Le chariot sans la bâche. Oh ! A propos, c'est du Perry

Après avoir botté avec délectation le fion de tous les tarés qui nous pompent l'air avec leurs théories foireuses, j'élève un peu le débat en ôtant le haut de ... mon chariot napo. Hi, hi,hi.
Cela vous permet de découvrir le souk qui règne dans le gourbi de Mme Odette. Une brave dame dont , il faut bien le reconnaitre, le sens du rangement n'est pas la qualité première.
Quant à savoir ce qu'il y a dans les malles, rien de plus simple :  664353198732453 soustingues, 334958343427 slibards, 346561375424552424415 capotes neuves (et 2 usagées) ainsi que  33346183783799535356452733561534334616432732 godes en jijinium de titane . Un métal fort rare que l'on ne trouve que dans les Pyrénées, juste autour de ma maison
Ca craint pas le froid, ça craint pas l'usure, ça craint pas la rouille, ça craint pas la poussière, et ça transmet même de l'électricité quand ça se met à chauffer. C'est dire si le produit est apprécié par la clientèle.

Je me suis laissé dire que les pisse-froids, les frappadingues du sermon, et les intégristes de tous poils détestent l'humour, la futilité et tous les plaisirs qui dérogent de près ou de loin à leur rigueur à la con.
Je leur adresse donc cette photo spéciale dédicace du fourgon napo dont je viens de terminer la peinture.
Avec les compliments de Mme Odette et de son pote , le sergent Dodo-la-saumure, qui les emmerdent.

Les rois des nuits napoléoniennes dans leur costume de scène

Le fourgon de Mme Odette est en train de prendre des couleurs. J'en ai aussi profité pour peintouiller la reine du radada aux côtés de son copain, Dodo la saumure, un biffin de l'infanterie légère dont un descendant aura, deux siècles plus tard, le plaisir d'enseigner la délicate figure de la brouette flamande à un certain DSK dans un rade de luxe installé à deux pas de la Grand'place de Lille.
Tous deux vont bientôt prendre place à l'avant de la carriole. Dans une posture respectant la morale et les bonnes moeurs, cela va sans dire. C'est un blog sérieux, ici !

V'là les bestiaux. Un sacré duo de malfaisants

Mon armée ruskof commence à prendre un peu de poids. Il faut donc lui donner des chefs. Histoire de lui rappeler qui est le patron, non mais !
Je viens justement de recruter deux officiers supérieurs aussi retors que pervers : Ivan le pénible et Igor le butor.
Y sont tellement méchants et corrompus que même Eltsine vient de m'envoyer un mail de félicitations.
Il l'avoue. Il aurait pas fait mieux.
 

V'là l'engin de la coquine.Enfin, quand je dis l'engin, j'me comprends

On a le bras long, ou on l'a pas. J'ai réussi à m'arranger avec le père Noël pourqu'il transforme la paire de chaussettes en laine de mérinos à poil dur ,que s'apprêtait à m'offrir ma chère et tendre belle doche ,en superbes figs de Perry.
Histoire de réaliser un vieux rêve : poser sur une table de jeu le claque ambulant que la célèbre Mme Odette, tenancière du non moins réputé "Perroquet bleu" , trimbale derrière toutes les armées napoléoniennes, les veilles de bataille.
Cela, afin de faire découvrir aux belligérants de toutes nationalités l'art consommé du radada et du saute-au-paf que possèdent les accortes soubrettes qui ont fait la réputation de cette maison discrète, mais bien tenue.
Sur la photo ci-jointe, on repère clairement l'illustre mère maquerelle en train de parler de la pluie, du beau temps et de la longueur de ses caleçons avec un brigadier chef du 261e R.I.
Peut-être qu'un jour, si vous êtes sages, je soulèverai la bache du chariot dans lequel quelques serveuses montantes s'essaient à la page 27 du kamasutra. La plus délicate. Celle qui nécessite une armoire normande, deux cuillers à soupe et un fouet à battre les oeufs en neige. 
Mais pour le moment, la période n'est plus aux excès. Ce serait de la gourmandise.