Du napo dans l'air
UN JEU POUR LES VEINARDS
Le 11/05/2021
Les restes de la Grande Armée avancent dans la neige |
Ce qui m'amène à me replonger dans la règle d'escarmouche "Song of drums and shakos".
Une règle pour laquelle on peut décider de jeter un à trois dés pour chaque personnage. Ce qui correspond à autant d'actions potentielles que celui-ci peut accomplir.
Quand tu as l'initiative , si tu décide de ne jeter qu'un seul dé et que tu réussis, une action peut être accomplie par ton bonhomme. Tu peux ensuite essayer d'activer un autre soldat de ta troupe.
Si tu echoues, pas de souci non plus. Ton biffin n'est pas activé mais, là aussi, tu peux essayer d'activer un autre de ses collègues.
Par contre, attention , si tu lances 2 ou 3 dés dans l'espoir de faire réaliser deux ou trois actions différentes à ton gugusse, et que tu obtiens deux échecs, ton tour se termine et c'est le joueur adverse qui joue.
Hé, hé, hé...Un jeu plein de surprises.
LE RICAIN, CA SERT A TOUT
Le 10/05/2021
Bon, ben, y a plus qu'à peindre, hein ? |
Trois officiers américains de la guerre d'indépendance fabriqués par Perry feront très bien l'affaire.
Avec son embonpoint marqué, celui de gauche fera même un Cadoudal tout à fait honorable. Il suffira pour cela que je transforme légèrement son chapeau en donnant à son sommet une forme plus carrée.
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LE RICAIN... CA SERY
Le 10/05/2021
Voilà de quoi compléter mon état-major royaliste de Quiberon.
Trois officiers américains de la guerre d'indépendance fabriqués par Perry feront très bien l'affaire.
Avec son embonpoint marqué, celui de gauche fera même un Cadoudal tout à fait honorable. Il suffira pour cela que je transforme légèrement son chapeau en donnant à son sommet une forme plus carrée.
Trois officiers américains de la guerre d'indépendance fabriqués par Perry feront très bien l'affaire.
Avec son embonpoint marqué, celui de gauche fera même un Cadoudal tout à fait honorable. Il suffira pour cela que je transforme légèrement son chapeau en donnant à son sommet une forme plus carrée.
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DU SANG DANS LE CONGELO
Le 09/05/2021
Les lieux du drame dans toute leur horreur. J'en frissonne d'avance |
Les jours qui viennent vont être consacrés à imaginer un scénario dans lequel des trainards se font, comme d'hab, harceler par des cosaques, voire par quelques tirailleurs ruskofs.
La règle d'escarmouche pratiquée sera "Song of drums and shakos" qui prévoit jusqu'à trois actions possibles par figurine, avec des personnages dotés, selon loes cas, de différentes caractériques : réticent, sans peur, sans relâche, chef , hésitant, mauvais tireur et l'on en passe.
Vu qu'il y aura du cosaque, faudra peut-être que j'en invente une qui n'est pas encore dans la règle : "bourré comme une huitre", avec par exemple une chance sur deux de tirer sur les copains plutôt que sur l'ennemi.
Allez JJ ! Au boulot !
QUIBERON : LA VENGEANCE DES CI-DEVANTS
Le 09/05/2021
La charge des chouans armés de faux va rater. Mais quel spectacle ! |
Incroyab’ ! Même raccourci d’une bonne tête, ce brave Louis XVI doit s’en retourner d’aise dans sa tombe.
Plus de deux siècles après la mémorable branlée qu'ils ont subie à Quiberon, les émigrés royalistes et leurs potes chouans sont revenus à la charge pour hacher fin, fin, fin les républicains du général Hoche.
L’affaire s’est jouée samedi dans un garage d’Ille-et-Vilaine où 7 frappadingues du jeu d’histoire avec figurines, masqués comme il se doit en cette période de soubresauts covidiens, s’étaient retrouvés pour faire le coup de feu.
La règle pratiquée pour l’occasion était « Bataille Empire ».
Un mode de jeu qui fait la part belle à la chaine de commandement et au jet de dé. A tel point que, pour employer un langage imagé, si t’as la galette-saucisse bordée de kouign-amann, c’est bonnard. Par contre, si t’as le chouchen qui branle dans le manche, ça peut devenir carrément craignos.
Opposées à des républicains moins nombreux mais plus costauds au moral, au tir et au choc, les troupes « blanches » commandées par le féroce marquis Philippe de Palsembleu et ses porte-flingues ont su tirer leur épingle du jeu en adoptant une tactique offensive. Preuve s’il en est que, sur un champ de bataille, c’est souvent le plus méchant qui l’emporte.
Certes, dans le camp d’en face, où le maréchal Frank Tapedur officiait aux côtés de ses deux acolytes, on n’était pas en reste question "rentre-dedans" et quelques coups d’audace ont marqué la baston. Dont une surprenante charge de cavalerie lancée, façon kamikaze, sur une batterie d’artillerie.
Las ! Les sans-culottes avaient beau montrer qu’ils en avaient dans le caleçon, la hargne révolutionnaire n’a pas suffi face à des royalistes qui ont su attendre leur heure, ajuster leur tir (en évitant notamment le piège des contre-charges) et mieux jouer groupir.
Au final, côté pertes, quelque chose comme 30 à 6 en faveur des blancs. C’est mieux qu’une déculottée, c’est carrément une fessée.
Ajoutez à cela une excellente ambiance avec des gens qui ne se prennent pas la tête et qui préfèrent rigoler plutôt que de faire suer le burnou de leur vis-à-vis. Hildepute ! Je sais pas pour vous, mais moi, à chaque fois, j’apprécie.
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Enfin ! 😁 Le décor est très chouette, bravo JJ !