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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

ENGAGEZ-VOUS, QU'Y DISAIENT....

Le 10/10/2017

On joue sur carte. Les figs, c'est juste pour une photo symbole
On joue sur carte. Les figs, c'est juste pour une photo symbole 
​On n'arrête pas le progrès.
​Avec le maréchal Olivier de Tulasvumonderrick, on a commencé à réfléchir à un jeu de stratégie napo sur une carte IGN.
​L'idée, c'est de reproduire la campagne de France en 1814 en jouant au niveau du corps d'armée.
​C'est aussi de jouer "simplissime", donc rapidement, sans se prendre la tête avec une foultitude de détails scabreux .
On se déplace. On cherche à savoir où se trouve l'ennemi. On l'affronte (ou bien on l'évite, hé, hé,hé).
​Objectif des alliés : prendre Paris.
Objectif des franchouillards : repousser tous ces pingouins au-delà de nos frontières.
​Les ordres généraux sont adressés à un maitre de jeu qui donne en retour des indications globales dans un bulletin de guerre adressé régulièrement à tout le monde et donnant la réalité de la situation (ou du moins ce que l'on pense en savoir) à J + 2.
​Le même gugusse, c'est à dire ma pomme, envoit dans le même temps des messages personnels à chaque général. En toute impartialité, ça va de soi . Car, lui, que les Français, les Ostrogoths ou les Moujiks gagnent, il s'en tamponne le coquillard. Ce qu'il veut, c'est que ça joue et que tout le monde s'amuse.
Ces missives secrètes sont du style:  "Fait gaffe mon pote, une grosse armée teutonne risque de te tomber sur l'occiput à une journée de marche au nord. Quels sont tes ordres ?" .
Ou alors, "Hildepute und Vingtdediousse ! Tu viens de buter sur deux corps d'armée adverses qui sentent fort mauvais. Tu te mets en ordre de bataille, tu bats en retraite ou tu finis ta Gueuze Lambic, maudit pochetron ?".
​Les combats sont résolus par le même Maitre de jeu qui tient compte, entre autres, des effectifs présents sur le terrain  et de la valeur du général qui commande tous les fainéants de biffins qu'on a placé sous ses ordres (on se fiera pour cela à une liste de noms jadis publiée dans la règle "Les Aigles").
​Bref, de la stratégie au sens large. Tout se passe via Internet.  
​Avec Olivier-le-sanglant, on se revoit cette semaine pour peaufiner tout ça et rajouter divers éléments, comme les lignes d'approvisionnement, les renforts etc.
Quitte, si ce premier essai rencontre un chouia de succès, à aller par la suite un peu plus loin dans le détail de l'exercice (jeu par régiment, brigade, voire résolution de certains combats sur table etc...).
​A priori, on commencera en fin d'année. Le temps que je pose mes cartons en terre celte.
Quelques doigts de joueurs intéressés par l'idée générale se sont déjà levés. S'il y a d'autres volontaires, quels qu'ils soient et d'où qu'ils soient, ils sont les bienvenus.
​Seule exigence : jouer le jeu. C'est à dire accepter de tenir la distance et ne pas arrêter au bout de deux semaines. 
Pour s'inscrire (et c'est totalement gratuit, exception faite de la carte IGN qu'il vous faudra acheter), il suffit de se déclarer en m'envoyant un message sur ce blog .
Car le Seigneur a dit : " Agite les bras et je te verrai de loin".



 

 

SALETE DE GOBELINS

Le 07/10/2017

Mes adversaires : une belle bande d'assassins Les lieux du drame, dans toute leur horreur

Mes adversaires : une belle bande d'assassins
Mes adversaires : une belle bande d'assassins 
​Qui n'a jamais marché du pied gauche dans de la fiente de gobelin ne peut pas vraiment dire ce qu'est le bol.
​Les elfes, cavaliers du Rohan, et autres petzouilles d'Isildur qui ont affronté ce vendredi soir mes petits hommes verts et éructants sur une table de jeu du très béarnais club Histoire et légendes savent, eux, de quoi ils en retourne.
​A grands coups de 5 et de 6 obtenus avec leurs maudits dés vraisemblablement limés, ils ont littéralement écrabouillé la troupe puante et vicelarde que j'avais le malheur de commander, sur un scénario Seigneur des Anneaux.
​Preuve , soit dit en passant, que le napo mène à tout, à condition d'en sortir de temps à autre.
​La soirée fut néanmoins plaisante. Car pleine de rigolades.
​C'est bien tout ce qu'on lui demandait, non ?

 

PAS DE PITIE POUR LE GODON

Le 04/10/2017

Fred et Olivier, encore deux hippies qui ont mal tourné Les Anglois vont en prendre plein les chicots L'abordage final, tous gréements emmêlés

Fred et Olivier, encore deux hippies qui ont mal tourné
Fred et Olivier, encore deux hippies qui ont mal tourné 
​Gasp, hildepute und donnerwetter ! Y vraiment a des jours où le drapeau noir flotte sur la marmite.
​Contrairement à toutes mes prédictions, la glorieuse flotte de l'amiral Nelson, alignée par mes soins et par ceux de mon adjoint, le commodore Nicolas of Sinkandloose, a eu fort à faire lundi dernier face à de redoutables vaisseaux français.
​Il est vrai que deux teigneux de chez teigneux avaient pris place à bord de ces derniers.
L'amiral Olivier de Tulasvumonderrick tout d'abord. Un rude gaillard qui, quand il n'est pas en train de creuser des trous au fond des océans à la recherche d'un baril de pétrole, s'amuse sournoisement à forer à coups de boulets la coque de tous les trois ponts anglais qu'il croise au large.
​L'enseigne Fred de Fluctuasnecmergitur ensuite, un novice en godille passé maître dans l'art de tirer de loin sans prendre un chouia de semblant de minimum de perte. Le roi de l'esquive, quoi.
​Après avoir copieusement esquinté nos vaisseaux à l'aide de leurs canons de marine, tous deux se sont rués à l'abordage de nos esquifs amochés , la bave aux lèvres et le sourire narquois.
Au point qu'en fait de bataille navale, on aurait tout aussi bien pu installer nos rafiots au beau milieu d'un champ de maïs. La baston aurait été la même.
​Les équipages franchouillards étant plus nombreux que leurs homologues godons, l'affaire a promptement été réglée.
Chaque camp se payant en prime, et au préalable, le plaisir de faire exploser un vaisseau adverse sur un jet de dé 6. Raaaah lovely ! 
​La règle jouée était  "De l'ile de la Tortue à Trafalgar" , qui m'a jadis été transmise par un autre furieux. J'ai nommé ce vieux pirate de Philippe Pauzaïdon, aujourd'hui parti gerroyer en terre périgourdine, quelque part du côté de Trélissac.
Les crabes et les bigorneaux y sont, certes, beaucoup moins nombreux que les oies et les canards. Mais le jour où t'arriveras à faire du foie gras avec un tourteau, je te tirerai mon chapeau, mon gars.


 

 

LE TUTO QU'IL ME FAUT

Le 01/10/2017

Le diorama dans son ensemble. Ca peut le faire Un chouia de fourrure synthétique pour faire de l'herbe Les artiflos sont en plastique Y a même des canassons décanillés. Pauv' bêtes ! Les officiers en train de chercher un troquet avec leur lunette

Le diorama dans son ensemble. Ca peut le faire
Le diorama dans son ensemble. Ca peut le faire 
​Quand il n'est pas occupé à charger comme un damné avec sa cavalerie lourde autrichienne contre mes carrés d'infanterie français, le vaillant maréchal Patricius von Laéronauticus, l'ogre de Toulouse, écume avec assiduité les écrans d'Internet.
​Ca lui a permis - en réponse à une de mes interrogations - de dénicher un site fort intéressant baptisé "Peinture de guerre".
​On y explique notamment l'art et la manière de réaliser un diorama représentant une batterie d'artillerie en pleine action. En l'occurence avec des figs au 1/72. Mais pour le 28 mm, ça va tout aussi bien.
Instructif à tous points de vue, comme dirait Mme Odette en débraguettant un évêque qui a ses habitudes au "Perroquet rose".
​Le site en question explique également la bonne méthode pour couper un cheval en deux et lui donner une autre allure de galop. Fallait y penser.
​Grand merci, monseigneur Patrice ! Quand tu viendras me rendre visite dans ma campagne bretonnante, j'ajouterai quelques rondelles de sauciflard dans ta galette  fourrrée à la panse de grenadier farçi.


V'là le lien du tuto : 

http://peinturedeguerre.blogspot.fr/search?updated-max=2014-02-11T15:24:00%2B01:00&max-results=7&start=5&by-date=false



 

 

HISSE ET HO !

Le 29/09/2017

Les maquettes Langton... y a pas mieux Pas de boulets ramés pour les Anglais. La mitraille suffira

Les maquettes Langton... y a pas mieux
Les maquettes Langton... y a pas mieux 
​Dans mon repaire béarnais de Laroin, discret port d'eau douce installé sur les rives du gave de Pau, les cartons s'accumulent en prévision du prochain déménagement vers les côtes bretonnes.
​C'est pas une raison pour arrêter de s'entraîner.
​Avec l'amiral Olivier, qui est de retour d'une campagne menée contre les pirates coréens, nous préparons une bataille navale opposant la fière escadre de Nelson à la pitoyable flotille dépenaillée de Villeneuve.
​Ca va bientôt sentir le poisson mort dans les cales franchouillardes.

 

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