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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

PRET A JOUER

Le 15/09/2016

V'là le travail. Simple, louple et léger J'ai mis la rivière dans un coin. Peu de joueurs l'utilisent Un mètre de plus et ce sera tout bon Empilées, les plaques se rangent facilement au grenier

V'là le travail. Simple, louple et léger
V'là le travail. Simple, louple et léger 
Mon décor "léger" est terminé : 3,10 m par 1,80 ​m. Ce qui est suffisant pour commencer à se faire plaisir.
Le voilà agrémenté de quelques arbres piqués dans le polistirène, ainsi que de routes, maisons et collines amovibles.
Pour bien faire, je l'allongerai de 1,60m. Ce qui correspondra aux dimensions que me permettent les plaques de support et les tréteaux que je trimballe habituellement dans ma bagnole.
Ce décor sans sera sans doute exposé lors de la Foire des Hobbies qui sera organisée à Tarbes en novembre.
Pour maintenir les plaques entre elles, rien de plus simple : un bout de shatterton déchirable à la main et le tour est joué. Elle est pas belle, la vie de wargamer ?

 

J'AI LES PLAQUES QUI ME DEMANGENT

Le 14/09/2016

V'là le turbin. Ca met pas des plombes à faire
V'là le turbin. Ca met pas des plombes à faire 
Quand y a plus de décor​s, hé ben y en a encore.
Je suis en train de prolonger les deux plaques que j'ai utilisées pour présenter l'attaque de cavalerie survenue à Maubourguet en 1814. Histoire de disposer d'un support de jeu plus souple, plus léger, prenant moins de place dans la bagnole et sur lequel je pourrai poser des collines.
A l'occasion, ça pourra également me servir pour du Blitzkrieg, voire pour de l'antique car - je sais plus si je vous l'ai dit - j'ai retrouvé dans mon grenier la caisse qui contient ma première armée macédonienne d'Alexandre le grand. Des gars teigneux en jupette qui lançaient plein de javelots sur le premier abruti qui les regardait de travers.
Si l'envie m'en prend, je pourrai également coller par la suite sur ces décors (avec de la colle à bois), des morceaux de champs en carton ondulé et en paillasson peintouillé.
La technique de base est simple : des plaques de polistirène, de la peinture couleur cigare pas frais, du sable très fin, du flocage qu'on saupoudre, et roulez jeunesse !
Une plaque demande 5 minutes de travail, tout au plus. Idéal pour les fainéants dans mon genre.
 

 

LES CURIEUX ET LES FURIEUX

Le 13/09/2016

Auprès des gamins, la fig, ça fait toujours son petit effet. La masse d'infanterie franchouillarde, prête à en découdre Un diorama de 2,60 m, gavé de figurines

Auprès des gamins, la fig, ça fait toujours son petit effet.
Auprès des gamins, la fig, ça fait toujours son petit effet. 
Retour en photo sur l'expo de Maubourguet où les dioramas napo ont intéressé pas mal de monde. D'autant plus que bien des visiteurs ignoraient tout des combats livrés il y a 200 ans dans leur région.
"Je suis contente. J'ai appris quelque chose" nous a confié une brave dame qui découvrait que des chasseurs à cheval s'étaient frités à deux pas de chez elle avec des dragons lourds KGL.
Pas de quoi casser trois pattes à un canard, certes. Mais c'est moins glauque que de passer son dimanche après-midi devant la téloche.
Après, dans ce genre de truc, on rencontre aussi des furieux.
Quand il a appris que nos expos accueillaient aussi des écoliers à qui on expliquait un bout de l'histoire de leur région, y a un gars qui m'a remercié au nom de la "civilisation".
A un moment, j'ai même cru qu'il allait se mettre au garde à vous et chanter la Marseillaise.
Oh ! Du calme, mec ! T'es pas dans un meeting. C'est qu'un loisir. Range ton flingue.

 

UN PETIT MALIN

Le 12/09/2016

Il suffisait d'y penser
Il suffisait d'y penser 
​Pendant une baston napo, il y a plusieurs manières de jouer. L'une d'entre elles, souvent décriée, est dite "par hélicoptère".
Elle consiste à prendre une décision en fonction de ce que nos troupes ne voient pas a priori lorsqu'elles se trouvent au ras du sol. Par exemple, en tenant compte d'une unité cachée par une colline et qui risque de nous menacer.
Si l'adversaire est un peu teigneux ou pinailleur (Je sais. Ca arrive jamais. Mais supposons)  il te le fera remarquer avec un petit air chagriné, du genre : si tu refais ça, je te mets une torgnole, bouffon.
Bref, ça peut être embêtant
Dimanche,  lors de l'expo à laquelle on participait, un jeune joueur des Hautes-Pyrénées nous a cependant démontré qu'il y a plus vicelard et que les pros, les vrais, eux, utilisent une tout autre technique, venue tout droit des Landes.
Elle est dite "des échasses". Là, carrément tu vois tout. Y compris ce que l'adversaire a enfoncé dans ses poches.
Par contre, pour  manipuler les figs, je l'admets, c'est un peu plus coton.
Y en a qui ont essayé. Les gars du SAMU en rigolent encore.
 

 

ACCIDENTE !

Le 09/09/2016

Après le drame, tout est revenu dans l'ordre
Après le drame, tout est revenu dans l'ordre 
Ah misère ! Acré bon sang de vingt de diousse ed' foutu maladroit ! Ca ne m'était encore jamais arrivé, ce truc là.
En préparant l'un des décors que je vais présenter dimanche sur la foire Saint Michel de Maubourguet, j'ai renversé la boite dans laquelle j'avais rangé mon infanterie anglaise.
Résultat : 12 bataillons de godons au tapis. AAAARRRRGHHH !
Connaissant les moeurs anglaises et soucieux de préserver la morale, je me suis empressé de démêler ce fatras de figs en tas dont certaines commençaient en effet à penser qu'il s'agissait là d'un début de partouze.
Pas trop de mal, heureusement. Exception faite d'un bras cassé sur un fantassin.
Je lui avais pourtant dit et redit à cet abruti que la page 35 du Kama Sutra exige expérience et dextérité.

 

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