Du napo dans l'air
RETOUR VERS LE NAPO
Le 07/06/2021
Un bataillon à terminer, sur le modèle VLE. |
Un bon paquet de boites de figs attendent pour cela depuis des lustres dans mon sous-sol que je vienne les sortir de l'oubli.
Je vais commencer par terminer un bataillon entamé ch'sais plus quand pour le compléter avec fantassins, grenadiers et tirailleurs. Sachant que, selon la réforme de 1810, chaque bataillon était composé de 4 compagnies de 160 hommes chacune.
La première compagnie, dite d'élite, était divisée en grenadiers ("carabiniers" chez les chasseurs) et de tirailleurs.
Au total, je compte ainsi arriver à une bonne trentaine de bataillons (autant que mes actuels franchouillards) que je complèterai avec divers régiments de cavalerie, dont les incontournables dragons.
Il n'est pas non plus impossible qu'au passage, je me dote de quelques opolchenie, des civils embrigadés et malodorants volant au secours de la Sainte Russie menacée par l'odieux ogre corse.
Vade retro Napoleonas !
V'LA LES DERNIERS (pour le moment)
Le 06/06/2021
Ma dernière bande de malfaisants bretons |
Plutôt que d'être équipés de faux retournées, ces derniers ont parfois été dotés par Emperor Toads Emporium d'instruments aussi étranges qu'indéfinis. Mais bon, qu'esse tu veux, mon pote, on fera avec, comme d'hab.
L'un de ces brigands blancs, situé au second plan, exhibe même ce qui semble à la fois tenir de la bêche et de la pelle à pizza. Tiens, du coup, je vais l'appeler Luigi Kermario, l'enfourneur de Sainte-Barbe (un village pris et repris par les combattants à l'entrée de la presqu'île de Quiberon).
Cela étant, on dira ce qu'on voudra, mais un coup de pelle à pizza bien ajusté sur l'occiput étroit d'un républicain, ça peut toujours faire son petit effet, non ?
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UN DOUTE AFFREUX M'ASSAILLE
Le 03/06/2021
Mes derniers paysans. Y a encore du taf. |
Entre les reproductions anciennes de tableaux datant souvent de la fin du 19e siècle, donc pas forcément très réalistes ; l'imagination débridée des graveurs de figs et les oukazes assénés par les ayatollahs du costume traditionnel ( y en a, si, si)... il n'est pas toujours aisé de s'approcher de la réalité historique.
D'autant plus que je persiste à penser que, compte tenu de la dureté des temps aux alentours de 1793-1795, les paysans, artisans et autres gueux insurgés contre la bonne parole républicaine , s'habillaient avec ce qu'ils avaient sous la main dans des campagnes où l'on ne roulait pas sur les picaillons.
La visite de l'écomusée de la Maison des Chouans gérée à Bignan, en Morbihan, par l'association Pierre Guillemot permet de le constater en réalisant les conditions plus que modestes dans lesquelles bon nombre de gens de la terre vivaient à l'époque.
Moralité : je ferai comme d'hab. C'est à dire comme bon me semble, hi,hi,hi.
Bon ! C'est pas tout ça ! Vous reprendrez bien un peu de gruau moisi pour faire passer l'eau du puits dans laquelle cette satanée Odette vient encore de dégringoler avec le colonel du 5e Zouaves ?
CLIN D'OEIL
Le 02/06/2021
Une belle bande d'assassins |
Après avoir souhaité gloire, fortune et adulation perpétuelle de la gent féminine à un copain girondin qui vient de fêter son anniversaire, je peux pas m'empêcher d'y ajouter un clin d'oeil sous forme de photo.
Celle d'une des nombreuses et animées bastons que l'on a disputées pendant des lustres, le samedi, dans une salle des fêtes des Landes.
Avec un bon gros repas de mecs dégusté sur le coup de midi : c'est à dire surtout sans légumes mais avec sauciflard, jambon, pastis (c'est aussi un gâteau) et gouleyante boutanche de derrière les fagots.
A l'époque, on jouait à "Vive l'empereur" sur des tables qui ne faisaient jamais moins de 4,80 mètres, avec plaques et tréteaux amenés de Pau dans le coffre de ma bagnole. Pourquoi chipoter quand on peut se goinfrer ?
Depuis, tandis que je partais trouver d'autres bons moments en Bretagne, certains ont pris des chemins divers : Blitzkrieg, Légion d'honneur et j'en passe.
Mais les souvenirs, eux, restent intacts. Chaleureux. Salut les poteaux !
TOUT EST DANS LE FUTAL
Le 31/05/2021
Déjà trois gugusses "bretonnisés" |
J'ignore si cette nouvelle tenue leur permettra de courir plus vite à l'assaut des bleus, mais au moins ça devrait les aider à draguer les donzelles morbihannaises entre deux coups de tranchoir.
Car entre Sarzeau et Locmariaquer, guerre d'embuscade ou non, quand il s'agit de taquiner la gueuze, ça rigole pas côté sapes.
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Un futur Borodino...