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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

COLLAGE ET PEINTURLURAGE SONT LES DEUX MAMELLES DU NAPO

Le 23/01/2015

Y sont jeunes , et y savent pas ce qui les attend. Pauv' bougres, va.
Y sont jeunes , et y savent pas ce qui les attend. Pauv' bougres, va. 
Ils sont encore tout pâles parce qu'ils ont pas eu le temps d'aller prendre des couleurs dans une station de ski, à Gourette, ou  mieux,  à la Pierre-Saint-Martin, qui vient de s'équiper de télésièges tout neufs, spéciaux cuirassiers (on les a équipés de selles et d'étriers, avec un peu de foin pour les chevaux sur les banquettes)
Mais leur mise en couleur avance gaillardement.
Les ch'ti gars du 4e cuirassiers sont en train de passer dans mon atelier de peinturlurage.
Un boulot dont je me suis chargé avec d'autant plus d'enthousiasme aujourd'hui que je viens de fêter mes 3254632132 ans.
Ce qui a permis à ma compagne de m'offrir un sonotone, à ma fille de m'envoyer un déambulateur, et à mon fils de me réserver une place dans un caveau fraîchement repeint. Mon voisin, lui, m'a adressé une lettre d'insultes, comme toutes les semaines.
Elle est pas belle, la vie de cacochyme ?
PS : à propos d'anniversaire, je dirais même de millénaire, félicitations à cette vieille canaille de Guy de Boutelesdehorscesempaffés, qui vient de voir son blog vieux-centurion.com atteindre le 3 000e visiteur.
Hier 2999e... mais ça, si j'ai bien compris, c'était avant ;-)

 

 

LA BASTON, C'EST MON DADA

Le 22/01/2015

Et un régiment de cuirs en plus à peindre, un !
Et un régiment de cuirs en plus à peindre, un ! 
Faut dire ce qui est : des bourrins, y en avait un gros paquet à Waterloo.
Je parle pas des cavaliers qui ont chargé comme des boeufs les carrés anglais, ni des officiers supérieurs qui se sont comportés comme des ânes en fonçant sus à un ennemi sans trop se poser de questions.
Non, je parle des chevaux qui , à bien y regarder, ont tout bêtement fait ce qu'on leur demandait de faire : mettre un sabot devant l'autre, et pas venir nous faire suer le burnous.
Alors, au moment où toute la France s'apitoie sur le sort de trois canards gras qui se sont cassés les ailes dans des cages trop petites, moi j'ose poser la question qui tue.
Hein ? Hein ? Hein ? Ousse qu'y z'étaient les membres de la SPA en 1815 quand on a transformé 6 000 bidets en 120 000 000 rondelles de saucisson ?
Encore en train de vider des godets de Chouffe dans le bistrot du coin, je parie. Fainéants, va !

 

WATERLOO, SALETE DE PLAINE !

Le 20/01/2015

Le dioarama, en pleins travaux. Y reste beaucoup de choses à faire Ca, c'est le côté Haye Sainte. Pas fini du tout

Le dioarama, en pleins travaux. Y reste beaucoup de choses à faire
Le dioarama, en pleins travaux. Y reste beaucoup de choses à faire 
Je sais. Je sais. Ca a l'air de ce que c'est pour le moment : un vrai souk. Pas rangé, pas terminé, en vrac, en tas, en foutoir. Du grand n'importenawak.
Mais ça donne quand même une première idée du diorama que je vais présenter avec le général Vivian, cette année, à Tarbes.
Comme je l'ai déjà dit ( mais j'adoooore me répéter), ce décor sera consacré aux grandes charges de cavalerie de Waterloo. Bicentenaire oblige, ça va de soi.
On va y installer un maxou de figurines, dont toutes les unités de cavalerie française qui ont participé à la charge et, si ma mémoire de Béarno-Ch'ti cacochyme et édenté est bonne, pas loin de 22 ou 24 (j'chai pus) carrés anglais et alliés. Plus l'artillerie, ça va de soi.
Y a encore beaucoup de taf. A commencer par le peintouillage des champs à la bombe à peinture.  Car , pour le moment, c'est plutôt disparate.
Je me suis aussi un peu pris la tête avec les chemins. Mais j'ai fini par trouver une soluce.
Quant à la pente légère qui marquait le champ de bataille, hé ben, je l'ai zappée. Trop de boulot, trop complexe, et surtout pas le temps. J'expliquerai toutefois aux visiteurs ébahis qu'elle existait bel et bien. Car elle a joué son rôle, la coquine.
Ah ! Au fait, je préfère prévenir : le premier qui monte sur le diorama et qui s'essuie les pieds sur les paillassons qui me servent de champs de blé et de seigle, je lui colle une mornifle, je lui balance un facebreaker, j'enchaine avec un flapjack, et je le termine avec un bourre-pif.
Histoire de lui apprendre les bonnes manières à ce salopiaud.

 

 

BEUARK !

Le 19/01/2015

Ouh, que c'est laid ! V'là ce que ça donnera une fois terminé

Ouh, que c'est laid !
Ouh, que c'est laid ! 
Je vous vois venir. Teigneux et sans pitié que vous êtes, vous allez me dire : acré millard ed' vingtdechiu ! Elles sont drôlement mal peintes, ces figurines, sur la photo.
Je vous arrête tout de suite. Elles sont pas peintes, bande de boeufs. C'est juste les premiers coups de pinceau.
L'illustration, c'est simplement pour vous montrer - chose que j'avais oubliée - que, dans le train des équipages, la couleur des cols et du plastron, c'est marron.
Ca veut pas dire que ces biffins là sont propices à toutes les corruptions, comme pourrait l'être un avocat (marron. Ca y est ? T'as pigé ?).
Ca veut simplement dire que le gars qui a décidé de la couleur de leur uniforme l'a fait un soir de Noël 1812, alors qu'il était pochetronné comme c'est pas possible.
Du coup, il a choisi la première teinte qui lui tombait sous les yeux : celle de la garniture de la dinde, en l'occurence.
Comme quoi,  y a des jours où le prestige de l'uniforme, ça tient finalement à peu de chose. Porca miseria !
 

 

SOIGNES AUX PETITS OIGNONS

Le 18/01/2015

Y a toujours un fainéant qui en profite pour roupiller V'là ce que ça donnera au final. Il est pas blessé. Il est bourré comme un coing, l'animal L'ambulance, dépiautée pour le moment.Y a du taf

Y a toujours un fainéant qui en profite pour roupiller
Y a toujours un fainéant qui en profite pour roupiller 
Les gnons, ça fait mal. C'est même pour ça qu'on a inventé les ambulances.
La suite de mes cadeaux de Noël va donc être peintouillée dans les semaines qui viennent pour rajouter un de ces engins sur les tables de jeu .
C'est du Perry et c'est toujours du métal. Sauf le corps de l'abulance qui est en résine.
Manque plus que la gnole pour endormir les malades. La scie pour leur couper les guiboles. Les boules Quies pour pas les entendre gueuler. Et un médecin militaire pour les achever si, par le plus grand des hasards, il leur venait la curieuse idée de survivre à leurs blessures.

 

 

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