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Du napo dans l'air

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Du napo dans l'air

PLUS ON EST DE FOUS...

Le 20/06/2021

La première baston de Vianney. D'autres suivront
La première baston de Vianney. D'autres suivront 
Engagez-vous, qu'ils disaient ! 
Après la partie d'attaque de convoi par les Espagnols, j'ai eu le plaisir de recevoir dans mon antre morbihannais un nouveau joueur passionné par le 1er Empire. 
Vianney, qui a commencé à peindre du Français de chez Perry, a découvert les subtilités du jeu d'histoire à travers une démo de VLE jouée en 1500 points environ : six bataillons, deux régiments de cavalerie, une batterie d'artillerie et un carrefour à prendre. Simple et de bon goût.
Un exercice dont il s'est sorti avec les honneurs et une expérience très motivante qui devrait être suivie d'autres découvertes, dont celle des tactiques du "P'tit tondu" et de ses hexagones infernaux avec les collègues de la féroce tribu des Ilsontvilains . 
Car la fig napo, c'est comme un passage à niveau, un train d'enfer en suit toujours un autre.


 

 

TAPAS POUR TOUT LE MONDE !

Le 17/06/2021

Le convoi (au milieu) n'est pas passé. Gasp ! Horreur et ravissement, l'hallali sonne pour Mme Odette Les grenadiers montés ibériques. Sympa, non ? Les charges furieuses Espagnols

Le convoi (au milieu) n'est pas passé. Gasp !
Le convoi (au milieu) n'est pas passé. Gasp ! 
Ah, la belle partie que voilà ! Ma version espagnole de l'attaque de convoi français mijotée à la sauce "Vive l'Empereur" a largement tenu ses promesses.
Elle s'est même avérée plus intéressante que la première édition imaginée avec les Russes.

L'affaire, que j'étais chargée d'arbitrer, était simple comme mandale balancée par une senorita dans la tronche d'un torero.
Je résume : la paie d'une division franchouillarde était transportée dans un fourgon dans lequel avait pris place Mme Odette, cantinière à ses heures et escort-girl le reste du temps. Sa mission consistait à traverser la table en étant protégé par une solide escorte.
Las !  Y avait un os dans la palella. Car ces bougres d'espingouins, par l'odeur du magot alléchés, avaient eu vent de l'expédition. Ne faisant ni une, ni deux (ni d'ailleurs trois ou quatre) ils ont donc attaqué le fourgon.  

Facile à dire, pas forcément facile à faire.
Dès le départ,
les assaillants ibériques cornaqués par le  féroce maréchal Philippe y Castagnetas semblaient en effet faire pâle figure face à des franchouillards plus solides en attaque, meilleurs en moral et mieux dotés en budget. 

Hildeputas ! Ce n'était là que leurre et mirage. Car l'armée espagnole,  bien groupée, peut s'avérer très efficace. 
Une qualité qu'elle a démontrée d'autant plus facilement que le commandant du convoi français, le jeune colonel Baptiste Causetoujours-Tumintéresse, a commis d'emblée l'erreur de disperser ses troupes.
Il est vrai que, fraîchement sorti de l'école d'officiers de Coëtquidan, le pauv' garçon découvrait pour la première fois les arcanes de la règle. C'est dire si, face à un vieux roublard comme y Castagnetas, le dépucelage s'est avéré douloureux.

N'hésitant pas à regrouper ses forces, quitte parfois à charger à trois contre un, Philippe-le-sanglant, s'est fait un malin plaisir de hacher fin, fin, fin la première brigade franchouillarde qui lui est tombée sous la dent. Ses dragons et grenadiers montés faisant de même avec la cavalerie adverse.

Jetons un voile pudique sur les multiples charges et passages à tabac qui ont émaillé la baston, et allons tout de suite à l'essentiel : au bout de 8 tours de jeu joués en une petite après-midi, Odette-la-délurée a vu avec un mélange d'horreur et de ravissement tout un régiment de dragons espagnols lui passer  sur le fourgon, le rable et le reste. 

Seule consolation pour les Français, qui se sont tout de même démenés comme de beaux diables  : l'armée espagnole, peu avare du sang de ses galonnés, a vu les trois-quarts de ses généraux passer de vie à trépas au cours des combats.
Le respect des bonnes moeurs et la crainte de l'épiscopat ibérique m'interdisent de dire si leurs meurtriers sont repartis avec la queue et les oreilles. Olé !  

 

EMBROUILLE ESPAGNOLE

Le 16/06/2021

Y a des jours où il faut choisir : ou bien la plage à 26 degrés et les parties de rigolade dans les vagues bretonnantes ;  ou bien les figs.
Perso, ça n'a pas pris des plombes pour me décider ces jours derniers, d'où mon silence. Surtout quand le masque, le tuba et les palmes ne demandaient qu'à frétiller dans le glaz.

Cela dit, maintenant que le ciel refait grise mine, un bon bain de napo, ça ne fait pas de mal non plus. 
Pas plus tard que demain, deux féroces généraux ilssontvilains vont ainsi débarquer dans mon antre morbihannais pour se crêper le chignon. Tandis que votre serviteur, c'est à dire meszigues, endossera le sévère costume d'arbitre (j'espère que je ferai mieux que celui de France-Allemagne). 

Au menu : une resuçée de mon scénario d'attaque de convoi franchouillard.
A la différence près que, cette fois-ci, les tricolores ne seront pas attaqués par des ruskofs mais par... des Espagnols. 
Le décor a également été un peu modifié. Tant il est vrai qu'un peu de piment, c'est toujours nien vu pour agrémenter la paella, comme dirait Mme Odette avant de dépiauter son vieux pote Julio Corones y Glandu, l'archevêque de Saragosse.

Quant à la règle jouée, ce sera "Vive l'Empereur".
Je vois d'ici les shootés de ceci ou de cela m'envoyer des commentaires pour me demander pourquoi je persiste dans les vieux trucs et pourquoi je n'utilise pas leur règle à eux (un détestable travers de bien des "napoléoniens" convaincus de détenir la Sainte Verité... jusqu'à ce qu'une nouvelle règle apparaisse bien évidemment). 

La réponse est toute simple.
Comme dirait la même Odette au pieu Julio quand celui-ci lui demande pourquoi elle commence par le bas de la crosse plutôt que par le haut de la mître : "PARCE QUE ! ".


 

 

VOUS ME HACHEREZ TOUT CA FIN, FIN, FIN

Le 11/06/2021

Ca s'est joué en 15 mm. Y a à dire. Les drapeaux ont de l'allure. Ma vengeance mijote déjà

Ca s'est joué en 15 mm.
Ca s'est joué en 15 mm. 
AAAAARGH ! Damnation, donnerwetter, aquavit und hildepute !
Mon armée suédoise s'est fait tailler en pièces, que dis-je ? hacher menu, jeudi par les maudits impériaux du général Baptiste Von Maréchaussée. Mais, comme dit l'autre, la vengeance est un plat qui se mange froid, vingtdediousse !

En dépit de ce déplorable bilan, la partie de démo organisée par le maréchal ilestvilain Philippe de Pacémoi-Leselmonbrave n'en a pas moins été fort plaisante.

La règle que nous testions était "Tercios", simple et de bon goût.

Certes, avec elle, mieux vaut avoir le fondement bordé de kouign amman - c'est à dire le jet de dé conquérant - si on veut avoir une chance de l'emporter. Mais cette règle offre également de multiples subtilités : comme les vertus et les traits de caractère propres à chaque général.
Autant de capacités qui leur permettent par exemple d'accroitre la force de tir d'une unités de mousquetiers ou encore d'empêcher l'ennemi de jouer telle ou telle unité au tour prochain. Entre autres multiples possibilités.

Bref, une règle qui gagne à être connue, qui s'apprend vite, se joue avec fluidité et- gros avantage - ne traine pas des pieds : 7 tours de jeu en environ deux heures.
Je vais pas citer de noms, mais je connais pire, bien pire...

 

 

TERCIOS : QUI S'Y FROTTE S'Y PIQUE

Le 09/06/2021

Ce qui me plait, c'est les drapeaux
Ce qui me plait, c'est les drapeaux 
Piques, mousquets et enfants perdus... Comme il parait qu'il ne faut jamais perdre une occasion d'apprendre quelque chose, surtout en matière de truciderie collective, la règle Tercios sera testée demain avec des figs de 15 mm du côté de Rennes, sur les terres du féroce marquis de Pacémoi-Leselmonbrave.

Cette guerre là était dite en dentelles parce que, ai-je lu quelque part, les généraux en chef mettaient d'abord des heures à se faire des courbettes, des salamalecs et des vas-y que j'te passe la brosse à reluire derrière le pourpoint, avant d'envoyer leurs troupes se trucider comme des bourrins sur les champs de bataille. 

Perso, j'essaierai de me contenter de faire des 6 aux dés. Ca devrait largement suffire comme formule de politesse, hi,hi, hi. 


 

 

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