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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

SERGUEI, LA MACHINE A GNONS

Le 02/11/2016

Deux autres zigotos galonnés doivent suivre V'là le teigneux.

Deux autres zigotos galonnés doivent suivre
Deux autres zigotos galonnés doivent suivre 
​Sergueï Bourrepifovitch, commandant d'une brigade d'infanterie, vient de signer un engagement de plusieurs annnées dans une unité d'élite béarnaise composée de sadiques, de pochetrons et de pervers polymorphes. Rien que des braves garçons, grands distributeurs de gnons, de mornifles, et de chataignes.
​Il devrait défiler d'ici peu avec ses potes devant les visiteurs esbaudis de la Foire des Hobbies, qui se tiendra les samedi 5 et dimanche 6 novembre à Tarbes.
​C'est toujours du métal. C'est toujours du Perry. Et c'est encore du Ruskof.
​Pas vraiment un tendre. C'est simple : tu le regardes, tu prends un pain. Tu lui tournes le dos, tu chopes une mandale. Tu le chatouilles, tu te manges un pruneau. Un vrai poète.

 

C'EST DU LOURD. C'EST DU RUSSE

Le 01/11/2016

V'là les gugusses. Prêts à en découdre Le fanion est curieux. Mais ça en jette

V'là les gugusses. Prêts à en découdre
V'là les gugusses. Prêts à en découdre 
​Ca y est. La cavalerie lourde ruskof va commencer à débouler sur les tables de jeu.
​Je viens de mettre la dernière main au régiment de cuirassiers d'Astrakan. Une unité qui est venue nous chercher des poux dans la tête en 1814.
​La couleur distinctive du régiment est le jaune et la cuirasse est noire, bien sur, comme d'hab chez les moujiks.
​C'est du Perry en métal et je vais sans doute exposer ces gaillards là lors de la foire des hobbies qui se déroulera le week-end prochain à Tarbes. Avec un bonus à côté du diorama : des bateaux napo Langton en métal. L'amiral Olivier de Tulasvumonderrick ayant eu l'amabilité de me prêter ses coquilles de noix pour défiler aux côtés de mes vaillants vaisseaux godons. C'est ça, l'indéfectible solidarité des gens de mer.

 

 

LA VIE DE CHATEAU... EN PALESTINE

Le 31/10/2016

Les catapultes zengides, armées des plus mauvaises intentions V'là l'engin. Pas de doute. Y a du taf La cavalerie lourde part au turbin. Chaud devant ! Sur les remparts, on tape le carton avant la baston Et à l'intérieur, c'est le "pèle cochon"

Les catapultes zengides, armées des plus mauvaises intentions
Les catapultes zengides, armées des plus mauvaises intentions 
Retour sur le salon Burdigame de Cenon pour adresser un coup de chapeau à sire Philippe Rigobert de Pauzaticus, comte de Périgueux et bâtisseur d'un château médiéval qui a fait sensation.
​Cette solide forteresse de carton plume défendue par des Croisés a fait face pendant deux jours à une fort belle armée zengide commandée par le sultan Marouf El Sassaoui ben Kifkif Olivier, venu tout droit à dos de chameau de son campement des Landes.
​"Quel boulot, hildepute !" comme dirait Donald Trump en s'attaquant à sa 325425542e hôtesse de l'air avant de débiter ses billevesées et autres coquecigrues.
​Dommage que la règle utilisée par les belligérants (Hail Cesar... j'aime pas du tout ce nom, soit dit en passant) soit apparemment un peu bancale.
Des archers qui ne peuvent pas tirer en cloche sur des troupes ennemies pour la bête raison qu'ils sont placés derrière des troupes amies, t'as déjà vu ça quelque part, toi, hé banane ?
​Quoi qu'il en soit, l'ensemble avait de l'allure.
Alors, maintenant, quand je croise Philippe-le-blindé et son compère sarrazo-landais, moi je dis... Monsieur.

 

 

RIFIFI POUR UNE TRIPLETTE

Le 30/10/2016

Sur une des ailes, la méga bagarre. Ca va percer dans tous les sens Les Ruskofs étaient de la fête Les cosaques de JP, pire que des taons Les lieux du drame. J'en frémis d'horreur Les Pavlovski attendent les franchouillards

Sur une des ailes, la méga bagarre. Ca va percer dans tous les sens
Sur une des ailes, la méga bagarre. Ca va percer dans tous les sens 
Maxi baston pour micro partie. On n'était que trois joueurs à s'être donné rendez vous samedi dans le riant bourg de Cazères-sur-Adour, célèbre village du sud des Landes désormais réputé pour ses castagnes napoléoniennes.
​Le pugnace JP de Lafumée affrontait là les non moins teigneux généraux que sont Sébastien de Jedébutemaisjeteferailapeauquandmêmeducon et ma pomme, JJ, le diplodocus béarnais.
​Au menu : des Prussiens et des Ruskofs contre des Français.
​Un habile tirage au sort avec des dés pipés, et voilà les belligérants répartis : d'un côté JP était placé à la tête des hordes slaves et teutonnes, de l'autre les deux sudistes pyrénées se retrouvaient en tête des amateurs de cuisses de grenouille et d'Ossau-Iraty.
​On n'a pas été déçus. Car un premier constat s'est vite imposé : donner du russe (donc des cosaques) à JP , c'est comme servir un verre de chateau Petrus à un Girondin. Il s'en lèche les babines.
​De fait, l'infame bordeluche nous a donné bien du fil à retordre avec sa cavalerie légère en se payant même le luxe d'anéantir tout une batterie d'artillerie franchouillarde trop imprudemment avancée par Seb, l'ours de la vallée de l'Ouzom (pour les ignares, ça se trouve du côté du col du Soulor).
​Pour le reste, je résume à grosses louches : ca a été chaud, très chaud.
​A l'aile gauche, Seb-le-pourfendeur, tout en essayant de se débarasser de ces insupportables moustiques que sont les cosaques,  est parti vaillamment à l'assaut d'une colline sur laquelle des grenadiers de Pavlov étaient en train de taper le carton.
​Tandis que moi, sur l'autre aile, j'avais décidé d'aller conter fleurette à une défense  bétonnée par ce fourbe de JP.
Ce qui nous a donné l'occasion, à l'un comme à l'autre, de nous transpercer à tire larigo au cours d'une mêlée dantesque. Un coup les Franchouillards faisaient déguerpir les Teutons, un autre coup les amateurs de saucisses de Francfort  envoyairnt valdinguer leurs vis-à-vis au diable vauvert.
​ Même les généraux ont morflé dans les deux camps. Qu'ils soient de corps, de division ou de brigade, ces pauvres zigotos sont tombés comme des mouches. Preuve s'il en est que, chez les napos, les galonnés sont tout sauf des petzouilles.
​Bref, ça a cogné dur. Ce qui n'a pas empêché les belligérants de  faire preuve d'amabilité et de courtoisie pendant toute la journée. De mémoire de dinosaure napoléonien, on avait rarement vu une baston aussi bien élevée : "Et, je vous en prie, cher ami, tirez donc..."..." Mais faites donc, mon brave. Vous en être un autre".
​C'est simple. On se serait cru chez la du Barry en train de manger des petits fours et de suçoter une tasse de chocolat avec le petit doigt levé. De vrais petits marquis enrubannés. Il ne manquait plus que les rince-doigts.
​Résultat : une empoignade féroce mais intéressante que l'ignoble maréchal Didier van Blue Swede Shoes, attiré par l'odeur de la poudre, a rejoint sur la fin.
​Deux ou trois tours de jeu supplémentaires auraient sans doute été intéressants pour avoir une idée plus précise du résultat final. Les rusko-pruskos, manoeuvrés de main de maitre par JP la castagne (comme d'hab), avaient l'avantage et exerçaient une forte pression aux ailes, tandis que les franchouillards avaient manifestement bouffé du lion et s'apprétaient à enfoncer un coin dans un centre ennemi pas vraiment décidé à se laisser faire.
​Mais voilà, fallait plier, refaire de la route et aller raconter tout ça à nos ministres de l'Intérieur respectifs qui nous attendaient pour ranger la vaisselle du petit déjeuner qu'on avait oublié le matin dans la cuisine en laissant plein de miettes sur la table .
Non mais ! C'est bien beau le napo, mais c'est qui la patronne, hein ?

 

 

LES P'TITS DERNIERS SONT ARRIVES

Le 26/10/2016

V'là les zigotos, prêts à castagner comme des bêtes
V'là les zigotos, prêts à castagner comme des bêtes 
​Un nouveau bataillon vient de rejoindre mon armée ruskof.
​C'est le 17e, si mes comptes sont bons. 16 sont encore à venir, dont une brigade de la garde que je commanderai chez Front Rank. Faut ce qu'il faut.
​En attendant, cette nouvelle unité est en plastique tout ce qu'il y a de plus dur. Elle vient de chez Perry et n'attend qu'une chose : défourailler sur une table de jeu.
Il est comme ça, le moujik : pas vraiment patient.

 

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