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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

VOIR PONTIVY ... ET SORTIR SON KATANA

Le 10/12/2017

L'affiche des zévénements
L'affiche des zévénements 
​Je le savais déjà. Mais c'est toujours bien de le rappeler. Les Bretons sont des gens accueillants.
​Grâce aux contacts noués sur le forum An Argader
, je vais participer à la Convention ludique et imaginaire du pays de Pontivy qui se déroulera les samedi 20 et dimanche 21 janvier.
​Belle occasion pour faire connaissance, de visu cette fois, avec des wargamers et découvrir comment la figurine peut s'allier au jeu de rôle. Ce qui me donnera en prime à terme une idée pour imaginer des scénarios napo.
​Au programme ce week-end là , une plongée dans l'univers turbulent de l'époque Sengoku, dans le Japon des XVe et XVIe siècle. Y a du seppuku dans l'air. 

 

UN DEBARQUEMENT, CA PREND DU TEMPS

Le 09/12/2017

Une partie du matos avec, entre autres, les fameux Sturmowiks Un camion porteur d'orgues de Staline, devant un pont que je recolle

Une partie du matos avec, entre autres, les fameux Sturmowiks
Une partie du matos avec, entre autres, les fameux Sturmowiks 
​Le mois de décembre ne sera pas de trop pour ranger dans mon sous-sol tout le matos amené des Pyrénées-Atlantiques. Et une chose est certaine : les étagères vont se goinfrer.
​Demain, je m'attaque aux armées ruskof, américaine, anglaise et allemandes au 1/72 utilisées jusqu'à présent pour jouer la règle Blitzkrieg.
​Ce qui m'a permis de retrouver, entre autres engins dévastateurs, les maquettes en métal (ch'sais plus quelle marque) des chasseurs-bombardiers Sturmowiks utilisés par les Russes pour faire passer le goût des bretzels aux tanks nazis.
A l'époque ,ils étaient protégés par une plaque blindée adaptée sous le fuselage. Du lourd, du pas fin, mais sans aucun doute du teigneux.

 

DEGEMER MAT !

Le 01/12/2017

La bibliothèque napo prend bonne tournure Pour voir le verso, faites-moi parvenir vos dons. Hi, hi, hi. La célèbre rencontre entre l'empereur et ses potes écossais Première revue de détail au sortir des cartons

La bibliothèque napo prend bonne tournure
La bibliothèque napo prend bonne tournure 
​Acré milliard ed'vingt de diousse ! C'est quelque chose un déménagement. 
​Au pays des galettes, du goémon et des mouettes rieuses, mon crane hirsute - bien que glabre - vient tout juste d'émerger d'une montagne de carton empilés au pied de ma tanière bretonne.
​J'en ai encore pour un bout de temps à tout ranger, trier,  démêler, farfouiller et désemberlificoter. Sans parler des branchements qui m'ont donné quelques fils internautiques à retordre.
​Cela étant,  l'horizon commence à s'éclaircir. D'autant plus que des masses de débit sont venus régaler mon ordinateur esbaudi par une telle manne informatique : 48 Mégas au lieu des 8 maigres mégas dont me gratifiait jadis le réseau béarnais. C'est pas encore la fibre. Mais c'est presque l'Amérique. Degemer mat ! Bienvenue, comme on dit dans le coin.
​Après mon atelier, qui commence à prendre bonne tournure, j'ai également mis la dernière main à l'un des éléments essentiels de mon repaire du grand Ouest : le bureau dans lequel j'ai encore une palanquée de bataillons à peindre ainsi que toute une bibliothèque napo à entasser.  Raaaah lovely ! 
​Un tas de souvenirs s'y accumulent aussi. Parmi eux, on trouve en très bonne place le diorama que m'ont jadis offert les copains à l'occasion de mon départ en retraite.
​Cette remarquable oeuvre d'art représente un épisode mal connu et peu souvent évoqué par les historiens (on se demande bien pourquoi) : la rencontre inopinée entre le ch'ti père Napo et deux fantassins écossais qui ont tenu à le saluer à la mode de chez eux, quelque part du côté de Waterloo.
​Difficile de dire si cette anecdote a pesé sur le résultat de la bataille. Une chose est certaine. La scène permet de faire toute la lumière sur l'un des plus grands mystères des  Highlands : sous le kilt des Ecossais, y a bien du lourd... mais pas de slibard.

 

LA DER DES BEARNAIS

Le 18/11/2017

Du coup, on a posé pour la postérité On était venus pour rigoler, et on a rigolé, hildepute ! Le premier assaut, à grands coups de gnons et de mornifles Une tombe imaginée par un joueur. Fallait y penser

Du coup, on a posé pour la postérité
Du coup, on a posé pour la postérité 
​Ah ! La belle soirée que voilà !
​Pour ma dernière soirée au club "Histoire et légendes" de Lescar, les copains m'ont réservé une surprise très sympa. Une tournée générale de cidre et un petit mot écrit des joueurs pour me souhaiter bonne route vers la Bretagne.
​Belle occasion pour échanger quelques souvenirs après toutes ces années passées à lancer des dés limés.
​Une partie d'escarmouche napo avait également été organisée pour l'occasion par El Présidente Jeannot-la-tornade, le gaillard qui m'avait aussi jadis initié au paintball. Une autre forme de peinture...
​Le scénario s'inspirait de Waterloo, en imaginant une autre issue de la bataille, avec une ultime attaque de la Haye Sainte par les Anglais... et les Prussiens.
​Faut dire ce qui est. Ca a cartonné. Mais les Français ont tenu et on a rigolé comme des ânes. Histoire de se fabriquer un dernier bon souvenir et de se prémunir contre la morosité des temps. Parce que, faut dire ce qui est, par les temps qui courent, c'est pas les pisse-froid ni les frapadingues qui manquent.

 

LE GRAND CHAMBARDEMENT

Le 17/11/2017

Du haut de ces étagères, 3000 figs vous contemplent La prunelle de mes yeux : mes figs

Du haut de ces étagères, 3000 figs vous contemplent
Du haut de ces étagères, 3000 figs vous contemplent 
​Des cartons, encore des cartons, toujours des cartons ! 
​Ces jours-ci, je ne pense plus, je ne vois plus, je ne raisonne plus que... cartons.
​Ceux du déménagement vers les terres celtes, qui approche à grands pas.
​En attendant que j'enfourne mes fouffes , mes fringues et mes fanfreluches dans le camion qui va se charger de l'ouvrage, je prends déjà la route mardi pour le Morbihan.
Histoire d'aller mettre une rouste à l'agent immobilier qui m'a tondu la laine sur le dos, de donner en pleurant le reste de mes picaillons au notaire et de prendre avec gourmandise  possession de ma tanière bretonne.
​Comme on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, j'en profiterai pour amener mes figs dans le coffre : pas moins de seize caisses contenant les franchouillards et les armées avec lesquelles ils en ont décousu. En espérant que je croiserai pas trop de dos d'âne en chemin.
​V'là le matos en photo. Gaffe, JJ ! Va falloir conduire fin, fin, fin avec tes gros doigts gourds de bourrin napoléonien. 

 

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