EMPIRE" A LA MODE CHOUANNE

Le 20/04/2021

Premier test. D'autres suivront.
Premier test. D'autres suivront. 
Je viens de tester mes républicains, émigrés et chouans avec la règle "Bataille Empire" qui prévoit des listes d'armée pour ces troupes.

Hé ben, une chose est certaine, même si on pouvait s'y attendre, en terrain découvert comme cela a été le cas en 1795 sur la lande désolée de Quiberon, les chouans ne valent pas tripette face à la ligne des "bleus" qui, en ayant généralement un meilleur moral, bénéficient souvent d'un précieux bonus "élan". Au choc, ça fait une sacrée différence . 

Classés milice (ce qui est logique), les chouans ne peuvent par ailleurs pas combattre en ligne mais en colonne. Ce qui constitue un net handicap pour les troupes équipées de fusils.
La règle établit enfin une différence entre les "paysans armés" (comprenez de fusils) et les "paysans mal armés". Là aussi, rien de surprenant.

Bref, on a drôlement intérêt à  avoir de la chance aux dés, à soutenir tout ce petit monde et à l'employer à bon escient si on ne veut pas le voir s'égayer comme une volée de moineaux ébouriffés.

Par contre, sans vouloir être chauvin, je ne comprends pas pourquoi une distinction est faite par Bataille Empire  entre les chouans, qui ne comprennent que ces deux catégories de combattants (paysans armés et mal armés), et les Vendéens qui, eux, englobent également dans leurs troupes de paroisses des unités de "tirailleurs" et de "batailleurs" dont le moral est meilleur.
Faudra qu'on m'explique.

Pour leur part, les régiments d'émigrés sont mieux lotis. 
Sachant que le Royal Louis (l'ancien nom donné au régiment commandé par d'Hervilly, l'un des chefs de l'expédition) est composé non pas royalistes vétérans comme c'est le cas du Loyal Emigrants , mais de "royalistes médiocres".
C'est bien normal quand on sait qu'une bonne partie de la troupe comprenait d'anciens prisonniers républicains libérés à condition de servir chez les "blancs". Autrement dit une belle bande de pommes pourries.

Ajoutez à cela que, à Quiberon, le général en chef royaliste est classé "mauvais" tandis que la moitié des autres généraux est "ordinaire" (et les autres "mauvais"). Une bonne manière d'illustrer les dissensions d'état-major qui plombaient le camp des "blancs".

Les mécanismes de la règle, eux, sont relativement simples avec des tirs d'infanterie particulièrement meurtriers. Et les choses peuvent aller très vite sur le terrain.

Il me faudra sans doute d'autres tests pour affiner tout cela avant la démo qui sera proposée dans le cadre du joyeux club des Hussards d'Isengard. Le jour où les poules auront des dents le déconfinement pointera le bout de son nez.




 

 

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