Du napo dans l'air
LE TOUT, C'EST DE PARTIR SUR DE BONNES BASES
Le 15/01/2017
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| Détail amusant, le calendrier du socle est de 1812. Non, je rigole. |
Une plaque de carton, de l'enduit de rebouchage et c'est tout bon.
J'ai séparé l'ensemble en deux socles : le train à proprement parler et le canon. Ce qui permettra à ce dernier d'être orienté dans le feu de la bataille, lorsque ce sera nécessaire. Ca peut toujours servir.
Il reste bien sûr pas mal de taf : le sol à peindre, caillouter et enherber, ainsi que les cordes qui relient les bourrins à l'attelage. Et un tas de détails à rectifier.
Pour l'herbe, je vais essayer un truc que m'a conseillé le vaillant général Patricius von Laeronauticus : des bouts de ficelle dépiautés, collés et peintouillés. On va voir ce que ça donne.
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CA COMMENCE A LE FAIRE
Le 13/01/2017
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| Y a encore pas mal de taf. Mais ça avance. |
Les conducteurs sont collés sur leur selle et les servants vont passer sous le pinceau.
Détail sympa : l'un d'entre eux porte des gants. Non pas pour s'exprimer avec prudence lorsqu'il discute avec un officier, mais pour manipuler sans trop se faire de bobo le "brutal" qu'on lui a confié.
On dira ce qu'on voudra : y a pas plus délicat qu'un artilleur.
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PENDANT LES TRAVAUX, LA PEINTURE CONTINUE
Le 12/01/2017
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| Les bourrins, c'est fait. Aux fainéants qui les montent, maintenant ! |
Je sais. C'est pô bien. Mais je m'y remets doucettement, en m'attaquant cette fois-ci aux " conducteurs ".
Parce que, si je me souviens du service militaire effectué jadis face aux Pyrénées à une époque où les archaeopteryx, pelagornis et autres saloperies ailées voletaient gaiement dans le ciel bigourdan, c'est bien comme ça qu'on appelle les biffins qui servent dans le train, non ?
L'uniforme est simple : costard vert plein de taches de bortch, futal gris (pour les cavaliers seulement) parsemé de morve ( une funeste habitude due au fait que les mecs s'essuyaient les doigts sur le falzar aprèsq avoir éternué) et incontournable cordon rouge de l'artilleur qui pendouille du shako.
Ensuite, je me mettrai aux servants.
Mais chaque chose en son temps. Faut pas pousser le slave quand il flemmarde. La bestiole est susceptible.
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COMME UN GOUT DE REVIENS-Z'Y
Le 07/01/2017
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| Parait qu'on va remettre ça. OK, alors, on remets ça ! |
J'ai ouï-dire qu'une baston napo se profilait pour le samedi 21 janvier dans le riant bourg de Cazères-sur-l'Adour.
Et qu'elle aura comme un goût de "reviens-z'y".
L'imposante armée prusso-ruskof qui a pris la tannée en décembre aux abords de Bordeaux est en effet bien décidée à ne pas en rester là. Car elle ne demande qu'une chose : remettre ça, vingt de diousse !
Qu'est-ce que tout cela donnera ? Va savoir, Charles.
Quand on a encore les fesses en feu, mieux vaut ne pas trop jouer les matamores. D'autant plus que le sanglant général franchouillard JP de Lafumée de Pasdemiséricorde, vainqueur la dernière fois, n'est pas du genre à se laisser impressionner par les rotomontades de ses adversaires.
Disons alors modestement qu'on verra bien ce qui se passera sur la table.
Pour le reste, comme le 21 janvier est aussi l'anniversaire de la mort de Louis XVI, je pense qu'une galette des rois serait la bienvenue au dessert.
Belle occasion pour couronner une autre tête de lard. Après tout, c'est pas ce qui manque dans notre belliqueux et miniaturiste groupuscule.
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LE PREMIER SCOOP DE L'ANNEE
Le 01/01/2017
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| Mais il est où ce bistrot, nom d'un chien ? |
Et une année de plus, une !
Avec Trump qui gesticule à l'Ouest, Poutine qui gigote à l'Est, Bachar qui massacre à tire-larigo, les imams tarés de l'EI qui continuent à délirer sous leurs turbans, les Chinois qui respirent de la merde, les fachos qui reviennent en force et ces foutus numéros gagnants du loto que je n'arrive pas à trouver, 2017 risque d'être croquignolesque ou je ne m'y connais pas.
Raison de plus pour sourire un peu.
C'est ce que je viens de faire en farfouillant dans mes archives familiales et en dénichant un document rarissime, légué par l'un de mes lointains ancètres cosaque qui avait jadis déniaisé l'une de mes aïeules cantinière.
Il s'agit ni plus moins d'une photo du maréchal Ney , perdu dans l'immensité congelée de la Russie tsariste et cherchant désespéremment un troquet aux abords de Krasnoë, au cours de l'hiver 1812.
Je pense la mettre aux enchères sur e-bay. Mise à prix : une caisse de Bacchus et trois litres de Noire de Dottignies.
Je sais, c'est cher. Mais les connaisseurs apprécieront.
A part cela, je vous la souhaite longue et heureuse, l'année qui débute. Avec plein de bastons et plein de ponts.
Pour le pognon, c'est autre chose. Parce que je vous le rappelle : celui qui gagne au loto cette fois-ci, C'EST MOI, VINGT DE DIOUSSE !
Avec Trump qui gesticule à l'Ouest, Poutine qui gigote à l'Est, Bachar qui massacre à tire-larigo, les imams tarés de l'EI qui continuent à délirer sous leurs turbans, les Chinois qui respirent de la merde, les fachos qui reviennent en force et ces foutus numéros gagnants du loto que je n'arrive pas à trouver, 2017 risque d'être croquignolesque ou je ne m'y connais pas.
Raison de plus pour sourire un peu.
C'est ce que je viens de faire en farfouillant dans mes archives familiales et en dénichant un document rarissime, légué par l'un de mes lointains ancètres cosaque qui avait jadis déniaisé l'une de mes aïeules cantinière.
Il s'agit ni plus moins d'une photo du maréchal Ney , perdu dans l'immensité congelée de la Russie tsariste et cherchant désespéremment un troquet aux abords de Krasnoë, au cours de l'hiver 1812.
Je pense la mettre aux enchères sur e-bay. Mise à prix : une caisse de Bacchus et trois litres de Noire de Dottignies.
Je sais, c'est cher. Mais les connaisseurs apprécieront.
A part cela, je vous la souhaite longue et heureuse, l'année qui débute. Avec plein de bastons et plein de ponts.
Pour le pognon, c'est autre chose. Parce que je vous le rappelle : celui qui gagne au loto cette fois-ci, C'EST MOI, VINGT DE DIOUSSE !
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Joyeuse année ludique Jean-Jacques !