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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

FAUT JAMAIS CONFIER LA CAVALERIE A UN BOURRIN

Le 23/11/2015

La cavalerie française, au 1er plan, a un ordre : rouleau-compresser Les Teutons, eux, vont se mettre en carré, et je vais pas aimer Je vais à gauche. Je vais à droite. Je vasouille Finalement la charge est lancée Le carré ostrogoth va avaler ses croissants de travers

La cavalerie française, au 1er plan, a un ordre : rouleau-compresser
La cavalerie française, au 1er plan, a un ordre : rouleau-compresser 
Allez ! C'est parti ! On décortique la baston de l'autre jour.
En commençant, tout à fait au hasard bien sur , par une aile qui m'est chère : celle où j'ai opéré. Hi; hi, hi. On se refait pas, hein ?
Faut dire aussi que c'était pas l'aile la moins importante.
Car, comme vous avez pu le voir sur l'extraordinaire powepoint publié dans l'article précédent, une tactique particulièrement élaborée  avait été décidée par les Français que  l'abominable général Sébastien de Tumeveumevla et moi-même commandions.
Elle consistait à tenir à gauche, à tenir au centre, et à mettre le paquet à droite selon le vieux principe appliqué depuis des lustres par tous les subtils dans notre genre : tu avances, tu poses pas de questions, tu cognes et tu leur passe sur le ventre à ces zigotos.
Pour y arriver, toute la cavalerie française avait donc été placée sur notre aile droite. Avec un ordre simplissime : "roule Simone !"
Sébastien bichait. Pas de dentelle, ça allait saigner !
Le hic, c'est que la cavalerie en question avait été placée sous mes ordres. Et que, comme cela m'arrive les jours où j'ai mal digéré les deux ou trois Chouffe que j'avale pour me mettre en train vers 6 heures du matin, j'ai douté. Affreusement douté.
Chez les Autrichiens qui avaient le culot de nous faire face, le cruel maréchal JP von Lafumée, avait en effet placé trois bataillons d'infanterie en carré.
Or, moi, le carré, j'aime pas ça. Ca me donne des boutons. Ca me rend bredouillant. Ca me les brise menu tant que j'ai pas sous la main une bonne vieille batterie d'artillerie pour venir lui conter fleurette et le fatiguer un chouia avant de le travailler à coups de sabre guillerets.
Arriva donc ce qui devait arriver : j'ai hésité, allant un coup à gauche, un autre à droite, et surtout ... en perdant du temps.
Un bredouillis tactique qui a eu le don de faire sortir Seb de ses gonds. Celui-ci étant d'autant plus inquiet qu'il voyait de son côté les masses ostrogothes arriver vers lui avec un sourire mauvais.
"Mais vas-y donc, bourrin ! Fonce leur dans le lard" insistait-il.
Moi, je me grattais la couenne.
"Mais, fonce, piment , résidu de fond d'écurie. Tu vas les bousiller que j'te dis".
Moi, je me tatais l'occiput.
"Mais, vingt de diousse, qu'esse t'attend, Béarnais de mes deux ? Décanille ! Massacre ! Persécute !"
Moi, je me soulevais les... Bon, passons.
Et Seb éructait. Et les Autrichiens avançaient. Et je laissais le temps passer.
Jusqu'à ce que, ému par le désespoir sincère de mon voisin, je décide de me lancer à l'eau en chargeant finalement un carré teutons avec un régiment de cuirassiers et un autre de dragons.
Et là ! Miracle ! Alleluia ! J'ai soudain réalisé que le carré autrichien de classe "ligne 2", hé ben c'est un peu comme le beurre frais : gras certes, mais tu t'enfonces bien dedans dès que tu mets le sabot dessus.
 Surtout lorsque, en prime, le dé que tu a consciemment pendant toute la nuit précédente, te sors un splendide 6 et te permets de décaniller le général de division ennemi qui a eu la mauvaise idée de venir soutenir ses potes.

Résultat : les amateurs de croissants viennois ont retraité, ouvrant un boulevard à la cavalerie française. Raaah ! Lovely ! Mais tout de même bien tardif, dois-je avouer, l'air penaud.
"T'as vu ? Hein ? hein ? hein ? T'as vu, espèce de mirot flageollant " m'a morigéné Seb, qui avait passé toute la journée à allumer des cierges devant la statue de Sainte Rita, avocate des causes désespérées.
Depuis, le bruit court que, pour la prochaine baston, il m'offrira un sonotone. A moins, que vu mon âge respectable,  un peu de Viagra ? ...

A SUIVRE : sur la colline, c'était une autre histoire.

 

 

UND ICH FRAGE MICH WARUM , VINGTDE DE DIOUSSE !

Le 21/11/2015

Une partie des belligérants, la bave aux dents. Le powerpoint qui vous dit tout, ou presque

Une partie des belligérants, la bave aux dents.
Une partie des belligérants, la bave aux dents. 
Ah ! La belle baston que voilà !
Une pustuleuse armée autrichienne commandée par les non moins effroyables généraux Patrice von Laéronauticus, JP von Lafumée et Didier van Blue Swede Shoes s'est colletée pas plus tard que tout à l'heure avec des troupes françaises dirigées tant bien que mal par deux sourdingues de la pire espèce : j'ai nommé ma pomme, JJ la honte du Béarn, et Sébastien de Tumeveumevla.
On s'est percé à qui mieux mieux. Les Autrichiens en décanillant un bataillon franchouillard au centre du dispositif napoléonien. Ce qui a facilité son avancée vers Paris.
Et la cavalerie française en hachant fin, fin, fin, un carré ostrogoth situé à l'aile gauche des hordes teutonnes. Ce qui lui ouvrait toute grande la porte de Vienne.
Comme la maison ne recule devant aucun sacrifice, voici une photo d'une insoutenable intensité dramatique sur cet affrontement titanesque, et un Powerpoint présentant les grands mouvements de cette baston d'agités du sabre et du ciboulot.
Pour le reste, les détails suivront. Pour le moment, j'ai une Chouffe à siroter.

 

NON MAIS !

Le 15/11/2015

C'est toujours du Perry et toujours du plastique.
C'est toujours du Perry et toujours du plastique. 
Difficile de parler de bastons et d'armées de tous poils quand on sait ce qui s'est passé vendredi soir à Paris.
Mais ce blog en délire, et toutes les calembredaines qu'on y débite, c'est aussi l'exact contraire de ce que veulent nous imposer les tarés kalachnikoviens qui cherchent à nous impressionner : l'amusement, le loisir, la bonne humeur, la futilité et les sacrées parties de rigolade organisées de temps à autre autour d'une bonne boutanche.
Autant de choses qui font le sel de la vie et que ces gros débiles ne connaitront jamais. Pauvres taches psalmodiantes qu'ils sont.
Donc, pendant que j'écoutais les nouvelles à la télé, j'ai continué à peintouiller mon 7e bataillon ruskof, que voili que voilou, en cours de réalisation.
Histoire de montrer, une fois encore, à ma manière, que tous ces cons là... hé ben, je les emmerde.
 

 

VOUS REPRENDREZ BIEN UN PEU DE VODKA ?

Le 12/11/2015

Les grenadiers sont à l'arrière, pour pousser les fainéants Le drapeau est celui du régiment de Simbirsk V'là les bestiaux

Les grenadiers sont à l'arrière, pour pousser les fainéants
Les grenadiers sont à l'arrière, pour pousser les fainéants 
Petit à petit, le moujik fait son isba.
Mon 6e bataillon d'infanterie russe se termine. Ce qui me fait déjà un peu plus d'une brigade, celle-ci étant constituée de deux régiments à deux bataillons de 16 figs.
Conformément à l'organisation de 1805, ce bataillon là comprend trois compagnies de mousquetaires et une de grenadiers . Mais je vais le modifier pour l'adapter à l'organisation de 1810 avec trois compagnies de mousquetaires à 4 figs chacune, une de grenadiers à deux figs et une de tirailleurs.
Les grenadiers sont les gugusses qui portent un long plumet sur le shako, sans doute à la suite d'un séjour un peu trop arrosé au Moulin Rouge, estiment certains historiens.
Quand j'aurai peintouillé deux brigades, je passerai sans doute aux dragons. Je vais voir. C'est pas le choix des unités qui manque, nom d'on bortch pas frais !

 

LES FRAPADINGUES DU HOBBY

Le 09/11/2015

Les lieux du drame. Le pont de Vera de Bidassoa est dans le fond Les visiteurs (ses) ont apprécié. C'est tout ce qu'on demandait Le premier jour, y avait du matos sur le diorama Les charges de cavalerie. Chaud devant ! Sébastien, l'inventeur de l'ordre "pas bouger, kiki"

Les lieux du drame. Le pont de Vera de Bidassoa est dans le fond
Les lieux du drame. Le pont de Vera de Bidassoa est dans le fond 
Et de six ! Avec l'odieux général Vivian, on s'est avalé une nouvelle édition de la Foire des Hobbies, qui était organisée au parc des expositions de Tarbes.
Une occasion de nouer plusieurs contacts , avec notamment un salon du wargame qui se profile pour 2017 à Toulouse, et de se faire plaisir.
D'autant plus que les frites servies avec les sandwiches américains préparés dans une baraque (food truck comme disent les cons qui ne savent plus parler qu'anglais) installée à deux pas de là étaient tout simplement excellentes, foi de Ch'ti.
Un diorama de 4,50m  était présenté aux foules esbaudies sur le thème de la guerre d'Espagne et des combats livrés dans le sud-ouest de la France en 1814.
Comme d'hab, ça a eu du succès chez les visiteurs. Car, en prime, on a organisé une baston napo sur le même diorama, le dimanche. Avec un peu moins de troupes, mais un budget de 6860 points quand même. Pourquoi voir petit quand on peut voir énorme ?
Pour l'occasion, j'ai pris les commandes des anglos-hispano-portugais. Quant aux Français, ils étaient manoeuvrés par un farouche reconstitueur, membre des Chasseurs de montagne. J'ai nommé le redoutable Sébastien de Voilàduboudin, tout droit venu de la plaine de Nay.
Le bougre s'est fort bien débrouillé, ma foi.
Détail cocasse : le susdit Sébastien est l'inventeur d'un nouvel ordre. Le désormais fameux "pas bouger, kiki".
A inscrire dans les annales, comme dirait Mme Odette en tournant le dos à sa clientèle.

 

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